Paris, chez Marcelle Lesage, " La Folie du sage", 1927. In-12, broché ; 73 pp., non coupé, couverture imprimée et rempliée.
Reference : 20445
Edition originale. Dixième volume de la collection. Un des 225 exemplaires numérotés sur papier d'Arches. Bel ex. Photos sur demande.
Livres de A à Z
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[revue] Objets et Mondes tome 8 [tome VIII] fascicule 1. Printemps 1968. (Auteurs: Edit FEL, Bernard DUPAIGNE)
Reference : 1107069
Paris: Musée de l'Homme, Museum National d'Histoire Naturelle, 1968 in-4, nombreuses illustrations. Broché, bon état. Sommaire: Edit FEL, Exposition d'art populaire hongrois. - Bernard DUPAIGNE, Aperçus sur quelques techniques afghanes.
[revue] Objets et Mondes tome 8 [tome VIII] fascicule 1. Printemps 1968. Sommaire: Edit FEL, Exposition d'art populaire hongrois. - Bernard DUPAIGNE, Aperçus sur quelques techniques afghanes. (Paris: Musée de l'Homme, Museum National d'Histoire Naturelle, 1968). [M.C.: revue, Ethnologie, Hongrie, Afghanistan]
Envois de l'auteur, 3 vol. in-8 br., Editions Albin Michel, Paris.Rappel du titre complet : [ Lot de 3 livres dédicacés par l'auteur, auxquels on joint un belle lettre autographe signée ] Documents secrets - La vie seconde - Oeil-de-Dieu Avec une LAS : "Je viens de lire la note que vous avez bien voulu consacrer à ma "Vie Seconde" dans Arts, et vous en dis merci. Vous avez compris, et avez bien fait de souligner que ces aperçus du rêve ne sont pas de simples "rêveries" d'écrivain, mais une sorte d'introduction à une oeuvre presque achevée, et comme l'éclairage de toute une vie de poète et de romancier".
Bel ensemble d'ouvrage tous dédicacés par l'écrivain belge Franz Hellens (à François Erval, à Jean Lemarchand "cette poursuite d'une vie fugitive, surréelle", et à l'écrivain et critique Michel Desbruères "heureux de savoir qu'il a aimé Mémoire d'Elseneur". On joint une LAS à ce dernier, datée de février 1964 : "Je viens de lire la note que vous avez bien voulu consacrer à ma "Vie Seconde" dans Arts, et vous en dis merci. Vous avez compris, et avez bien fait de souligner que ces aperçus du rêve ne sont pas de simples "rêveries" d'écrivain, mais une sorte d'introduction à une oeuvre presque achevée, et comme l'éclairage de toute une vie de poète et de romancier". Prix du lot, non séparable.
[A Paris de l'Imprimerie Royale , Librairie Orientale de Dondey-Dupré Père et Fils, etc.] - SILVESTRE DE SACY, M. le Baron ; QUICHERAT, Louis
Reference : 22441
(1827)
4 tiré-à-part reliés ensemble en 1 vol. in-8 reliure demie-percaline verte, Lettre à M. Abel-Rémusat sur la nature des formes grammaticales en général, et sur le génie de la langue chinoise en particulier, par M. G. de Humboldt ; Extrait du Journal des Savans, Février et mars 1828, A Paris de l'Imprimerie Royale, Mars 1828, 40 pp. - Nouveaux aperçus sur l'Histoire de l'Ecriture chez les Arabes du Hedjaz, Librairie Orientale de Dondey-Dupré Père et Fils, Paris, 1827, 27 pp. - Lettre à M. J. L. Burnouf sur l'Impératif latin, Imprimerie Panckoucke, Paris, Mars 1841, 31 pp. - Deuxième Lettre sur l'Impératif latin, Imprimerie de Paul Dupont et comp., Extrait du Journal Général de l'Instruction Publique, 1841, 4 pp.
Bel exemplaire des ces quatres rares tirés à part, tous en édition originale. On y trouve la rare notice de Silvestre de Sacy consacrée à la controverse menées entre Abel-Rémusat et G. de Humboldt sur l'influence des formes grammaticales sur le développement des idées, et surtout l'introuvable notice du même auteur consacrée à l'histoire de l'Ecriture chez les arabes du Hedjaz : la découverte de papyrus en langue arabe permet à Silvestre de Sacy de confirmer son intuition, et l'autorise à affirmer que "le caractère neshki, dont on fixait l'invention à la fin du IIIe siècle de l'Hégire, existait, à peu près sous la forme actuelle, avant que les Arabes du Hedjaz reçussent d'Anbar ou de Hira celui qui a donné naissance au caractère coufique". Les deux tirés à part de Quicherat sont également en édition originale. Fine copy of the two very scarce original offprints by Silvestre de Sacy (OCLC records only two copies of the first one in the USA - Cornell and Standford according to OCLC, two copies in Cambridge and Manchester on COPAC -, no copy of the second one located in the USA, only one copy at Manchester University according to COPAC ).
