‎VIGNEAU André‎
‎Le Cinéma‎

‎Le Caire, Les Lettres Françaises, 1945 in 4 broché, 132 pages‎

Reference : 1729


‎Edition originale sur papier d'édition après 50 exemplaires en grand papier. Etude générale sur le cinéma. Illustrations, croquis.‎

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Librairie Pascal Corseaux
M. Pascal Corseaux
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‎SICLIER (Jacques).‎

Reference : 89740

(1981)

‎La France de Pétain et son cinéma.‎

‎ P., Henri Veyrier, 1981, gr. in-8°, 460 pp, 48 pl. de photos hors texte, liste alphabétique des réalisateurs, liste chronologique des films, fiches techniques et résumés des 220 films analysés, broché, couv. à rabats, bon état‎


‎"Le titre choisi par Siclier, critique au “Monde”, exprime le désir de l'auteur de ne pas porter sur le cinéma de la France occupée "le regard d'un intellectuel politisé des années 70 sur un passé non directement vécu". L'ambition de ce volume n'est pas de présenter une analyse idéologique mais, plus modestement, de livrer le témoignage d'un spectateur dont les jugements concernent la qualité des oeuvres plus que leur message réel ou supposé. Siclier, comme tant d'autres adolescents, a vécu l'Occupation plus ou moins en marge de conflits dont l'écho n'arrivait souvent qu'assourdi dans sa petite ville. II le reconnaît simplement, et le charme de son livre tient sans doute à la chronique discrète qu'il fait de sa jeunesse à Troyes. Une jeunesse exemplaire dans sa banalité, à laquelle seul le cinéma pouvait apporter la part de rêve indispensable. Mais nul impressionnisme dans ces souvenirs : l'auteur s'appuie sur une documentation précise, a revu tous les films qu'il évoque et a rencontré certains acteurs et réalisateurs. Le spécialiste trouvera donc dans cet ouvrage une foule de renseignements, dont l'intérêt est aussi historique car ils aident à mieux comprendre les ambiguités et les contradictions de la France de Vichy. Sans prétendre résumer un travail aussi riche, l'on signalera un passionnant chapitre sur la Continental, société allemande opérant en France, chargée d'inonder le marché de "films [...] divertissants mais nuls" afin de hâter la décadence morale du pays ; parmi de nombreuses comédies de valeur inégale, destinées à combler le vide laissé par le cinéma américain (interdit), elle produisit quelques authentiques chefs-d'oeuvre, dont Le Corbeau. Siclier, à l'occasion de tel ou tel film marquant, évoque également les principales tendances du cinéma français d'alors, qui se caractérise par l'importance des adaptations littéraires et la persistance de comédies boulevardières traditionnelles : échapper à la vigilance de la censure, affirmer la continuité et l'éclat de la culture française malgré la défaite, oublier la guerre, telles étaient les préoccupations essentielles. Les signes de l'idéologie dominante sont perceptibles dans ces films mais elle n'épargnait totalement personne, comme le montre courageusement le cinéaste résistant Louis Daquin. Toutefois, Siclier insiste avec raison sur l'écart existant entre le message explicite ou implicite des films et leur réception par un public souvent critique. Surtout, la plupart des oeuvres présentées se rattachaient au cinéma d'avant-guerre, transgressant parfois ouvertement l'ideologie pétainiste, comme dans Voyage sans espoir. Sur les 220 films tournés sous l'Occupation, beaucoup n'ont plus qu'un intérêt documentaire. Mais l'on note l'apparition de talents qui devaient marquer le cinéma français par la suite, comme Becker ou Bresson. Siclier consacre les dernières pages à étudier rapidement les films sur la Résistance, évoque le toumant de 1971 avec le choc provoqué par Le Chagrin et la Pitié ainsi que la vogue actuelle de films sur la Collaboration : "Depuis 1945 l'époque Pétain, mythifiée ou demythifiée, refoulée ou éclairée, n'a pas cessé de hanter le cinéma français"." (Jean Paulhan, The French Review, 1983) — "Pour tout travail sur le cinéma de l’Occupation, l’ouvrage de J. Siclier offre un double intérêt. Le témoignage d’un jeune cinéphile reconstitue à merveille l’atmosphère d’illusion des salles des « années noires ». Mais en contrepoint apparaît le jugement de l’adulte qui a médité sur la période, peut-être poussé par la volonté d’exorciser ses souvenirs. A travers l'analyse des 220 longs métrages tournés en France entre 1940 et 1944, J. Siclier y développe sa thèse : l’inexistence d’un cinéma de Vichy, vitrine artistique de l’État français, 1940-1944 marquant la persistance de structures dans une nouvelle conjoncture politique." (Jean-Marc Lafon) — De l'Armistice à la Libération, le cinéma français a continué à exister. Des cinéastes et des acteurs se sont expatriés, mais deux cent vingt longs métrages de fiction ont été réalisés sous le régime de Vichy par des cinéastes aussi prestigieux que Robert Bresson, Marcel Carné, Henri-Georges Clouzot, Jacques Becker, Sacha Guitry, Marcel Pagnol et Jean Delannoy. Pour Jacques Siclier, ce cinéma n'a pas été aussi lié qu'on a bien voulu le dire au régime de Vichy. Et s'il y a eu des films pétainistes, il n'y a pas eu, contrairement à l'opinion reçue, de "Cinéma de Vichy". Son livre n'est pas seulement l'analyse, titre par titre, de tous ces films et de leurs conditions de production, mais une réflexion sur l'esprit du temps et la psychologie des spectateurs de cinéma en France occupée. C'est à cette lumière que l'on peut revoir Les visiteurs du soir, Le corbeau, Les inconnus dans la maison, Le ciel est à vous, L'éternel retour et Les enfants du paradis. ‎

