‎THEODORE M. et E.‎
‎Nos enfants.‎

‎Liège, Desoer, 1923. 16 x 25, 282 pp., illustrations (photos d'époque), cartonnage éditeur illustré, très bon état.‎

Reference : 18984


‎‎

€15.00 (€15.00 )
Bookseller's contact details

Librairie Ausone
M. Michaël Collet
chaussée de Gand, 366, boîte 7
1080 Bruxelles
Belgium

collet.michael@outlook.com

32 (0)2 410 33 27

Contact bookseller

Payment mode
Cheque
Transfer
Others
Sale conditions

virement bancaire européen - chèques français - Paypal

Contact bookseller about this book

Enter these characters to validate your form.
*
Send

5 book(s) with the same title

‎MARCHAL REBOUL, Ninette‎

Reference : 55717

(1978)

‎Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎

‎1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎


‎Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR750.00 (€750.00 )

‎SARCEY, Yvonne ; [ BRISSON, Madeleine ]‎

Reference : 64464

‎[ 3 lettres autographes signées de remerciements pour l'oeuvre "Les Maisons Claires" ] "Mais que vos 25 ans sont tendres et que votre lettre est bonne et généreuse. Votre mari doit être un homme heureux, et grâce à vous, mes gosses seront des enfants heureux [... ]" - "Merci de ce tendre souvenir en l'honneur de Ste Denise. Que Dieu rende à celle qui porte ce doux nom le bonheur qu'elle donne à mes petits ! [... ]" - "Francette et Denyse sont deux amies généreuses, amies de mes gosses ! Merci à elles de les aimer, de répandre sur eux leur bonheur et Bonne Année ! [...]" ‎

‎3 L.A.S. de une ou deux pages, sur papier à bel en-tête illustré de l'Oeuvre reconnue d'Utilité Publique "Les Maisons Claires", Siège : 5 rue La Bruyère, Paris, s.d., [ vers 1917-1925 ] [ 3 lettres autographes signées de remerciements pour l'oeuvre "Les Maisons Claires" ] "Mais que vos 25 ans sont tendres et que votre lettre est bonne et généreuse. Votre mari doit être un homme heureux, et grâce à vous, mes gosses seront des enfants heureux [... ]" - "Merci de ce tendre souvenir en l'honneur de Ste Denise. Que Dieu rende à celle qui porte ce doux nom le bonheur qu'elle donne à mes petits ! [... ]" - "Francette et Denyse sont deux amies généreuses, amies de mes gosses ! Merci à elles de les aimer, de répandre sur eux leur bonheur et Bonne Année ! [...]" ‎


‎Présidée par Yvonne Sarcey (1869-1950) l’œuvre dite des « Maison Claires » fut fondée le 8 juin 1917. Les enfants habitant en des lieux malsains et insalubres sont accueillis dans les Maisons Claires entre trois et douze mois ; on y récupère notamment les enfants des soldats pauvres morts pour la patrie. On peut lire sur chaque lettre la liste imprimée de 14 "Maisons" situées sur tout le territoire. Bon ensemble.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR95.00 (€95.00 )

‎[Chez Ant. Aug. Renouard,] - ‎ ‎BERQUIN‎

Reference : 63442

(1803)

‎L'Ami des Enfans (7 Tomes - Complet) [ L'ami des enfants ]‎

‎Nouvelle édition, rangée dans un meilleur ordre, 7 vol. petit in-12 reliure demi-chagrin rouge, dos à 4 nerfs dorés orné, tête dorée, filet doré en coupes et mors, Oeuvres complètes de Berquin, Chez Ant. Aug. Renouard, Paris, An XI, 1803, 334 pp. et 19 planches ; 350 pp. et 20 planches ; 356 pp. et 16 planches ; 323 pp. et 15 planches ; 359 pp. et 9 planches ; 399 pp. et 9 planches ; 310 pp. et 9 planches, soit un total de 97 planches hors texte (y compris les frontispices) ‎


