P., Nagel, 1970. In-8 carré, rel. d'éditeur sous jaquette ill., 257 pp., ill. en noir et en couleurs, bibliogr., index. (Archaeologia Mundi).
Reference : 534635
ISBN : 2826300520
Traduit de l'italien par Jean Marcadé. Bonne cond. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
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Paris Genets aîné an XI (1803) 2 vol. in-8° (207 x 133 mm), xlvi pp. - 420 pp. + 419 pp., veau marbré, dos lisse orné, encadrements sur les plats avec armes et provenances au centre, filet sur les coupes (reliure de l'époque)
L'EXEMPLAIRE DE L'EMPEREUR ET DE L'IMPÉRATRICE AU CHÂTEAU DE MALMAISON.Première édition française, illustrée d'une carte dépliante, de cet ouvrage publié pour la première fois à Londres en 1799. John Taylor, lieutenant-colonel auprès de la East India Company, y fait le récit de son périple depuis Londres vers l'Inde (en passant par la Turquie, la Syrie, l'Iraq...) ; suit un volume de conseils pratiques aux voyageurs. Le Major Taylor y partage également ses réflexions sur la guerre de 1768 entre France et Angleterre et sur le sultan Tipû Sâhib. Napoléon nourrit depuis la campagne d'Égypte le projet de « couper à la Grande Bretagne la route des Indes » pour en entreprendre la reconquête. Dans ce but, il tente à plusieurs reprises de nouer une alliance avec le sultan de Mysore Tipû Sâhib, grande figure de la résistance anti-britannique. Mais les français sont repoussés à la bataille d'Aboukir, et Tipû Sâhib meurt moins d'un an plus tard en défendant sa capitale, coupant court aux ambitions de Bonaparte. L'Empereur tentera néanmoins, sans succès, d'entraîner le tsar Alexandre dans une conquête de l'Inde. PROVENANCES : Bibliothèque de Napoléon et Joséphine au château de Malmaison : fer à l'aigle (variante du fer 2652.7) sur les plats, mention "MALMAISON" au plat supérieur. « BIBLIOTHEQUE / DE V PERDONNET », supra-librum et étiquette sur le contreplat supérieur. Alexandre François Vincent Perdonnet (Vevey, 1768-Lausanne, 1850), riche agent de change suisse, compta dans la vie politique de son pays tout en déployant une activité économique intense en France (il possède par exemple les forges de la Loue et le haut fourneau de Pontarlier) et en Europe. Il est naturalisé français en 1818. De religion protestante, Vincent Perdonnet s'intéresse vivement aux sciences et aux arts, aux progrès industriels de son temps, et à toutes les nouveautés. Mors fendus, coins frottés. Vol. 1 : pièce de tomaison manquante, manque à la coiffe de tête ; vol. 2 : manque à la coiffe de tête, manques en pied de dos, coiffe de queue manquante.
Lettres & Récits. 1986. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 90 pages environ - nombreuses photos en couleurs dans et hors texte. Texte sur plusieurs colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Découverte de... l'Inde : Indira Foudroyée : l'Inde perd son impératrice - Rajiv Gandhi : au nom de la mère - L'Inde des animaux - Le parfum de la jungle - L'éléphant roi - La planète des singes - Retour au bestiaire - 180 millions de vaches, un seul symbole - L'Inde de la jeunesse - L'Inde au féminin - L'Inde de tous les jours - L'Inde et la pauvreté - L'Inde des sages - L'Inde d'hier - L'Inde et la mort... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Les Belles Lettres. 2006. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 155 pages. Nombreuses photos monochromes dans le texte.. . . . Classification Dewey : 954-Asie du Sud, Inde
Sommaire : L'Inde qui fait rêver (Elie Wiesel) / Une possible entente entre l'Inde et la Chine (Alain Lamballe) / L'Inde et Voltaire (Michel Danino) / S'extraire de tout, l'art contemporain en Inde (Hugues Jacquet) /... Classification Dewey : 954-Asie du Sud, Inde
REINAUD (Joseph Toussaint, traducteur), Abu Zayd AL-HASAN al-SIRAFI, Sulayman al-Tajir
Reference : PHO-2067
(1845)
Paris, Imprimerie Royale, 1845, 2 volumes in-12 (15x9,5cm), CLXX, 154 pp. 105, (1), 202 pp., demi toile et coins moderne, pièce de titre et tomaison, couverture conservée, coupé en tête, mouillure, cachet répétés. Première édition française de deux récits de voyage arabes en Chine et en Inde. Le texte a été traduit de l’arabe par l’orientaliste et professeur français Joseph Toussaint Reinaud (1795-1867). Le texte arabe avait été imprimé pour la première fois en 1811, sous la supervision du linguiste et orientaliste français Louis-Mathieu Langlès. Le premier volume s’ouvre par une introduction, suivie de la traduction. Le texte principal se divise en deux parties. Le premier récit repose sur le témoignage d’un marchand nommé Sulayman Al-Tajir (Sulayman le Marchand), qui aurait voyagé en Inde et en Chine vers les années 851-852 (237 de l’Hégire) ; cependant, l’auteur véritable du texte reste inconnu. Le récit suivant est rédigé par Abu Zayd al-Hasan al-Sirafi. Al-Sirafi rapporte avoir reçu la mission de vérifier et d’enrichir le premier témoignage. La date de ce second récit demeure incertaine, mais il fut probablement rédigé dans la première moitié du Xe siècle. Le récit de Sulaymān al-Tājir (vers 851-852), complété par Abū Zayd al-Ḥasan al-Sīrāfī au Xe siècle, relate un voyage partant du port de Siraf (golfe Persique) vers l’Inde, avec des escales sur la côte occidentale (Sind, Malabar), puis à Ceylan (Sri Lanka), avant d’atteindre la Chine à Khanfu (Canton/Guangzhou). Sulaymān décrit le commerce intense de soie, porcelaine, épices et métaux précieux, les douanes, la monnaie et les marchés, tandis qu’al-Sīrāfī enrichit le récit par des observations sur les royaumes indiens, les castes et coutumes religieuses, ainsi que sur la Chine : la cour impériale et le « Fils du Ciel », la capitale (Chang’an ou Hangzhou), l’organisation des marchés, la justice, l’administration et l’infrastructure urbaine, incluant routes pavées, papier hygiénique et urinoirs en bambou. Le texte offre également les premières mentions arabes du thé et de la porcelaine, des détails sur les coutumes alimentaires et religieuses, la sécurité des routes et la puissance maritime chinoise, offrant ainsi un panorama vivant et inédit de la vie quotidienne et du commerce en Inde et en Chine médiévales. Le second volume contient des notes accompagnant la traduction, suivies du texte arabe. À ce dernier ont été ajoutés deux extraits d’ouvrages d’Al-Masʿudi, dont ses Muruj al-dhahab. M2-Et3 1000€ VOYAGE, EXPLORATION, GÉOGRAPHIE, HISTOIRE, Palestine , Israël , XIX, 19ÈME , religion , Moyen-Orient, Égypte, Liban, Perse , chine , Inde , Arabie, esclavage, Maroc, Alger , moyen-orient , religion, traduction , manuscrits
Paris, Imprimerie Royale, 1845, 2 volumes in-12 (15x9,5cm), CLXX, 154 pp. 105, (1), 202 pp., demi toile et coins moderne, pièce de titre et tomaison, couverture conservée, coupé en tête, mouillure Première édition française de deux récits de voyage arabes en Chine et en Inde. Le texte a été traduit de l’arabe par l’orientaliste et professeur français Joseph Toussaint Reinaud (1795-1867). Le texte arabe avait été imprimé pour la première fois en 1811, sous la supervision du linguiste et orientaliste français Louis-Mathieu Langlès. Le premier volume s’ouvre par une introduction, suivie de la traduction. Le texte principal se divise en deux parties. Le premier récit repose sur le témoignage d’un marchand nommé Sulayman Al-Tajir (Sulayman le Marchand), qui aurait voyagé en Inde et en Chine vers les années 851-852 (237 de l’Hégire) ; cependant, l’auteur véritable du texte reste inconnu. Le récit suivant est rédigé par Abu Zayd al-Hasan al-Sirafi. Al-Sirafi rapporte avoir reçu la mission de vérifier et d’enrichir le premier témoignage. La date de ce second récit demeure incertaine, mais il fut probablement rédigé dans la première moitié du Xe siècle. Le récit de Sulaymān al-Tājir (vers 851-852), complété par Abū Zayd al-Ḥasan al-Sīrāfī au Xe siècle, relate un voyage partant du port de Siraf (golfe Persique) vers l’Inde, avec des escales sur la côte occidentale (Sind, Malabar), puis à Ceylan (Sri Lanka), avant d’atteindre la Chine à Khanfu (Canton/Guangzhou). Sulaymān décrit le commerce intense de soie, porcelaine, épices et métaux précieux, les douanes, la monnaie et les marchés, tandis qu’al-Sīrāfī enrichit le récit par des observations sur les royaumes indiens, les castes et coutumes religieuses, ainsi que sur la Chine : la cour impériale et le « Fils du Ciel », la capitale (Chang’an ou Hangzhou), l’organisation des marchés, la justice, l’administration et l’infrastructure urbaine, incluant routes pavées, papier hygiénique et urinoirs en bambou. Le texte offre également les premières mentions arabes du thé et de la porcelaine, des détails sur les coutumes alimentaires et religieuses, la sécurité des routes et la puissance maritime chinoise, offrant ainsi un panorama vivant et inédit de la vie quotidienne et du commerce en Inde et en Chine médiévales. Le second volume contient des notes accompagnant la traduction, suivies du texte arabe. À ce dernier ont été ajoutés deux extraits d’ouvrages d’Al-Masʿudi, dont ses Muruj al-dhahab. M2-Et3
Paris : chez Georges Carré, 1891-92, 2 volumes in-8, relié demi veau blond, papier dominoté, dos à nerfs avec pièce d’auteur et titre rouge et date en pied, couvertures conservées, frottements et manque au dos (t2), Exlibris du Comte de Keller.
"L'Inde avant le Bouddha » et « l’Inde après le Bouddha" est une étude approfondie de l'évolution spirituelle de l'Inde, écrite par Pierre-Eugène Lamairesse en 1892. Cet ouvrage explore la transformation du bouddhisme sur la société, la culture et la religion indiennes. Le récit donne un aperçu de la période, soulignant le passage des traditions védiques à l'émergence de la pensée bouddhiste et son influence ultérieure dans toute la région. Son analyse offre des informations précieuses sur la dynamique religieuse de l’Inde ancienne et sur l’héritage de la philosophie bouddhiste. Pour ceux qui s'intéressent à la riche histoire religieuse de l'Inde, le livre reste une ressource importante. Pierre-Eugène Lamairesse fut un ingénieur des ponts et chaussées. Il s'occupa en Inde des barrages et de l'irrigation à Pondichéry et Karaikal entre 1860 et 1866. Il termina sa carrière en Algérie. Polyglotte il a traduit des ouvrages de l'Inde du Sud, écrit sur l'hydrologie en France, en Algérie et en Inde, sur la civilisation japonaise, sur le Coran et Bouddha. M3-Et2