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‎COLLECTIF - René-Marill ALBERES - Pierre de BOISDEFFRE - Jean DANIEL - Pierre GASCAR - Morvan LEBESQUE - André PARINAUD - Emmanuel ROBLES - Jules ROY - Pierre-Henri SIMON. ‎
‎CAMUS. ‎

‎Collection "Génies et Réalités" Hachette 1967. - In-8 relié plein simili (bleu) sous rhodoïde transparent. Titres et motifs en noir et or au dos et sur les plats. 286 pages + tables. Illustré de 8 reproductions en couleurs hors-texte contrecollées et nombreuses illustrations photos nb in & hors-texte (héliogravures). Bon exemplaire abondamment illustré. ‎

Reference : 3042


‎Imprimé sur papier vergé édition Arjomari. ‎

€15.00 (€15.00 )
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Bouquinerie Bastien Chenal
M. Bastien Chenal

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5 book(s) with the same title

‎CALDERON (Pedro) & CAMUS (Albert)‎

Reference : 32049

(1953)

‎La Dévotion à la Croix. Pièce en trois journées. Texte français d'Albert Camus‎

‎ L'exemplaire A : offert à René Char Paris, Gallimard, (juillet) 1953. 1 vol. (110 x 165 mm) de 169 p. et [3] f. Broché. Édition originale. Un des 65 premiers exemplaires sur vélin pur fil, celui-ci hors commerce marqué «A». Envoi signé : «à René Char, avec la fidèle et fraternelle pensée d'Albert Camus». ‎


