‎MAUROIS (André)‎
‎J.-L. David.‎

‎ Paris, Éditions du Dimanche, 1948 In-4, br., env. 100 pl. en héliogravure. ‎

Reference : 523680


‎De la collection "les demi-dieux". Très bon ex. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €) ‎

€20.00 (€20.00 )
Bookseller's contact details

Librairie Le Trait d'Union
Mme Catherine Pierrang
168A Avenue Pierre Brossolette
10000 Troyes
France

contact@librairieletraitdunion.fr

+33 (0)3 25 71 67 98

Contact bookseller

Payment mode
Others
Cheque
Others cards
Sale conditions

Conditions de vente conformes aux usages du SLAM - Syndicat national de la Librairie Ancienne et Moderne et de la LILA - Ligue Internationale de la Librairie Ancienne.

Contact bookseller about this book

Enter these characters to validate your form.
*
Send

5 book(s) with the same title

‎HUGO Victor & HUGO Adèle‎

Reference : 70986

(1856)

‎Lettre autographe signée à la veuve du sculpteur David d'Angers : "Mon exil est comme voisin de son tombeau, et je vois distinctement sa grande âme hors de ce monde"‎

‎Hauteville House 11 et 13 mai 1856, 14x21,5cm, une feuille.‎


‎Lettre autographe signée de Victor Hugo datée du 13 mai 1856 à la suited'une lettre inédite de Madame Victor Hugo à Madame David d'Angersdatée du 11 mai. 4 pages sur un feuillet remplié à filigrane "Barbet Smith Street Guernesey". Publiée dans Correspondance de Victor Hugo, Paris, année 1856, p. 246 Dans cette lettreimprégnée des apparitions et spectres qui hantent lesContemplationsrécemment publiées, Victor Hugo s'adresse à la veuve de son grand ami le sculpteur David d'Angers, fervent républicain et artiste particulièrement admiré des romantiques. En pleine crise mystique, Hugo parle à l'ombre du sculpteur à qui il dédia de sublimes poèmes dansLes feuilles d'automneainsi queLes rayons et les ombres et réclame auprès de sa veuve son portrait favori, un buste en marbre jadis sculpté par David d'Angers. Après l'expulsion des proscrits de l'île de Jersey,VictorHugo fait l'achat d'Hauteville House grâce au succès desContemplationset apprend avec tristesse la disparition d'un ami cher.Il écrit à la veuve du sculpteur sur le même feuillet que sa femme Adèle, également liée avec la famille de David d'Angers, créateur d'un médaillon à son effigie : «Vous êtes la veuve de notregrand David d'Angers, et vous êtes sa digne veuve comme vous avez été sa digne femme». Le sculpteur de renom s'était déjà lié au premier salon romantique de Nodier à l'Arsenal et fréquentait presque quotidiennement Hugo à la fin des années 1820 dans l'ambiance bonapartiste et bon enfant de la rue Notre-Dame des Champs, en compagnie des frères Devéria, Sainte-Beuve, Balzac, Nanteuil et Delacroix. En 1828, l'écrivain avait posé avec bonheur dans l'atelier de David d'Angers rue de Fleurus, pour un médaillon puis un buste qui avaient été suivis de deux sublimes poèmes célébrant le talent du sculpteur dansLes Feuilles d'Automne etLes rayons et les ombres.De tous ses portraits pourtant nombreux, il chérissait plus que tout autre son buste de marbre signé David d'Angers et n'hésite pas à le réclamer à sa veuve : «Avant peu, peut-être, madame, ma famille vous demandera de lui rendre ce buste qui est ma figure, ce qui est peu de chose, mais qui est un chef-d'uvre de David, ce qui est tout. C'est lui encore plus que moi, et c'est pour cela que nous voulons l'avoir parmi nous». De ces séances de pose avec le sculpteur naquirent de fructueuses conversations esthétiques et politiques où s'était affirmée leur aversion commune pour la peine de mort. Ils assistèrent au ferrement des galériens qui rejoignaient Toulon depuis Paris, décrit par Hugo dans deux chapitres duDernier jour d'un condamné. Victime de l'exil comme Hugo, David d'Angers était rentré à Paris avant de rejoindre le monde des morts: «Mon exil est comme voisin de son tombeau, et je vois distinctement sa grande âme hors de ce monde, comme je vois sa grande vie dans l'histoire sévère de notre temps». La «grande vie» de David d'Angers fut consacrée à façonner les effigies des hommes illustres, par un subtil équilibre de ressemblance et d'idéalisation. Le sculpteur prend finalement place dans le panthéon personnel de Victor Hugo, lui qui avait orné le fronton du véritable Panthéon des grands hommes où repose aujourd'hui l'écrivain: «David est aujourd'hui une figure de mémoire, une renommée de marbre, un habitant