Paris, Plon, Editions d'Histoire et d'Art, 1939 14 x 20, 2 vol., 498 pp., broché, bon état
Reference : 1305
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Paris de l'Imprimerie de G. Doyen, rare impression de Durand et Perrin, 1832, in/8, reliure en demi percaline, 428 pages. Un portrait en frontispice, lithographie par H. Brunet Lyon.
"Friedrich Ludwig Jahn (né le 11 août 1778 à Lanz – mort le 15 octobre 1852 à Freyburg, province de Saxe) était un éducateur prussien, promoteur de la gymnastique et du nationalisme germanique via son organisation « Turnverein » au sein du Mouvement gymnique allemand. En 1848, Jahn devient membre du parlement de Francfort. Jahn est l'un des initiateurs de la création de l'Urburschenschaft.Friedrich Ludwig Jahn est le fils d'un pasteur protestant Alexander Friedrich Jahn (1742-1811) et de sa femme, la fille du pasteur Dorothea Sofia, n. Schultze (* 1751). En 1791, il fréquente le lycée de Salzwedel (Altmark), qui fut renommé en 1931 Jahngymnasium Salzwedel. À partir de 1794, il étudie au lycée berlinois du monastère franciscain à Berlin qu'il quitte deux ans plus tard sans diplôme.Il est souvent appelé Turnvater Jahn, le « père de la gymnastique », pour ses apports à ce sport. Sa gymnastique, le « Turnen », agit sur le plan physique mais aussi au niveau du sentiment national. Elle a été conçue après la défaite d'Iéna face à la France. Elle avait pour objectif de préparer la revanche en restaurant la virilité du peuple allemand et le sentiment national dans le but de créer un État-nation allemand. Le Turnen représente la virilité, l'éducation collective qui vise à ré-imprégner l’individu de la culture de son pays. Il développe la solidarité et le sentiment national. Le mouvement du Turnverein qu'il a fondé a eu une influence intellectuelle sur la genèse du nazisme et du Sokol en Tchéquie. Le logotype de son organisation comportait une croix stylisée avec 4 F pour « Frisch, fromm, fröhlich, frei » c'est-à-dire : « frais, pieux, joyeux, libre ». Il considérait la pratique du sport par le peuple comme une nécessité afin travailler contre son asservissement et de préparer la lutte contre « les ennemis de la liberté » et d'éveiller une conscience nationale, en Allemagne. C'est ainsi qu'on lui prête (car non compris dans ses propres publications) la citation suivante : « Les Polonais, les Français, les curetons, la noblesse et les Juifs sont la malchance de l'Allemagne » et qui a été repris au début du xxe siècle pour accréditer le nationalisme allemand, et être considéré par les nazis comme un précurseur de leur doctrine (avec l'amour pour le sport afin maintenir les soldats potentiels en forme)."
Odile jacob 1998 240 pages in8. 1998. Broché. 240 pages. Au moment où l'Allemagne vit un tournant où l'Europe marchant vers l'unité accède au rang de puissance internationale le centenaire de la mort du grand homme d'Etat que fut Otto von Bismarck incite à réfléchir aux bouleversements dont il a été l'acteur et parfois le maître d'œuvre mais surtout aux évolutions que l'Allemagne l'Europe et l'humanité tout entière ont vécues au cours du siècle écoulé depuis la disparition du premier chancelier du Deuxième Reich.1898 - 1998 : entre ces deux époques la différence est immense. 1998 - 2098 : le contraste sera sans doute plus net encore. Raison de plus pour tirer les leçons du passé en cherchant à mieux comprendre l'action d'un homme qui a su anticiper et orchestrer des changements considérables
Etat de Neuf
August Von Kageneck Anne-Marie Le Gloannec Berstein Serge Milza Pierre Grosset Alfred
Reference : 100086710
Fayard / Calmann-Lévy / Masson / Perrin in8. Sans date. Relié. 4 volume(s).
Bon état intérieurs propres bonne tenue de l'ensemble rousseurs légères sur tranches
C. Marpon et E. Flammarion in4. Sans date. Relié. 2 volume(s). abondante iconographie en noir et blanc
circa 1890 bords frottés coins un peu émoussés intérieurs globalement propres rousseurs fortement marquées au début des livre
Editions de Fallois, 2002, in/8 broché, 542 pages. Traduit de l'allemand par Isabelle Hausser.
"Le bombardement des villes allemandes, durant la Seconde Guerre mondiale, est un fait unique dans l'Histoire. Pendant quatre ans, pratiquant la stratégie de la terreur décidée par les Alliés, les 2000 avions du Bomber Command ont écrasé sous un déluge de feu plus de 1000 villes et villages. Ils tuèrent plus de 600000 civils dont 76000 enfants, détruisant irrémédiablement, et sans aucune utilité militaire, des cités qui dataient du Moyen Age. Ce fut la plus grande catastrophe qu'ait connue l'Allemagne depuis la guerre de Trente Ans. L'historien Jörg Friedrich nous offre aujourd'hui l'œuvre qui manquait sur cette campagne d'anéantissement. Se fondant sur de très nombreuses sources, il décrit l'évolution et le perfectionnement des bombes, leur action destructrice au sol, l'expérience traumatisante vécue par la population réfugiée dans les bunkers et les caves, la mort provoquée par l'élévation subite de la température, l'effet de souffle et les gaz incendiaires, mais aussi la disparition d'un héritage culturel d'une incommensurable richesse. Avec ce livre est enfin comblée une surprenante lacune de la mémoire du XXe siècle."