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‎Collectif – Revue d'histoire moderne et contemporaine.‎

Reference : 110734

(1986)

‎Cinéma et société. Etudes réunies par J.-A. Gili.‎

‎ Armand Colin, Société d'Histoire moderne, 1986, gr. in-8°, 168 pp, broché, bon état‎


‎Histoire et société (Jean-A. Gili et Pierre Milza) – Le cinéma à l'Exposition universelle de 1900 (Emmanuelle Toulet) – Aux origines du spectacle cinématographique en France. Le cinéma forain : l'exemple des villes du Midi méditerranéen (Guy Olivo) – La fortune critique de Bêla Balâzs en France (Barthélémy Amengual) – L'accueil du cinéma français en Italie pendant l'époque fasciste (1930-1945) (Jean-A. Gili) – Cinéma suisse de fiction et « défense nationale spirituelle » de la Confédération helvétique (1933-1945) (Rémy Pithok) – « La bataille du rail » : de l'authenticité à la chanson de geste (Jean-Pierre Bertin-Maghit) – L'accueil des films américains en France pendant la guerre froide (1946-1953) (Patricia Hubert-Lacombe) – Les origines de la légende noire des accords Blum-Byrnes sur le cinéma (Jacques Portes) – Comptes-rendus d'ouvrages d'histoire sur le cinéma. ‎

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EUR15.00 (€15.00 )

‎EIZYKMAN (Claudine).‎

Reference : 17617

(1975)

‎La Jouissance-cinéma.‎

‎ UGE, 1975, in-12, 312 pp, index, lexique, broché, couv. illustrée, discret C. de bibl., bon état‎


‎Le cinéma ne peut plus être seulement pensé comme étant émis par le social, mais comme produisant simultanément du social. Cette fonction d’initiateur (sexuel, politique) se relève dans sa forme dominante : le cinéma NRI (narratif - représentatif - industriel) et ses métamorphoses modernes (fonctionnement). Mais la prise en considération des recherches (cinéma indépendant), qui pour être minoritaires n’en sont pas moins actives par leur radicalité perceptive, permet, après une analyse précise des mécanismes, d’exhiber les configurations opératoires : les graphes de la jouissance-cinéma. Les processus de cette triple circulation sociale, libidinale, filmique, qui ont résisté et résistent à toutes les tentatives d’écrasements sémantiques, sont ici saisis dans leur modalité et leur temporalité propres. Dès lors, le cinéma n’est plus le récif où les sciences humaines viennent échouer, mais le modèle actif qui permet la constitution d’une énergétique généralisée. ‎