du piédestal après en avoir été l'ouvrier. Aujourd'hui, la mort a sacré l'homme et le statuaire est statue. L'ombre qu'il jette sur vous, madame, donne à votre vie la forme de la gloire». C'était en effet à l'ombre des grands hommes qu'Hugo vécut son exil à Jersey, loin du tumulte de la capitale et dans le silence ponctué par les embruns frappant les carreaux. Hugo s'était plongé dans l'occulte et parlait aux disparus :«David est une des ombres auxquelles je parle le plus souvent, ombre moi-même», déclare-t-il, rappelant le poème final desContemplations, «Ce que dit la bouche d'ombre», dicté au poète grâce au procédé spirite des «tables tournantes». Alors au sommet de leur popularité, les tables se pratiquaient dans tous les salons de Paris, jusque chez l'empereur aux Tuileries et à Compiègne. Trois ans auparavant, il s'était ému de pouvoir converser avec sa fille disparue, Léopoldine, et lui avait érigé un monument poétique, lesContemplations, dont les Hugo profitaient du triomphe : «Je suis heureux que le livre desContemplationsait été lu par vous. Vous y avez retrouvé nos chers souvenirs et nos aspirations communes. L'exil a cela de bon, qu'il met le sceau sur l'homme et qu'il conserve l'âme telle qu'elle est». Ses conversations nocturnes s'étendirent bientôt à une cohorte d'illustres personnages, qui communiquaient avec la famille Hugo par les craquements d'un guéridon. Lors de séances quasi-quotidiennes, Hugo avait invoqué l'âme de Chateaubriand, Dante, Racine, Annibal, André Chénier, Shakespeare, Molière, Aristote, Lord Byron, Louis XVI, Napoléon 1er, ou encore Jésus-Christ: «c'est seulement vers les ombres que je me tourne, car c'est là qu'est la gloire, la fierté, la grandeur des âmes, la lumière; et il y a maintenant plus de vie dans les morts que dans les vivants» confie-t-il à la veuve du sculpteur. David d'Angers avait atteint l'éternité à laquelle ils aspiraient tous deux à travers les mots et la matière, demeurant à jamais présent dans ses souvenirs et les portraits marmoréens qu'il sculpta pour lui. Au travers des lignes, se dévoile le poète desContemplations, l'homme endeuillé et toujours meurtri par la disparition de sa fille Léopoldine et de son cher ami.Hugo se livre ici à un magnifique mouvement de lyrisme épistolaire, le sculpteur angevin ayant laissé à la postérité les plus beaux portraits de l'écrivain. Bien des années plus tard,Victor Hugo lui-même fut placé en grande pompe au Panthéon des grands hommes, dont son ami David d'Angers avait orné le fronton. "Guernesey, 13 mai [1856]. Je ne veux pas, madame, que cette lettre parte sans vous porter mon remerciement, mon respect et mon souvenir. Vous êtes la veuve de notregrand David d'Angers, et vous êtes sa digne veuve comme vous avez été sa digne femme. À cette heure, toutes les fois que je me tourne vers la patrie, c'est seulement vers les ombres que je me tourne, car c'est là qu'est la gloire, la fierté, la grandeur des âmes, la lumière; et il y a maintenant plus de vie dans les morts que dans les vivants. David est une des ombres auxquelles je parle le plus souvent, ombre moi-même. Mon exil est comme voisin de son tombeau, et je vois distinctement sa grande âme hors de ce monde, comme je vois sa grande vie dans l'histoire sévère de notre temps. Soyez fière, madame, du nom grave et illustre que vous portez. David est aujourd'hui une figure de mémoire, une renommée de marbre, un habitant du piédestal après en avoir été l'ouvrier. Aujourd'hui, la mort a sacré l'homme et le statuaire est statue. L'ombre qu'il jette sur vous, madame, donne à votre vie la forme de la gloire. Je suis heureux que le livre desContemplationsait été lu par vous. Vous y avez retrouvé nos chers souvenirs et nos aspirations communes. L'exil a cela de bon, qu'il met le sceau sur l'homme et qu'il conserve l'âme telle qu'elle est. Avant peu, peut-être, madame, ma famille vous demandera de lui rendre ce buste qui est ma figure, ce qui est peu de chose, mais qui est un chef-d'uvre de David, ce qui est tout. C'est lui encore plus que moi, et c'est pour cela que nous voulons l'avoir parmi nous. Je mets à vos pieds ma tendre et respectueuse amitié. post scriptum inédit :est-ce que vous seriez être assez bonne pour faire jeter cette lettre à la poste. Mille remerciements, espérons, Madame. V.H." - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 56 08 08 85

