Editions Manuel Bruker, s.d. In-4 en ff., sous double emboitage ocre, couverture imprimée, illustrée et rempliée, 118 pp., illustré par Simon Golberg de 60 lithographies originales en noir dont la vignette de couverture et 12 h.-t. Premier volume de la collection Glèbe Plèbe, imprimé sur les presses de J. Zichieri pour la typographie et André Clot pour les lithographies. Tirage unique à 225 exemplaires sur vélin d'Arches, un des 100 nominatifs, accompagnés d'une SUITE SUR VELIN de 4 lithographies refusées.
Reference : 550543
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S.l., s.d. (1749) in-4, [36] ff. n. ch. (y compris le titre), couverts d'une écriture régulière et soignée (environ 15/20 lignes par page), texte entièrement réglé, maroquin vieux-rouge, dos à nerfs cloisonné et orné de semis d'étoiles, et de fleurs de lis, pièce de titre verte, encadrement de triple filet doré sur les plats avec fleurs de lis en écoinçon, tranches dorées (reliure de l'époque).
La date donnée ici est celle retenue par la Bibliothèque de l'Arsenal, ce qui en ferait un mémoire composé après la fin des fonctions officielles de Philippe, ce qui est au demeurant cohérent avec le libellé du titre.Il s'agit essentiellement d'un travail historique, relatant les évolutions du Trésor royal depuis Philippe le Bel jusqu'au règne de Louis XV. Une seconde partie (à partir du f. 26) est formée par une chronologie recensant les Gardes du Trésor et les Trésoriers de 1356 à 1731.Jean-Antoine Philippe (mort en 1766), premier commis de Jean Pâris de Montmartel, fut commis aux exercices de garde du Trésor royal de 1726 à 1730. Il ne faut pas le confondre avec un de ses fils, Jean-Antoine-Gabriel (mort en 1769).Il semble avoir existé pas mal de copies de ce travail, si l'on en croit les exemplaires signalés par les dépôts publics. La Cour des Comptes possède par exemple une copie de ce mémoire effectuée en 1814 (cote 601 PHI) ; la Mazarine en signale également un exemplaire du XVIIIe siècle (Ms 2771) ; quant à la Bibliothèque de l'Arsenal, elle répertorie deux exemplaires du même texte (Ms-5299, qui avait appartenu à Victor Luzarches ; Français 14063).Cf. Claeys (Thierry) : Dictionnaire biographique des financiers en France au XVIIIe siècle, II, 724-726.Bel exemplaire. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Avignon, H. Chassing, s.d. (1882) in-8, 23 pp., demi-basane marine, dos à nerfs fleuronné, nombreuses couvertures conservées (reliure de l'époque). Nerfs un peu frottés.
L'ingénieur Philippe-Henri de Girard (1775-1845), l'inventeur de la machine à filer le lin, était une illustration de la petite ville de Lourmarin, dans le Vaucluse. Enfin, on doit plutôt dire une gloire posthume, tant ses compatriotes lui créèrent soucis, difficultés et avanies tout au long de son existence. Comme pour beaucoup, il dut attendre la mort pour obtenir quelque reconnaissance. Sa nièce, la comtesse de Vernède de Corneillan, vendit à la commune la maison familiale de Lourmarin pour une somme symbolique, à la condition expresse d'entretenir à perpétuité la tombe du grand homme située dans les dépendances et de créer un musée au deuxième étage de la maison avec les souvenirs dont elle fit don. Reliées à la suite notices biographiques rares sur le même Girard et d'autres célébrités provençales :I. [CHAPSAL (C.) :] Philippe de Girard. Paris, Imprimerie H. Vrayet de Surcy, s.d. [1853], 8 pp. Extrait du Musée universel. - II. RAMPAL (Benjamin) : Philippe de Girard. Extrait de la Revue de Paris du 15 décembre. 