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‎SORLIN (Pierre).‎

Reference : 126518

(1977)

ISBN : 9782700700732

‎Sociologie du cinéma. Ouverture pour l'histoire de demain.‎

‎ Aubier, 1977, in-8°, 319 pp, 32 pl. de photos hors texte in fine, filmographie, note bibliophique, index, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. historique)‎


‎La lumière se rallume, les yeux clignent; la rupture brutale de la fin du film crée chez le spectateur un manque, un vide que l'on chercher à combler par une discussion ou par le recours à des commentaires, à des articles critiques. Mais comment lire un film ? Pierre Sorlin, prenant l'exemple du cinéma italien – celui qui en Europe permet le mieux d'envisager les problèmes de notre société – propose une méthode de "lecture" qui tienne compte de la spécificité du fait filmique. — "Pierre Sorlin (1933-2025) a été un des artisans du renouvellement des études du champ cinématographique. Grâce à ses travaux, le cinéma devient un nouvel objet à problématiser. Né à Bourg-en-Bresse, le 19 août 1933, agrégé d’histoire en 1955, il fut, avec Marc Ferro (1924-2021), Annie Goldmann (1931-2020) et Michèle Lagny (1938-2018), un des représentants significatifs du courant cinéma et histoire en France. Après avoir commencé sa carrière universitaire comme historien de l’époque contemporaine, Pierre Sorlin s’intéresse ensuite essentiellement aux rapports entre cinéma et historiographie. Il théorise l’usage du document audiovisuel comme outil de compréhension essentielle du XXe siècle à une époque où l’archive écrite restait sacralisée par les historiens. Dans “Sociologie du cinéma” (Aubier, 1977), le document audiovisuel devenait un témoignage dans le domaine de l’histoire sociale..." (Kristian Feigelson, Le Monde, 28 jan. 2025) ‎

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‎SADOUL (Georges).‎

Reference : 87638

(1948)

‎Histoire générale du Cinéma. I. L'Invention du Cinéma, 1832-1897.‎

‎ Denoël, 1948, in-8°, 438 pp, nouvelle édition revue et augmentée, 243 illustrations, chronologie, filmographies, index, broché, très bon état‎


‎"M. Georges Sadoul, l'un des meilleurs spécialistes et critiques français du cinématographe, commence la publication d'une importante Histoire générale du Cinéma, qui comprendra plusieurs volumes. Le premier, qui vient de paraître, relate l'Invention du Cinéma (1832-1897), depuis les travaux des précurseurs jusqu'aux débuts de l'essor planétaire du cinéma. (...) Nous suivons d'abord le détail de l'invention des appareils au cours du siècle dernier : étonnante, complexe aventure oti grouillent des centaines d'inventeurs, bricoleurs, artisans, hommes d'affaires et affairistes, des savants de génie et des aventuriers, des apôtres et des faussaires, et que jalonnent des noms comme ceux de Joseph Plateau et de Stampfer, de Horner qui, dès 1834, créa la bande d'images, de Du Mont, Ducos du Hauron, Cook, premiers constructeurs de « caméras », de Maybridge, qui réalisa les premières véritables prises de vues ; de notre grand Etienne-Jules Marey, qu'on retrouve, en cette seconde moitié du siècle à tant de détours des recherches les plus nouvelles, appliquées à l'activité motrice et industrielle de l'homme ; d'Edison qui, sur un autre plan, est inséparable de la civilisation mécanicienne où l'humanité s'engage alors définitivement ; de l'attachant Emile Reynaud, des frères Lumière. La seconde partie du volume retrace, d'alerte et vivante manière, à partir des lanternes magiques et ombres chinoises, l'histoire des premiers spectacles de vues animées..." (Georges Friedmann, Annales ESC, 1946) ‎

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