EUR7,500.00 (€7,500.00 )

‎[David Hamilton] - ‎ ‎Collectif‎

Reference : 282

(1971)

‎Lot de 17 Revues, Magazines Photo N°35 48 62 67 71 74 77 81 91 106 113 116 126 135 146 161 194, David Hamilton‎

‎Lot de 17 Revues, Magazines Photo N°35 48 62 67 71 74 77 81 91 106 113 116 126 135 146 161 194, David Hamilton d'un Collectif chez U.E.M. en Septembre 1971, Novembre 1972, Avril 1973, Août 1973, Novembre 1973, Février 1974, Juin 1974, Avril 1975, Juillet 1976, Février 1977, Mai 1977, Mars 1978, Décembre 1978, Novembre 1979, Février 1981, Novembre 1983. Le livres sont illustrées de nombreuses photos érotique de David Hamilton et autres. Les livres mesurent 22x28 cm et pèse 5,700 kg (c) pour 98 à 150 pages. Reliure d'éditeur souple. Les livre sont en très bon état dans l'ensemble, légèrement gauchi, traces d’humidité dans un coin sur le N°48 et 91, légère odeur d'humidité.‎


‎N°35 : vacances:photographiez les jolies filles comme David Hamilton !!!! le shopping dernière minute N°48 : 16 pages couleur: les belles adolescentes de David Hamilton, Au banc d'essai: le nouvel hasselblad!!, Filmez en marchant N°62 : Les nouvelles demoiselles de David Hamilton N°67 : Couverture d'Hamilton, Chez les hommes du Ku Klux Klan!!, Technique de la chasse photo!!, Jim Lee:des nus!!, Les Krims:des visions N°71 : Les nouveaux nus d'Hamilton, Pour réussir vos photos de vacances, Ferreri par Sieff N°74 : Couverture d'Hamilton, Gene Smith au Japon, Spécial Salon 1973, Jacques-Henri Lartigue N°77 : Couverture d'Hamilton, Hold-up à la banque: des photos accusent, Les auto-nus" de Sabine, 1974:Les zooms en flèche N°81 : David Hamilton : De Nouvelles audaces N°91 : Spécial nuits de la photo avec Cartier-Bresson, Pete Turner, Hamilton... N°106 : Spécial: Les maîtres de l’érotisme de Lewis Carroll à David Hamilton N°113 : L'album des stars de Hollywood, Concours : jouez les David Hamilton N°116 : Spécial Hamilton: Les gagnants du concours et l'album de "Bilitis" N°126 : Couleur: Maisel fou de Paris, Usa La foire au nu, Viseurs a l’épreuve de vérité N°135 : Spécial 10 ans de Hamilton N°146 : Inédit: Hamilton, Les ombres de l’été, Les beautés du "Crazy Horse", Le labo dans la valise N°161 : Hamilton: Premiers nus Polaroid, Texas: Un meurtre Par page, Hambourg: Shows très spéciaux N°194 : Hamilton: Son enfer pour la 1ère fois, Mesrine: La fin de l'ennemi public n°1‎

