P., Les Presses Françaises, 1925. In-8 broché, LIV-231 pp.-[1] ff. (table), portrait-frontispice, bibliographie, index. Tirage limité à 300 exemplaires sur vergé d'Arches numérotés. N°129. (Bibliothèque romantique).
Reference : 523371
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Gallimard NRF "Bibliothèque De La Pléiade" Paris 1989 In-12 ( 175 X 110 mm ) de 1638 pages, pleine basane bleue, dos lisse orné de filets dorés, sous rhodoïd et étui illustré. ( Présentation de l'éditeur ). Texte établi, présenté et annoté par Georges LUBIN. Très bel exemplaire.Contient: Histoire de ma vie / Lettres d'un voyageur / Un hiver à Majorque / Journal intime destiné à Musset, etc.
Gallimard NRF "Bibliothèque De La Pléiade" Paris 1993 In-12 ( 175 X 110 mm ) de 1638 pages, pleine basane verte, dos lisse orné de filets dorés, sous rhodoïd et étui illustré. ( Présentation de l'éditeur ). Texte établi, présenté et annoté par Georges LUBIN. Histoire de ma vie IV° partie ( chapitres VII-XV ), V° partie, Lettres d'un voyageur, un hiver à Majorque, Journal intime destiné à Musset, etc. Très bel exemplaire.
Genève, Georg & Co, 1908, fort pt in-8°, lxxvi-247 et 335 pp, 10e édition, les 2 tomes reliés ensemble en un volume demi-chagrin chocolat, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres et fleurons dorés (rel. de l'époque), un mors frotté, trace de mouillure ancienne au 1er plat, coupes frottées, intérieur propre et sans rousseurs, bon état
Le 11 mai 1881, Henri-Frédéric Amiel – âgé de 59 ans et 8 mois – meurt à Genève en laissant un Journal intime de 16.867 pages. Ce Journal, il l'a légué à une de ses confidentes et admiratrices, Fanny Mercier, en lui recommandant d'en tirer de quoi donner une idée de sa pensée. Deux ans plus tard, des “Fragments d'un Journal intime” paraissent à Genève et Paris, par les soins de Fanny Mercier et d'Edmond Schérer, sous la forme de deux petits volumes. Le Journal intime nous donne une idée du drame de cet homme qui a passé sa vie à scruter sa conscience, qui s'est analysé chaque jour avec une lucidité extraordinaire, et cela sans discontinuer pendant trente-trois ans. (Bernard Gagnebin) — Henri-Frédéric Amiel eut de bonne heure l'habitude de noter ses impressions et ses observations, de converser avec lui-même la plume à la main ; c'est ce dont témoignent un certains nombres de pages éparses, écrites pendant ses années d'études et de voyages, et qui forment un premier essai de Journal Intime. Interrompu à plusieurs reprises, ce Journal devient régulier en 1849, au moment où Amiel rentre à Genève après un séjour en Allemagne, et dès lors il se poursuit, semaine après semaine, puis jour après jour, jusqu'à la fin d'avril 1881, une semaine seulement avant la mort de l'auteur. Ce manuscrit, qui embrasse ainsi plus de trente années, servait à plusieurs fins. Amiel y consignait les souvenir des occupations et des incidents de la journée. Il y notait ses observations psychologiques et les impressions qu'il recevait de ses lectures. Mais son Journal était surtout le confident de ses méditations intimes, l'asile où le penseur prenait conscience de sa vie intérieure, interrogeait sa destinée, laissait échapper le cri de ses peines, cherchait l'apaisement dans l'examen et la confession.
Ides et calendes, 1951. In/8 (19 x 13 cm) broché, couverture illustrée d'une vignette, 119 pages.
"Gide André – Et nunc manet in te suivi de Journal intime : André Gide a tenu un journal intime pendant près de 60 ans. «Et nunc manet in te» et «Journal intime» sont une tranche de son journal, celle écrite après la mort de sa femme Madeleine. Rédigeant sans aucun artifice littéraire, il raconte certains faits marquants de sa vie conjugale, complexe et torturée. La mort de Madeleine a été une grande douleur pour Gide, qu’il tente certainement de conjurer avec ce plaidoyer qui fait revivre ses souvenirs."