‎Le théâtre et l'Espagne ont marqué de façon déterminante la vie et l'oeuvre d'Albert Camus. Son engagement théâtral commence résolument en 1936, lorsqu'il fonde à Alger le Théâtre du Travail avec quelques amis, dans le sillage de sa brève adhésion au Parti communiste français. Éloigné du parti, il rebaptise sa troupe Théâtre de l'Équipe. À propos de cette vocation, il s'en expliquera plus tard : « Je ne me souviens plus. Certainement pas un spectacle : il n'y en avait pas à Alger ; ni une retransmission, je n'avais pas la radio. Mais l'histoire du Vieux-Colombier et les écrits de Copeau m'ont donné envie, puis la passion du théâtre. J'ai mis le Théâtre de l'Équipe, que j'ai fondé à Alger, sous le signe de Copeau, et j'ai repris, avec les moyens du bord, une partie de son répertoire. Je continue à penser que nous devons à Copeau la réforme du théâtre français, et que cette dette est inépuisable. » (in Entretien pour Paris-Théâtre, à l'issue du Festival d'Art dramatique d'Angers, 1957). Dès 1936, avec Révolte dans les Asturies - sa toute première publication - puis avec Le Secret de Ramón Sender (non publié mais joué au Théâtre du Travail), et en 1937 avec La Célestine de Fernando de Rojas (jouée au Théâtre de l'Équipe), Camus explore les textes espagnols. Cette fidélité traverse toute son oeuvre : L'État de siège se déroule à Cadix, et La Dévotion à la croix, bien qu'implantée en Italie, lui permet encore de rester au plus près de cette « seconde patrie », qui est aussi celle de Maria Casarès. L'intérêt de Camus pour l'Espagne remonte à sa jeunesse : ses grands-parents maternels, Étienne Sintès et Catherine Marie Cardona, étaient tous deux d'origine minorquine. Il revendiquera cette fidélité dans un article publié en 1958 dans Preuves : « Amis espagnols, nous sommes en partie du même sang et j'ai envers votre patrie, sa littérature et son peuple, sa tradition, une dette qui ne s'éteindra pas. » Et quand, en 1953 Marcel Herrand, gravement malade, lui demande de le remplacer pour la mise en scène de la Dévotion à la croix, dans l'espace du château d'Angers, l'affaire est vite entendue : pour un Camus qui s'est résigné à abandonner l'écriture dramatique originale, déçu par les échecs successifs de L'État de siège (1948, « un four ») et du succès mitigé des Justes (1949), une adaptation est le meilleur moyen de répondre à son ambition de faire émerger un théâtre populaire ambitieux, fidèle à la tradition, mais ouvert aux défis modernes. Il revendique une conception d'un « spectacle total », où l'auteur, le metteur en scène et l'adaptateur ne font qu'un : « Quand j'écris mes pièces, c'est l'écrivain qui est au travail [...]. Quand j'adapte, c'est le metteur en scène qui travaille selon l'idée qu'il a du théâtre. [...] Je me commande alors des textes, traductions ou adaptations, que je peux ensuite remodeler sur le plateau, lors des répétitions, et suivant les besoins de la mise en scène. » Et ce retour au théâtre se fera par un auteur que Camus admirait, et par un texte qu'il connaissait grâce à la traduction qu'en avait faite Georges Pillement en 1946 pour la collection « Poésie et théâtre » : une collection que Camus dirigeait lui-même aux Éditions Charlot. Camus ne parle pas l'espagnol et va donc s'inspirer largement de la version de Pillement pour livre le « texte français », qu'il livre au printemps pour les répétitions, jusqu'à la représentation qui aura lieu le 14 juin 1953, avec Maria Casarès dans le rôle principal. Trois jours auparavant, Marcel Herrand - celui-là même qui avait donné sa chance à Camus en montant Le Malentendu au Théâtre des Mathurins en 1944 - meurt brutalement. Cette création devient donc un hommage à celui à qui il devait tant. Camus en offrira un exemplaire à Maria, dédicacé « à Ma Julia », du nom du rôle principal qu'elle occupait dans la pièce. Mais le premier des exemplaires, le A, est réservé pour son ami, son meilleur ami, René Char. Inutile de revenir davantage sur cette connexion fraternelle. Beaucoup a été dit, raconté, écrit. Plusieurs dizaines de leurs livres échangés et la correspondance - une des plus belles qui puisse exister entre deux auteurs qui, sur treize années de cause commune, se sont échangés près de 200 missives - viennent documenter et étayer cette relation unique. Albert Camus a envoyé à Char deux manuscrits, et au moins 40 de ses livres : c'est le nombre des dédicaces connues à ce jour et celle-ci fait partie des quelques unes qui étaient encore inédites. Un mot sur le texte : La Dévotion à la croix (La devoción de la cruz, 1633) est un drame baroque de Pedro Calderón de la Barca, auteur majeur du Siècle d'or espagnol, maître des comedias de cape et d'épée comme des autos sacramentales à portée religieuse. Dans son contenu même, La Dévotion à la croix pose des questions qui ont pu résonner profondément en Camus. C'est une pièce chrétienne, et certains y ont vu un indice de l'intérêt croissant de l'auteur pour le religieux. Pourtant, Camus réfutera pourtant toute interprétation hâtive : « [...] Si je traduisais et mettais en scène une tragédie grecque, personne ne me demanderait si je crois en Zeus. » Ce qui l'intéresse, d'abord, c'est le théâtre - et non la profession de foi. Mais il est indéniable que cette pièce occupe une place charnière dans son oeuvre de scène. A la même époque, il envisage de réunir dans un même volume quelques oeuvres majeures du répertoire classique espagnol, songeant à faire traduire par des écrivains de renom, pour la Bibliothèque de la Pléiade, un choix de pièces de Tirso de Molina et de Calderón. Peu avant sa mort, alors qu'André Malraux oeuvrait à lui confier la direction d'un théâtre, Camus établit même une programmation. Il y inscrit notamment La Dévotion à la croix, Le Chevalier d'Olmedo, L'Alcade de Zalamea, La Vie est un songe, L'Étoile de Séville - mais aussi six pièces de Corneille, une de Racine (Bérénice), et Othello, qu'il avait traduit sans jamais oser le monter : « Côté théâtre, je n'en suis encore qu'à mon baccalauréat théâtral... Shakespeare, c'est l'agrégation ! ». Nous lui aurions sans hésitations adressé les félicitations du jury. Très bel exemplaire. ‎

Librairie Walden - Orléans
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EUR12,000.00 (€12,000.00 )

‎BRIAN T. FITCH- VANNEY PHILIPPE- MAROT PATRICK ...‎

Reference : RO20275379

(2024)

ISBN : 2406168085

‎La Revue des lettres modernes - 2. Langue et langage - Albert Camus- Approches de l'art camusien- les paradoxes du discours dans l'etranger, de la parole directe a l'ecriture inverse- Camus ou les difficultes du langage- Note sur Artaud et Camus- ...‎