5e édition. Paris, Imprimerie de Jouaust et fils, 1863, 40 pp. - III. Projet d'érection d'un monument à la mémoire de Philippe de Girard. Avignon, Imprimerie Gros frères, s.d. [1876], [4] ff. n. ch. - IV. TRICHAUD (Jacques-Marie) : Biographie des quatre frères Seguin, prêtres, de Carpentras, agrégés au clergé de Paris. Marseille, Marius Lebon, 1869, [4]-75 pp. Seulement deux exemplaires au CCF (Arles et Inguimbertine). - V. TRICHAUD : Un vrai gentilhomme ami du peuple au XVIe siècle, Sébastien de Seguins, seigneur de La Roque-sur-Pernes. Marseille, Marius Lebon, 1872, 71 pp. - VI. BERLUC-PERUSSIS (Léon de) : Biographie de Foruné Pin. Nice, Typographie V.-Eugène Gauthier, 1870, 31 pp. - VII. ALBANES (Joseph-Hyacinthe) : Pierre d'Aigrefeuille, évêque d'Avignon, de Vabres, de Clermont, d'Uzès & de Mende. Preuves de son épiscopat. Elimination de trois faux éveêques d'Avignon. Marseille, Marius Lebon, 1877, [4]-56 pp. Tirage limité à 100 exemplaires. - VIII. VALERE-MARTIN (J.) : Infredus. Extrait des comptes-rendus du congrès tenu à Arles par la Société française d'archéologie en septembre 1876. Tours, Imprimerie Paul Bouserez, 1877, 24 pp.Exemplaire de Xavier Reynaud, avec vignette ex-libris contrecollée sur les premières gardes. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
A-Type, 2016. In-8, cartonnage souple. En belle condition. Illustré de nombreuses photographies.
C’est par un même jeu sur la distance, associé au filtre des domaines de compétences de chaque auteur, que la sélection des contributeurs de cette publication s’est faite. Chacun regarde une partie de l’œuvre du chorégraphe au travers de son prisme personnel, décomposant les éléments, associant souvenirs et références. Car il ne s’agit pas de produire ici « la bonne lecture » des créations de Philippe Saire, mais plutôt de faire résonner la multiplicité même d’une œuvre que le chorégraphe écrit depuis près de trente ans, osant passer de la danse au théâtre, tout en faisant la part belle à la vidéo, à la performance in situ, ainsi qu’aux arts plastiques.
[Paris], Imprimerie de P. R. C. Ballard, 1766 in-4, 12 pp., avec une vignette funèbre en-tête gravée par Prévost d'après C. M. Cochin, et 3 planches hors texte gravées par Faraval d'après Challe, dérelié. Court de marge extérieure.
Philippe Ier, second fils de Philippe V et d'Élisabeth Farnèse, et fondateur de la maison de Bourbon-Parme, était mort le 18 juillet 1765 après avoir régné sur les duchés de Parme, Plaisance et Guastalla de 1748 à sa mort.Nommé par lettres patentes du 23 février 1765, dessinateur de la chambre et du cabinet du roi, grâce au soutien du duc d’Aumont face à d’autres brillants candidats, Charles-Michel-Ange Challe (1718-1778) était, par fonction, l'ordonnateur des pompes funèbres officielles : et il devait s’illustrer, en particulier dans les premières années de sa charge, par les architectures éphémères qu’il créa pour les grandes pompes funèbres à un moment où le goût transitait vers le néoclassicisme. Ainsi il conçut les monuments de l’infant Philippe de Bourbon, duc de Parme puis de Louis, dauphin de France, de Stanislas Leszczynski, roi de Pologne, d'Élisabeth Farnèse, reine d’Espagne, de la dauphine Marie-Josèphe de Saxe, de la reine de France, de Charles-Emmanuel III de Savoie, puis enfin du roi Louis XV lui-même. Absent de Ruggieri. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Le Hodey, s.d. (1790) in-8, 4 pp., dérelié.
Philippe-Egalité, au cours de la séance du 11 juillet 1790, prononce le serment de fidélité "à la Nation, à la Loi et au Roi".Martin & Walter, 26085. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT