Paris, Alphonse Lemerre, 1934. In-12, broché, non coupé, 127 pp. Sur beau papier (non précisé).
Reference : 3787
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Gallimard. 1966. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 255 pages.Exemplaire de bibliothèque recouvert d'un film transparent. Etiquette sur le premier plat et au dos. Tampon sur certaines pages. Range fichette sur la dernière page.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
S.P.E.P.. NOVEMBRE 1962. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 128 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
"Sommaire : MICHEL DACIER•Vers le déclin ..JEAN PLEYBER•Les travaux et les jours: «Contre nous, de la tyrannie.»GEORGES AIMEL•Le Maroc d’hier mis au goût du jour .PAUL AUPHAN•Le rôle de la marine dans la guerre de demain ..RAYMOND LACOSTE•L’Angleterre et le problème algérien .FRANK MACMILLAN•La vérité sur la Société John Birch. GILLES MERMOZ•Connaissance de l’O.A.S. (II) .fS""JACQUES ISORNI•Plaidoirie pour les officiers de Saint-Cyr EDITH DELAMARE•La folie du roi Charles VI .PEREGRINUS•Catholicisme ou latinisme ? ..LUCIEN REBATET•Chronique musicale : « Jeanne au bûcher » .GEORGES PORTAL•Chronique dramatique : « Un bourgeois de Sicile » .HENRIETTE CHARASSON•Autour de la vie spirituelle ..ADOLPHE DE FALGAIROLLE•Tapisseries à Lausanne ..VANDERPYL•L’aquarelle ..CLAUDE ELSEN•Le cinéma : « Antonioni et quelques autres » ANDRE THERIVE•Lectures françaises : « Pensée chinoise » .. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues"
Assas éditions. 15 septembre 1997. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 39 pages.. . . . Classification Dewey : 260-Théologie sociale chrétienne
Sommaire : Après ces jours de fête par Paul Legavre, Europe : intégration ou déclin ? par Daniel Maquart, Le Dieu de Jésus Christ, Dieu dans notre histoire par Marcel Domergue, L'ACAT, entre Evangile et droits de l'homme par Christophe Grannec, Gilles Bernheim : la lettre et le sens Classification Dewey : 260-Théologie sociale chrétienne
Châteaudun, Société Dunoise d'Archéologie, Histoire, Sciences et Arts, 2006-2009-2014, 3 vol. in-4 cartonnage (21,5x30), 318 p.-400 p.-416 p., abondante iconographie en noir et en coul., état de neuf.
Etude très documentée et remarquablement illustrée du Pays Dunois. Le premier tome de l’Histoire du Dunois nous mène de l’origine des temps aux environs de l’an mil. Bien que limités à une documentation à forte dominante archéologique, nous pouvons mettre en lumière l’existence d’une entité dunoise, d’un pays, dès la fin de l’Antiquité voire de la protohistoire. Le deuxième tome nous montre qu'après une période de splendeur qui culmina au début du XVIe siècle, Châteaudun et son pays entrèrent dans un relatif déclin marqué par les malheurs des guerres de religion et deux siècles d'assoupissement. Le troisième tome s'articule autour d'une rupture fondamentale de l'histoire de la nation française, celle de la révolution de 1789 qui va bouleverser les cadres institutionnels au moment même où s'affirment des changements économiques qui vont à terme se révéler d'un intérêt mondial. L'Histoire change d'échelle en même temps qu'elle s'accélère. Il n'est plus question d'un petit territoire où l'essentiel de la vie de la plus grande part des habitants s'effectue en vase clos, désormais, le Dunois se connecte avec les rythmes d'une histoire nationale et mondiale sur lesquels il ne saurait réellement influer.
Plon, 1981-1984, 3 vol. gr. in-8°, 332, 266 et 460 pp, 48 pl. de photos hors texte, biblio, brochés, couv. illustrées, bon état
Complet — "La trilogie “Cent ans d'Histoire de France” constitue la deuxième et dernière écriture autobiographique assumée de Vercors, après “La Bataille du silence” (1967). Vu le caractère tardif de cette édition, nous pourrions d'emblée penser au fait que Vercors, âgé, éprouve, comme nombre d'écrivains, le besoin de s'épancher sur son passé et de faire le bilan d'une vie. C'est sans doute une hypothèse fort plausible, mais elle n'est pas la seule. Ces mémoires ultimes se veulent en effet une double chronique, historique et biographique. De prime abord, cette trilogie a de quoi dérouter par son caractère insolite. Le premier tome de 1981 s'intitule en effet “Moi Aristide Briand. Essai d’autoportrait. Cent ans d’Histoire de France. L’apogée de la République (1862-1932)” ! Vercors entend faire un autoportrait de cet homme politique qu'il admire depuis les années 20 pour ses actions en faveur du pacifisme. Sa chronique débute donc en 1862, année de naissance de Briand, sous la forme originale d'une autobiographie de celui qui fut autant l'homme de Verdun que celui de Locarno. C'est fictivement Briand qui parle, pourvu du pronom personnel "je" revendiqué. Dans le préambule, Vercors explique avoir préféré cette utilisation du pronom personnel de première personne pour lever les ambiguïtés. Il faut au contraire percevoir toute la filiation personnelle et professionnelle de ces deux hommes dont les patronymes Briand/Bruller sonnent comme une similitude. Et c'est d'autant plus perceptible que la mort de cet homme en 1932, qui clôture ce premier volet, laisse la place dans le deuxième tome à Jean Bruller, alors au sommet de sa maturité personnelle et artistique, prêt bientôt à participer dans son milieu intellectuel à défendre le pacifisme dont il est animé. Dans les tomes 2 et 3, le lecteur assiste ainsi à l'engagement de ce dessinateur devenu l'écrivain Vercors sous l'Occupation, avec la création des Editions de Minuit clandestines et l'écriture du célèbre Silence de la mer. Dans cette chronique de cent ans, le dernier volet s'arrête en 1962, au moment où le combat de Vercors en faveur d'une Algérie indépendante trouvait sa conclusion dans les accords d'Evian. Ainsi, par rapport à “La Bataille du silence”, Vercors a couvert en plus des années de l'Occupation celles d'après-guerre, jusqu'au début des années 60. On remarque néanmoins que son récit autobiographique reste rivé aux années de guerre l'ayant si profondément marqué, et rejette dans l'ombre l'enfance, les années 20, et les années 60-80. Vercors se livre donc tout en restant mystérieux, car peu prolixe sur de larges pans de sa vie. Le lecteur curieux n'a pas d'autre choix que de lire sa production entière pour traquer les éléments biographiques manquants, en se heurtant cependant aux doutes et aux interrogations – on hésite toujours sur la part du réel et du fictionnel dans des récits qui de toute façon n'ont pas vocation au pacte de vérité de l'autobiographie." (Nathalie Gibert-Joly, site Jean Bruller-Vercors) — "Moi, Aristide Briand" n'est pas une biographie comme les autres. Briand n'ayant pas laissé de Mémoires, Vercors, en écrivain de grande classe expert à saisir de l'intérieur les hommes et les choses, s'est substitué à lui pour nous donner ici la plus vraie des autobiographies. Était-il manière moins infidèle de raconter une vie, de comprendre un destin, que de rendre ainsi la parole à celui qui demeure l'une des plus hautes figures de l'histoire contemporaine ? La rencontre est exceptionnelle et la réussite totale, car la sympathie ne masque jamais le regard critique. Et Aristide Briand, avec son éternelle cigarette entre les lèvres, est là tout entier, vivant dans son temps. Du jeune avocat de Saint-Nazaire, aux prises avec un « scandale » amoureux, au diplomate des accords de Locarno, deux grandes passions dominent cette vie et cette carrière politique bien remplie. La passion d'unifier et la passion de la paix. Avant la guerre, voici l'ami de Jaurès – avec lequel il rompra dans la tristesse – œuvrant pour l'union du socialisme français. Après la guerre, voici l'apôtre du désarmement, avec son horreur de la « guerre inhumaine », voulant redonner ses chances à l'Europe meurtrie. Le prix de ce grand livre est de montrer que ces passions, ces combats ont été portés par une même et longue fidélité. Un portrait aux mille facettes, où revit de la façon la plus vivante toute une époque.