Phone number : 0619034537

EUR160.00 (€160.00 )

‎Berthe de LOSSY Douairière DAVID. ‎

Reference : 3648

‎Souvenir d'une Grand-Mère à ses Petits-Enfants. Par la Douairière David née Berthe de Lossy. ‎

‎ Imprimerie V. Delvaux, Namur, 1907. Un volume relié (24 x 32 cm) de 109 pages. Reliure demi chagrin bordeaux à coins, dos à nerfs orné, titre doré. Reliure légèrement usée et salie sinon bon exemplaire. Illustré de quatre photographies contrecollées et de deux planches de blasons. Exemplaire comportant quelques corrections manuscrites. ‎


‎Alexandre-Joseph de Lossy (Tournai, le 18 octobre 1822 - 29 décembre 1864) épousa en 1805 Henriette de Ville (1781-1854), fille du baron Philippe de Ville, et de Caterine Cavendish, de la famille des baronets Cavendish. Ils eurent trois fils et une fille. Malgré cela, cette branche de la famille s'est éteinte dans le premier quart du XXe siècle.Une petite-fille d'Alexandre, Berthe de Lossy (1840-1928), a publié plusieurs ouvrages de souvenirs de famille. Elle s'est mariée au chevalier, Nicolas David (1830-1920), qui, en 1888, hérité du titre de noblesse des de Lossy, ainsi que du titre de chevalier transmissible à l'aîné. Il était un fils de député Pierre-Joseph David. En 1929, leur fils Fernand David put joindre le nom de Lossy au nom David et le transmettre à sa lignée, notamment les photographes Morgan David de Lossy, Ghislain David de Lossy, et Julie David de Lossy. ‎

Librairie L'Abac - Bruxelles
Logo ILAB
(CLAM, )

Phone number : +3225025322

EUR280.00 (€280.00 )

‎[Jules David] - ‎ ‎HENRION Paul / DAVID Jules ...//... Musique par Alexandre Ferdinand Henrion, dit Paul Henrion (1817-1901). / Illustrations par Jean-Baptiste David, dit Jules David (1808-1892).‎

Reference : 10333

(1847)

‎Album de Paul Henrion. 12 romances, chansonnettes et mélodies. Dessins de Jules David.‎

‎Paris, Colombier, sd (1847), 1 volume, in-folio (31,5 cm), relié, non paginé, 37 feuillets, soit 74 pages. Album de musique gravée, page de titre lithographiée, illustrée d'un grand décor en bleu sur fond jaune, une lithographie en noir sur fond jaune pour chaque pièce musicale, soit 12 lithographies, chaque pièce de musique est composée de deux ou trois pages. Reliure d'époque, pleine toile verte, dos muet orné d'une grande guirlande florale dorée, grand décor doré et titre doré sur le premier plat, médaillon doré au second plat, gardes moirées. Reliure très endommagée, usure à la coiffe supérieure, coiffe inférieure manquante, manque de toile au centre du dos, usure aux coins et aux coupes, premier plat pratiquement détaché, première garde avec quelques déchirures sans manque, petites taches noires dans la marge supérieure de la première gravure autrement intérieur très blanc.‎