‎LETTRES MODERNES MINARD / CLASSIQUES GARNIER. 2024. In-8. Broché. Etat d'usage, Coins frottés, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 250 PAGES - 2 photos disponibles. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎La Revue des lettres modernes - 2. Langue et langage - Albert Camus- Approches de l'art camusien par andré meunier- les paradoxes du discours dans l'etranger, de la parole directe a l'ecriture inverse par andré abbou- Camus ou les difficultes du langage par roger quilliot- Note sur Artaud et Camus- L'etranger au cinema et l'imagerie visuelle de Camus par mary ann frese witt- Camus et la politique par philip thody- la collaboration de camus a Alger republicain et au Soir republicain par jacqueline levi valensi et andré abbou- deux textes anglais d'albert camus peu connus presentes par peter c. hoy ... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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‎André BRETON‎

Reference : 75729

(1953)

‎"Allons, ce n'est pas encore cette fois que dans la révolte je parviendrai à introduire la "mesure" que nous prêche aimablement M. Camus." Lettre autographe signée inédite adressée au critique Charles Estienne‎

‎Paris 8 janvier 1953 | 21 x 27 cm | 1 pages et quelques lignes sur un feuillet‎


‎Lettre autographe signée inédite d'André Breton adressée au critique Charles Estienne?; une page et quelques lignes à l'encre noire sur un papier à en-être de la galerie de l'Étoile Scellée. Deux pliures transversales inhérentes à l'envoi, un petit manque angulaire en marge haute droite. Très belle lettre rendant compte de la disparition de l'un des amis les plus chers d'André Breton et de sa brouille avec Albert Camus. Breton fait part à son ami de la disparition de l'artiste surréaliste tchèque Jind?ich Heisler?: «?Votre lettre parlait de ces jours où il semble «?qu'il y ait juste assez de feu pour vivre?»?: c'était bien loin d'être assez de feu lundi, lorsqu'elle me parvenait?: un de mes deux ou trois meilleurs amis, Heisler, pris soudain de malaise en se rendant chez moi le samedi, avait dû être hospitalisé d'urgence et je venais de recevoir le pneumatique de Bichat m'annonçant sa mort. Je suis resté longtemps hagard devant ce fait non moins impensable qu'accompli?: il n'était pas d'être plus exquis que celui-ci, mettant plus de chaleur dans ses entreprises, dont la plus constante était de tout alléger et embellir à ceux qu'il aimait.?» Les deux poètes étaient en effet très proches?: Heisler avait participé, au côté de Breton, au lancement de Néon en 1948 et l'avait soutenu lors d'un épisode dépressif, l'accompagnant avec d'autres amis à l'île de Sein. «?Le début de l'année 1953 est assombri par la mort de Jind?ich Heisler (le 4 janvier). Fidèle entre les fidèles, il «?a vécu intégralement pour le surréalisme?» selon Breton qui rend hommage à son activité d'animateur?: «?C'est ainsi qu'il fut de 1948 à 1950 l'âme de Néon et jusqu'à ses derniers instants le plus grand enfanteur de projets que son génie lui soufflait le moyen de réaliser comme par enchantement.?»?» (Henri Béhar, André Breton) * Dans cette lettre empreinte de douleur, Breton fait soudainement référence à L'Homme révolté d'Albert Camus paru deux années plus tôt?: «?Allons, ce n'est pas encore cette fois que dans la révolte je parviendrai à introduire la «?mesure?» que nous prêche aimablement M. Camus.?» Les deux écrivains se rencontrent à New York à la fin mars 1946 alors que Camus est invité aux États-Unis pour une tournée de conférences comme représentant de Combat. «?Tous deux se concertent sur la meilleure façon de préserver le témoignage de certains hommes libres des distorsions idéologiques. Ils rêvent à une sorte de pacte par lequel des gens de leur trempe s'engageraient à ne s'affilier à aucun parti politique, à lutter contre la peine de mort, à ne jamais prétendre aux honneurs quels qu'ils soient.?» (ibid.) Avec d'autres intellectuels, ils fonderont en 1948 le Rassemblement démocratique révolutionnaire (RDR). Cet idylle prendra fin quelques années plus tard, à l'automne 1951, lorsque Camus publiera «?Lautréamont et la banalité?» extrait de son Homme révolté à venir. Breton, extrêmement blessé, lui répond dans un article intitulé «?Sucre jaune?» (in Arts)?: «?Cet article [...] témoigne de [l]a part [de Camus], pour la première fois, d'une position morale et intellectuelle indéfendable. [...] Il ne veut voir en Lautréamont qu'un adolescent «?coupable?» qu'il faut que lui en sa qualité d'adulte il morigène. Il va jusqu'à lui trouver dans la seconde partie de son uvre?: Poésies, une punition méritée. À en croire Camus, Poésies ne serait qu'un ramassis de «?banalités laborieuses?» [...] Il n'y aurait encore que demi-mal si l'indigence de ces vues ne se proposait d'élever la thèse la plus suspecte du monde, à savoir que la «?révolte absolue?» ne peut engendrer que le «?goût de l'asservissement intellectuel?». C'est là une affirmation toute gratuite, ultra-défaitiste qui doit encourir le mépris plus encore que sa fausse démonstration.?» Ainsi, deux ans plus tard, Breton tient encore rigueur du crime de lèse-majesté de Camus envers celui que Breton a érigé en père du surréalisme, mais plus encore, cette allusion à la philosophie pacifiste de Camus, ‎

