Anvers Librairie des Arts, 1966 14 x 19, 153 pp., broché, très bon état
Reference : 9524
"1 des 20 Ex. Num. sur Ossekop, envoi de l'auteur: ""pour Robert Griette, avec la fidèle gratitude d'un mauvais apprenti et la vive admiration de son dévoué Dubief, mai 1966"""
Librairie Ausone
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1653 Paris, Antoine de Sommaville, 1653. In-12, 6 ff. [(1) f. bl., (1) f. de titre, (4) ff. paginés 3 à 7], 126 pp., (1) f. carton du f.A ; (3) ff., 114 pp. ; 104 pp. ; 160 pp. ; 104 pp. ; 95 pp., (1) p. privilège ; maroquin rouge, triple filet doté en encadrement, dos à nerfs orné, dentelle int., tranches dorées (Trautz-Bauzonnet). Première édition collective en partie originale, rare, du second et dernier recueil de Charles de Vion d'Alibray (vers 1590-1652).Chantre de la "poésie de cabaret", gourmand réputé, il composa des poèmes bachiques ("sur deux flacons de vin d'Espagne", "sur une bouteille de Coindrieux"...), épicuriens ("Métamorphose de Gomor en marmite"), amoureux et érotiques (il publia d'ailleurs "L'Amour divisé, discours académique où il est prouvé qu'on peut aimer plusieurs personnes en mesme temps", en 1653).Le feuillet Niv est vierge ; on y trouve parfois la gravure de Gomor en marmite (reprise de l'édition de ce poème vers 1643).
1861-1862 À Paris, chez Aug. Aubry, 1861-1862.
2 volumes in-4 (23,5 cm x 17,5 cm), demi-maroquin vert à coins (reliure de l’époque), dos à nerfs orné de fleurs dorées, pièce de titre et de tomaison bordeaux, tête dorée, ex-libris de E. Lachèvre Le Vésinet contrecollé sur le contreplat, ex-libris de Mony foi de Gèvres. xxviii-[12]-356 ; cx-[2]-309-[2]-1 bl. pages. Rousseurs. Bon état. Première édition collective des œuvres de Pierre de Brach, illustrée de son portrait et de 2 planches hors-texte montrant le palais et l’amphithéâtre de Bordeaux. Pierre de Brach, sieur de la Motte-Montussan (1547-1604) est un avocat, poète et éditeur français. Il compte parmi ses amis Guillaume du Bartas, Pierre de Ronsard et Michel de Montaigne, dont il devient l'intime et sur lequel il écrit à Juste Lipse, le 4 février 1593, la célèbre Lettre sur la mort de Montaigne. Mélangeant, dans une poétique du deuil, la fiction pétrarquiste à la réalité autobiographique, il célèbre, dans de nombreux poèmes, son épouse, dénommée Aymée, qu'il rencontre sous le nom d'Anne de Perrot, son véritable nom, au printemps de 1568, à son retour de Toulouse, et l'épouse le 17 février 1572. Après 16 ans de mariage, onze enfants - dont huit survivent-, elle meurt prématurément le 8 juillet 1587. En 1588, il compose, en sa mémoire, un tombeau poétique et se fait représenter en veuf inconsolé. Bel exemplaire.