<meta charset="utf-8"><div id="press-section" data-mce-fragment="1"><p data-mce-fragment="1">Ce Journal, dont la lecture procure une jouissance constante, un émerveillement de chaque instant, ce Journal qui se hisse sans peine au niveau de celui de Kafka ou des Goncourt, de Delacroix ou de Gide, est celui d'un écrivain radicalisé, pour lequel deux choses comptent vraiment : la littérature, d'abord, et son œuvre, ensuite. Son oeuvre vient de la littérature et y retourne. Un fanatique de la vérité.<br data-mce-fragment="1"><em data-mce-fragment="1">Causeur</em><span data-mce-fragment="1"></span>- 01/12/2019</p><p data-mce-fragment="1">L’intérêt de ces pages, c’est qu’elles illustrent à souhait ce qui fait le sel du genre, le plus ouvert qui soit en littérature : à la fois mémento vivant, confessionnal, déroulé des jours dans leur banalité dépouillée, citations, lectures, dialogues rapportés, lieu d’épanchement plus ou moins contenu, où s’invitent extraits de correspondance, textes destinés à de futures publications.<br data-mce-fragment="1"><em data-mce-fragment="1">Le Figaro littéraire</em><span data-mce-fragment="1"></span>- 06/12/2019</p><p data-mce-fragment="1">Muray est un écrivain. Ses phrases ont une vie, une originalité, une force qu’on ne rencontre plus.<br data-mce-fragment="1"><em data-mce-fragment="1">Commentaire</em><span data-mce-fragment="1"></span>- 01/12/2019</p><p data-mce-fragment="1">Plus de dix ans après la mort de Philippe Muray, sa vision du monde continue de nous éclairer.<br data-mce-fragment="1"><em data-mce-fragment="1">Marianne</em><span data-mce-fragment="1"></span>- 13/12/2019</p><p data-mce-fragment="1">Dans ces 600 pages cruelles et mordantes, Muray raconte l’envers de son travail d’écrivain, croque des portraits corrosifs du milieu intellectuel de l’époque mais livre aussi les réflexions que lui inspire l'actualité. [...] Philippe Muray est moins un romancier qu’un pamphlétaire de génie, qui maudit son époque et ses idoles. L’absolu en moins. Lui n’a pour idéaux que le corps des femmes (surtout celles de Rubens) et la littérature.<br data-mce-fragment="1"><em data-mce-fragment="1">Le Figaro Magazine</em><span data-mce-fragment="1"></span>- 18/12/2019</p><p data-mce-fragment="1">Le Journal de Muray est une entreprise géniale dont la richesse devrait faire taire les poisseux qui se plaisent à opposer chez l’auteur le pamphlétaire et le romancier.<br data-mce-fragment="1"><em data-mce-fragment="1">Service littéraire</em><span data-mce-fragment="1"></span>- 01/12/2019</p><p data-mce-fragment="1">Ce journal s’apparente à une forge, dont [Muray] remonterait sans cesse la température, et dans laquelle il confectionnerait les armes conceptuelles aptes à broyer les illusions de son époque ; et de temps à autre, fuserait un projectile : roman, essai, article ou conférence. Il est surtout le lieu où il consolide sa position d’écrivain.<br data-mce-fragment="1"><em data-mce-fragment="1">L'Incorrect</em><span data-mce-fragment="1"></span>- 01/01/2020</p><p data-mce-fragment="1">Ce Journal est la chronique d’un exil, au sens étymologique. Au terme « exsilio », en effet, Gaffiot donne pour définition première : « sauter hors, s’élancer hors » ; et c’est bien de cela qu’il s’agit ici, son “Rubens” et son “Empire du Bien”, contemporains de ce tome troisième, étant les deux livres par quoi Muray saute définitivement hors de ce qu’il nomme encore le Spectacle, en brisant salutairement maintes vitres sur son passage.<br data-mce-fragment="1"><em data-mce-fragment="1">Service littéraire</em><span data-mce-fragment="1"></span>- 01/03/2020</p><p data-mce-fragment="1">À mesure que son Journal intime paraît, les anciens compagnons de Philippe Muray, de Catherine Millet et Jacques Henric à Philippe Sollers, découvrent tout le mal qu’il pensait d’eux.<br data-mce-fragment="1"><em data-mce-fragment="1">L'OBS</em><span data-mce-fragment="1"></span>- 02/04/2020</p><p data-mce-fragment="1">Couvrant trois années cruciales (1989-1991), le troisième tome du Journal intime de Philippe Muray vaut celui des Goncourt. Y revendiquant le trouble infini dont naît la littérature, il y déclare la guerre à son temps. Avec panache et intelligence, jubilation et férocité joyeuse.<br data-mce-fragment="1"><em data-mce-fragment="1">Le Matricule des Anges</em><span data-mce-fragment="1"></span>- 01/06/2020</p></div> Paris, réédition 2024 Les Belles Lettres 656 p., cartonnage éditeur. 15,7 x 21,8
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