‎Bon état pour cet exemplaire bien complet des 7 tomes contenant l'intégralité de "L'Ami des Enfans", quasiment complet des "7 frontispices et 91 figures charmantes" signalées par Cohen, et constituant les 7 premiers tomes des 17 tomes des Oeuvres complètes de Berquin (97 planches sur 98, reliures un peu frottées, qq. traces d'usage, ex-libris signé Gardella avec devise : De la douce lumière. De l’ombre. De la flamme. Et des livres amis ). Cohen, I, 143. Natif de Bordeaux, Arnaud Berquin (1747-1791) fut notamment le précepteur des deux filles de l'éditeur Panckoucke ; il reste l'un des grands précurseurs de la littérature pour enfants. Cette excellente édition de Renouard réunit sous le titre commun d'Ami des enfants, l'Ami des enfants et l'Ami de l'adolescence. Renouard a organisé dans un ordre raisonné et proportionné aux progrès de l'intelligence, les contes et drames que Berquin livrait tous les mois à ses souscripteurs. ‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR180.00 (€180.00 )

‎[Les Enfants de l'Oriental] - ‎ ‎VOINOT, Capitaine L.‎

Reference : 67667

(1988)

‎Oudjda et l'Amalat (Maroc) [ Oujda - Les Enfants de l'Oriental ]‎

‎1 vol. in-8 reliure pleine toile rouge, Les Enfants de l'Oriental, 1988, [ reproduction de l'Imprimerie Typographique et Lithographique L. Fouque, Oran, 1912 ], 346 pp. et 1 f. n. ch.‎


‎Bon exemplaire de cette belle réédition.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR85.00 (€85.00 )

‎[Librairie Hachette et Cie] - ‎ ‎GUIZOT, François ; (NEUVILLE, Alphonse de ; PHILIPPOTEAUX, P. ; RONJAT, E. ; BAYARD, Emile ; DELORD, C. ; SAHIB ; etc.)‎

Reference : 61819

(1872)

‎L'Histoire de France depuis les Temps les plus reculés jusqu'en 1789 racontée à mes petits-enfants (5 Tomes - Complet) [ Suivi de : ] L'Histoire de France depuis 1789 jusqu'en 1848 (2 Tomes - Complet) [ Ensemble 7 Tomes - Complet - Tirage sur papier de chine - Avec une L.A.S. de l'auteur ]‎

‎Exemplaire sur papier de chine, 7 vol. in-4 reliure demi-maroquin à coins vert, dos à 5 nerfs richement orné, filet doré en mors et coins, tête doré, couvertures et dos conservés, reliure signée de David, Librairie Hachette et Cie, Paris, 1872-1876 et 1878-1879, Rappel du titre complet : L'Histoire de France depuis les Temps les plus reculés jusqu'en 1789 racontée à mes petits-enfants (5 Tomes - Complet) [ Suivi de : ] L'Histoire de France depuis 1789 jusqu'en 1848 racontée à mes petits-enfants par M. Guizot, leçons recueillies par Madame de Witt, née Guizot, (2 Tomes - Complet)‎


‎Magnifique exemplaire du rare tirage sur papier de chine, parfaitement relié par David. On joint une lettre autographe signée de Guizot, en date du 25 mars 1839, adressée à Auguste Séguier : "Je lirai avec grand plaisir, Monsieur, l'ouvrage que vous m'annoncez. Je sais avec quelle fermeté d'esprit vous jugez les situations sociales. Je ne craindrai jamais de voir mon nom revenir souvent sous votre plume. Je ne connais rien de plus agréable que d'être compris. Recevez, je vous prie [... ]". François Guizot évoque ici la brochure d'Auguste Séguier, intitulée : "Monsieur Guizot et la Révolution de Juillet", qui paraîtra dans le courant de l'année 1839. Superbe exemplaire, dans le premier tirage des nombreuses illustrations par Alphonse de Neuville, Philippoteaux, Emile Bayard, Sahib, etc..., provenant de la bibliothèque du dramaturge, directeur de théâtre et bibliophile Paul Gavault (avec son ex-libris, infimes usures et frott. en reliure et coupes, parfait état par ailleurs). Vicaire, III, 1177‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR2,500.00 (€2,500.00 )
Get it on Google Play Get it on AppStore
The item was added to your cart
You have just added :

-

There are/is 0 item(s) in your cart.
Total : €0.00
(without shipping fees)
What can I do with a user account ?

What can I do with a user account ?

  • All your searches are memorised in your history which allows you to find and redo anterior searches.
  • You may manage a list of your favourite, regular searches.
  • Your preferences (language, search parameters, etc.) are memorised.
  • You may send your search results on your e-mail address without having to fill in each time you need it.
  • Get in touch with booksellers, order books and see previous orders.
  • Publish Events related to books.

And much more that you will discover browsing Livre Rare Book !