Bruxelles, Librairie Albert Dewit, 1921. 13 x 19, 68 pp., broché, partiellement coupé, état moyen (couverture défraîchie).
Reference : 87028
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Armand Colin. Mars-Juin 1973. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 193 à 575.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Sommaire : Etat présent des études péguystes par J. Bastaire, Péguy contre l'école ? par B. Guyon, Sur le personnage de Madame Gervaise dans Péguy par R. Balibar, La figure de Polyeucte dans l'oeuvre de Péguy par F. Gerbod, Péguy et Hugo par P. Albouy, Péguy et Renan par S. Fraisse, D'un malentendu entre Péguy et Bergson par A.A. Devaux, Péguy et Paul Bondois : lettres inédites par J. Marchand, Charles Péguy et Alain Fournier par Y. Rey-Herme Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
[Imprimerie de J.-A. Quillot] - Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD
Reference : 33946
(1848)
1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
Paris, Schleicher Frères, sans date (circa début XXe siècle) ; in-8, broché ; (4), IV, 460 pp.
Dans cet ouvrage dense, l’auteur, adepte de Lamarck et Darwin, se livre à une analyse serrée de tout ce qui sépare le Science des religions dites révélées et plus particulièrement du christianisme ; il y expose aussi l’ensemble des théories du Monisme sensé remplacer les autres religions.Bon exemplaire avec juste quelques petites rousseurs à la couverture (très peu).
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Reference : 16985
Paris, Pagnerre, 1838. 3 works bound in 1 volume. 114, (2) pp.; 40 pp.; 112, (4) pp. 8vo. Modern half morocco, marbled boards, gilt lettering to spine "Procès Politiques de 1838." 1: Armand Laity was one of Louis-Napoleon Bonaparte's partners in the attempt to raise the garrison at Strasbourg in 1836. In 1838 he published an apologetic account of it and was almost immediately arrested by the government, sentenced to 5 years in prison and one franc fine for every copy printed, in all 10,000 francs.2: Le National was an important revolutionary and republican newspaper of the Restoration, the July Monarchy, and the Second Republic. It was founded by Adolphe Thiers, François-Auguste Mignet and Armand Carrel with the express purpose of overthrowing not merely the Polignac government but the Bourbon dynasty. Le National was among only four newspapers that continued publication despite the July Ordinances.3: Aloysius Huber was a socialist conspirator and member of secret societies during the July Monarchy, and a leader of political clubs during the Second Republic. He was influenced by the theories of the socialist Pierre Leroux and quite active during the 1830 Revolution. Disappointed by the results of the revolution, he joined the Society of the Rights of Man and was sentenced to five years in prison for complicity in the Neuilly plot. Freed by the amnesty of 1837, he left for London but soon returned to Paris and was again put in jail, this time for conspiracy to assassinate the king. - The original covers of the second and third work have been preserved. Nice clean copies.
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