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EUR3,500.00 (€3,500.00 )

‎GONZALES Jean-Jacques ‎

Reference : QWA-3719

‎Albert Camus. L'exil absolu ‎

‎Editions Manucius, 2007, 195 p., in-8 br., coll. "Le marteau sans maître", état de neuf ‎


‎L'œuvre d'Albert Camus a été enfermée dans un carcan interprétatif qui la sépare de ses origines profondes : Camus, écrivain français, écrivain algérien, prix Nobel, porte-parole d'une certaine conscience morale, Camus penseur de l'absurde, Camus partisan de l'Algérie française, Camus " philosophe pour classes terminales ", et plus récemment Camus écriture-symptôme de l'inconscient colonial, etc. Il s'agira de montrer, a contrario, que l'œuvre de Camus est entièrement traversée par la confrontation à un défaut d'origine, véritable matrice d'écriture, caractérisant sa " position algérienne ", et par la tentative sans cesse recommencée d'écrire cette origine absente. Tentative qui trouve son achèvement dans la rédaction interrompue du Premier Homme, ultime entreprise d'écrire le mythe fondateur de ce peuple sans origine et sans destin : les Européens d'Algérie. Cette position algérienne d'exil absolu, loin de tout enracinement, de toute allégeance à une quelconque faction / fiction identitaire, donnera à Camus une liberté souveraine et une vision intempestive à nulle autre pareille qui le fera s'opposer violemment à ses contemporains engagés dans les leurres de l'époque. L'objet de ce livre est d'exposer comment cette position algérienne a déterminé une position politique, philosophique, esthétique et littéraire qui, plus de quarante après, montre encore toute son acuité et sa puissance critique à l'égard des temps révolus comme des temps actuels. Comment aussi cette position, historiquement déterminée, s'est trouvée être la réplique exacte d'une position fondamentale d'écriture ‎

Librairie de la Garenne - Clichy-la-Garenne

Phone number : 01 42 70 11 98

EUR15.00 (€15.00 )

‎BABEY (Stéphane) - [CAMUS (Albert)].‎

Reference : 15766

(2010)

‎Camus, une passion algérienne.‎

‎ S.l., Koutoubia, (2010). Un vol. au format in-8 étroit (228 x 138 mm) de 189 pp., broché, sous couverture à rabats rempliés.‎


‎ L'ouvrage s'agrémente de planches photographiques hors-texte. ''Cinquante ans après la mort d'Albert Camus, que reste-t-il de son oeuvre ? Par l'itinéraire qu'il nous propose entre l'Algérie d'hier et celle d'aujourd'hui, sur les lieux-mêmes où Camus se confronta à la condition humaine et aux drames de l'histoire, Stéphane Babey montre la force et la pertinence d'une pensée trop longtemps vouée à la vindicte et à l'incompréhension. D'Annaba où le destin de Camus rencontre celui de saint Augustin à Alger la blanche en passant par Oran la pestiférée, ce livre est un voyage au coeur de la passion algérienne qui anima Camus jusque dans l'exil. Sur les pas d'Albert Camus par le texte et par l'image.'' Excellente condition. ‎

Babel Librairie - Périgueux
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