‎SAINT-GENEST‎
‎La politique d'un soldat.‎

‎ P., Dentu, 1872. Petit in-8, broché, [2]ff.-302 pp. Edition originale. ‎

Reference : 561807


‎Par Emmanuel-Arthur Bucheron, dit Saint-Genest (1834-1902), journaliste monarchique et militariste. Couverture brunie, petites rousseurs éparses, cependant exemplaire tout à fait correct. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €) ‎

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‎SAINT-GENEST‎

Reference : 1551

‎LA POLITIQUE D'UN SOLDAT.‎

‎Paris, E. Dentu, 1872 in-12 broché, 302 pp. Quelques rousseurs, sinon bon état.‎


Phone number : 06 34 99 23 95

EUR15.00 (€15.00 )

‎Saint-Genest (Emmanuel-Arthur Bucheron).‎

Reference : DEZ-1077

(1872)

‎La politique d'un soldat.‎

‎Paris, Dentu, 1872. In-8 carré, demi chagrin, dos à nerfs, titre doré, 302 pp. Edition originale. Coins émoussés, coiffes frottées, manques de papier cuve sur les coupes, rousseurs, exemplaire légèrement gauchi.‎


‎Emmanuel-Arthur Bucheron est un militaire et journaliste de la seconde moitié du XIXe siècle. Il participa à la campagne d'Italie et à la guerre franco-prussienne de 1870. Il entre au Figaro en 1869. Polémiste monarchique et militariste, il défend l'armée et s'attaque violemment aux républicains. Cet ouvrage est un ensemble d'articles écrits au jour le jour pendant l'été 1871. ‎

Phone number : 02-31-86-52-18

EUR20.00 (€20.00 )

‎[Imprimerie de J.-A. Quillot] - ‎ ‎Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD‎

Reference : 33946

(1848)

‎Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎

‎1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎


‎Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR175.00 (€175.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO10079179

(1865)

‎L'ILLUSTRATION JOURNAL UNIVERSEL N° 1179-Texte : Revue politique de la semaine. — Concours d’orphéons à Toulouse (Haute-Garonne). —.Courrier de Paris. — Album d’un soldat de l’expédition du Mexique. — Une France lointaine : Expédition de M. le comte......‎

‎Au bureau du journal. 30 septembre 1865. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages environ illustrées de nombreuses gravures en noir et blanc - Paginées de 210 à 224. . . . Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon‎


‎SOMMAIRE : Texte : Revue politique de la semaine. — Concours d’orphéons à Toulouse (Haute-Garonne). —.Courrier de Paris. — Album d’un soldat de l’expédition du Mexique. — Une France lointaine : Expédition de M. le comte Du Bisson en Abyssinie, par M. Georges Bell. — Projet d’un Monument à élever à Paris, en l’honneur de Jeanne Darc. — Le bohémien Bockes (nouvelle), par M. Erckmann-Cha-trian. — Un Mobilièr historique des XVIIe et XVIIIe siècles, parlé bibliophile P.-L. Jacob. — Revue scientifique, par M. le Dr Mary-Durand. — Le lac de Némi, dans la campagne de Rome, par M. J.-A. Du Pays. — Chronique musicale, par M. G. Héquet. — Causerie dramatique, par M. Jules Claretie. —1 Biographie : Le général Le Pays de Bourjolly, sénateur. — Inauguration de la statue de Jenner, à Boulogne-sur-Mer.Gravures: Concours d’orphéons sur la place du Capitole, à Toulouse.— Expédition de M. le comte Du Bisson' en Abyssinie : Vue du campfrançais, à Kouffith Ba’ria; traité d’amitié entre les Ba’rias et le comte Du Bisson ; Mme la comtesse Du Bisson voyageant chez les Ba’rias; sceau de Théodoros et armes diverses. — Album d’un soldat de l’expédition du Mexique (7 gravures). — Les Loteries abolies,; les Loteries autorisées, caricatures par Bertall (li gravures). — Les mois : Septembre, par Gavarni.—Les bords du lac de Némi, dans la campagne romaine, dessin de M. Anastasi.— Portrait du général de division Le Pays de Bourjolly, sénateur.— Inauguration à Boulogne-sur-Mer de la statue de Jenner, inventeur de la vaccine. — Rébus. Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon‎

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EUR39.80 (€39.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R110073666

(1940)

‎REVUE DES DEUX MONDES CXe ANNEE N°18 - LA POLITIQUE SOCIALE DE L’AVENIR. MARÉCHAL PÉTAINde l'Académie françaiseREGARD SUR LA ROUTE. ROBERT DHARCOURT ..C’ÉTAIT EN FLORÉAL - Dernière partie. ALBÉRIC CAHUET..LE SOLDAT DE LA DERNIÈRE GUERRE‎

‎AU BUREAU DE LA REVUE DES DEUX MONDES. 15 SEPTEMBRE 1940. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 113 à 224.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : LA POLITIQUE SOCIALE DE L’AVENIR. MARÉCHAL PÉTAINde l'Académie françaiseREGARD SUR LA ROUTE. ROBERT DHARCOURT ..C’ÉTAIT EN FLORÉAL - Dernière partie. ALBÉRIC CAHUET..LE SOLDAT DE LA DERNIÈRE GUERRE. R. BOURGET-PAILLERON,ADOLESCENCE ET JEUNESSE DE PÉGUY. — DE L’ÉCOLE PRIMAIRE A SAINTE-BARBE..DANIEL HALÉVY. RETOUR SUR LE PASSÉ. GEORGES RICOUUN MÉNAGE BOURGEOIS SOUS LEPREMIER EMPIRE.. JULES BERTAUT. L’AVENIR DU CINÉMA. RENÉ JEANNELA POLITIQUE. ANDRÉ CHAUMEIXde l’Académie française Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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