Paris, L.G. Michaud, Delaunay et Dentu, février, 1815
In-8 (20 X 13 cm), 108 pp., Cartonnage papier marbré, dos lisse janséniste, pièce de titre maroquin vert, tranches marbrées (relié vers 1900). Édition originale. Étienne Bourgevin Vialart, comte de Saint-Morys, fils d'un conseiller à la grand'chambre du Parlement de Paris, naquit dans cette ville en 1772 et fut élevé avec le plus grand soin sous les yeux de son père qu'il suivit dans l'émigration en 1790. Il épousa, à Coblentz, en 1791, la nièce du Ministre Calonne; et il servit, à la même époque, comme simple volontaire dans la légion de Mirabeau: il fit, en qualité d'aide-de-camp du Maréchal de Broglie, la campagne de 1792, et continua dans les années suivantes à servir dans l'armée de Condé. Après le licenciement, il voyagea en Suède et en Russie ; et il recueillit dans ces contrées des observations précieuses pour les arts et l'histoire naturelle, qu'il alla publier en Angleterre, sous le titre de Voyage pittoresque de Scandinavie, Londres, 1802, in-4º, fig. Il revint, en 1803, à Paris, où sa mère n'avait pu conserver d'une fortune considérable que de faibles débris, échappés aux spoliations révolutionnaires. Compromis dans l'affaire Georges Cadoudal, en 1804, par suite de ses liaisons avec MM. de Polignac, il fut emprisonné à la Force, puis mis en surveillance à Houdainville près de Beauvais où son père avait bâti un très-beau château, dont il ne restait que des ruines. Ce fut alors, pour le comte de Saint-Morys, une grande faveur que d'obtenir la restitution d'obtenir la restitution d'une faible partie du terrain que son père avait possédé. L'autre partie était vendue ; et l'acquéreur lui disputa bientôt ce que les autorités de ce temps-là elles-mêmes avaient restitué. Il en résulta pour lui une discussion qui a fait le malheur de sa vie et qui enfin a été la cause de sa mort. Le 31 mars 1814, le comte de Saint-Morys fut du petit nombre des habitants de Paris qui contribuèrent si efficacement, par leur zèle, au rétablissement du trône des Bouchons. Le roi le nomma, dans la même année, sous-lieutenant de ses gardes, puis lieutenant et maréchal-de-camp. Il ne recouvrira rien de l'immense fortune de son père : mais les Bourbons avaient recouvré leur trône et il était au comble de ses voeux. Personne ne se soumit plus franchement à la constitution qui fut donnée par le roi ; et personne n'en accepta plus sincèrement toutes les conséquences. Admirateur passionné des lois anglaises, il manifestait, quelquefois, dans sa conversation, des opinions politiques qui ne plaisaient pas toujours à ses amis. Ce fut dans de tels principes qu'il publia en 1815, un petit écrit contre la traite des nègres, et, peu de jours après, ses Aperçus sur la politique de l'Europe et l'administration intérieure de la France, un 8º. Cette dernière brochure venait de paraître lorsque l'auteur fut obligé de suivre le roi à Gand. Il commanda dans la retraite un détachement des gardes-du-corps, et montra beaucoup de fermeté. Lors du retour, il fut un des premiers officiers de la maison du roi qui rentrèrent dans Paris ; il vint lui-même, dès le 8 juillet, faire placer le drapeau blanc sur le château des Tuileries. Après l'ordonnance du 5 septembre 1816, qui prononça la dissolution de la chambre des députés, Saint-Morys se rendit au collège électoral de son département, à Beauvais, avec l'intention, qu'il ne cacha point, d'y voter pour M.- de Kergorlay, que repoussait le ministère. C'est à cette circonstance que l'on a ensuite attribué ses malheurs. Ce qu'il y a de sûr, c'est que le prince de Poix, son capitaine, son capitaine, le menaça par écrit, de destitution, s'il ne votait pas pour le candidat ministériel, et que, bientôt après, l'acquéreur de ses biens, avec lequel il avait eu des démêlés qui paraissaient assoupis, recommença des attaques et des insultes auxquelles le comte de Saint-Morys répondit comme devait le faire un militaire, homme d'honneur. Il satisfit à tout ce que sa position et son rang exigeaient (Michaud. Bibliographie universelle).