‎Album vendu pour les lithographies de Jules David qui est un illustrateur très apprécié dans les pays anglo-saxons. Paul Henrion, en tant que compositeur, n'a laissé que ses albums, qui paraissaient chaque année, à la postérité. Bon état. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).‎

Yves Oziol - Clermont-Ferrand

Phone number : 04 73 91 84 71

EUR200.00 (€200.00 )

‎David Claerbout & Jonathan Pouthier‎

Reference : 58591

‎David Claerbout The Silence of the Lens .‎

‎, Hannibal Books, 2022 Hardcover 300 x 243 mm, 320 pages, ENG/ FR. edition, Fine!. ISBN 9789464366358.‎


‎David Claerbout is bekend om zijn video-installaties die hij wereldwijd tentoonstelt. Sinds zijn eerste videowerken midden jaren negentig won zijn werk snel aan complexiteit. De virtuele fotografie deed zijn werk en denken evolueren naar een verregaande synthetische beeldpraktijk die hem op het voorplan van de nieuwe mediakunst heeft geplaatst. Van daaruit ontwikkelde Claerbout een kritiek over de impact van de desintegratie van het vertrouwde fotografische beeld op het niveau van de waarneming en de (zintuiglijke) cognitie en de verregaande sociale en politieke gevolgen. Deze rijk ge llustreerde publicatie presenteert een selectie van werken van de afgelopen tien jaar. In een interview met Jonathan Pouthier, filmcurator voor het Centre Pompidou in Parijs, spreekt David Claerbout voor het eerst in de diepte over deze werken in relatie tot actuele discussies over fotografie, film en het virtuele. De publicatie valt samen met de Bi nnale van Veneti 2022 en solotentoonstellingen in onder meer M nchen, Berlijn, Boedapest en New York. //// Long-awaited monumental monograph on the work of David Claerbout In a conversation with Jonathan Pouthier, curator of the cinema programme of the Mus e National d?Art Moderne, Centre Pompidou (Paris, France), video artist David Claerbout reflects for the first time in depth on his work of the past decade in relation to current discussions about photography, film and the virtual. The Silence of the Lens offers a unique insight into the creative process behind such recent video works as The Close, Aircraft (F.A.L.), Wildfire (meditation on fire), The Confetti Piece and The Pure Necessity. The publication coincides with the Venice Biennale 2022 and solo exhibitions in various cities including Munich, Berlin, Budapest and New York. //// David Claerbout is known for his video installations, which he exhibits worldwide. From the time of his first video works in the mid-1990s, his work rapidly gained in complexity. Virtual photography pushed his work and thinking towards a far-reaching synthetic visual practice that placed him at the forefront of the new media art. From that position, Claerbout developed a critique of the impact of the disintegration of the familiar photographic image at the level of perception and (sensory) cognition and its profound social and political consequences. This richly illustrated publication presents a selection of works from the past ten years. In an interview with Jonathan Pouthier, film curator at the Pompidou Centre in Paris, David Claerbout speaks in depth for the first time about these works in relation to current discussions about photography, film and the virtual. The publication coincides with the Venice Biennale 2022 and solo exhibitions in various cities including Munich, Berlin, Budapest and New York.‎

ERIK TONEN BOOKS - Antwerpen

Phone number : 0032495253566

EUR35.00 (€35.00 )
Get it on Google Play Get it on AppStore
The item was added to your cart
You have just added :

-

There are/is 0 item(s) in your cart.
Total : €0.00
(without shipping fees)
What can I do with a user account ?

What can I do with a user account ?

  • All your searches are memorised in your history which allows you to find and redo anterior searches.
  • You may manage a list of your favourite, regular searches.
  • Your preferences (language, search parameters, etc.) are memorised.
  • You may send your search results on your e-mail address without having to fill in each time you need it.
  • Get in touch with booksellers, order books and see previous orders.
  • Publish Events related to books.

And much more that you will discover browsing Livre Rare Book !