Librairie liturgique-catholique, Paris, circa 1870
Reference : 50088
Un volume in-8°, demi-reliure cuir vert, dos sans nerfs mais orné de filets dorés, un des caissons porte mention du nom de l’auteure et du titre de l’oeuvre, les plats sont de couleur verte. L’ouvrage s’ouvre sur une introduction (I-III) puis compte 241 pages. L’héroine de cette histoire est une jeune fille vivant en Louisiane, un père “ voltairien” et rationaliste. Ce père a quitté sa première femme qu’il a laissée en France puis s’est trouvé veuf à la suite du décés de sa deuxième femme, laquelle lui a laissé une fille: JULIE. Devenant jeune-fille, cette JULIE entreprend de réconcilier son père , qu’elle adore, avec sa première femme. JULIE commence par renouer avec son demi-frère, lequel, songeant à devenir prêtre, éveille en JULIE une intense prise de conscience religieuse. Et puis JULIE, avec l’aide de son demi-frère, obtient que la première femme de son père quitte la FRANCE pour revenir s’installer avec lui. Pourtant, JULIE ne s’estime pas satisfaite. On la voit languir d’un mal mystérieux qui s’aggrave de jour en jour. Aucun soin n’y fait. Elle dépérit malgré un voyage en FRANCE dont on attend beaucoup. Mais elle finit par mourir et l’on apprend enfin que son projet était de mourir pour “laisser’” sa foi à son père... Il s’agit en arrière plan d’une oeuvre militante. Son auteure exprime en plusieurs endroits son opposition au divorce et son accord total avec les idéaux de l’église catholique... Mme de STOLZ (1820-1898), pseudonyme d’une femme d’origine nantaise née dans un milieu très modeste, fut une des plus célèbres écrivaines de la 2ème moitié du 19ème siècle. En une cinquantaire d’années elle écrivit plus de 100 romans dans les maisons d’éditions les plus réputées. Reliure sobre mais élégante. Exemplaire en TRES BON ETAT.
Librairie DHOUAILLY SAS
M et Mme Alain et Kyoko DHOUAILLY
33 01 43 47 01 20
ATTENTION: Nous recevons nos clients éventuels seulement sur rendez-vous. Nous sommes également présents au Marché du Livre Parc Georges BRASSENS, 104 rue Brancion, 75015-PARIS. Sauf à l’occasion de grands évènements bibliophiliques. NOS SPÉCIALITÉS: Littérature ancienne et moderne, Cartonnages XIXème, Enfantina, Voyages et Extrême-Orient. Nous parlons JAPONAIS. Nous admettons toutes formes de PAIEMENT: chèque, CB, virement interbancaire, Paypal, American Express. L'option CB est fortement souhaitée car l'attente d'un chèque peut retarder de plusieurs jours la date d'expédition de la commande. Nos conditions sont conformes aux usages de la librairie ancienne et moderne (SLAM). Tous nos ouvrages sont complets et en bon état, sauf indications contraires. Nous adressons les livres par La Poste et le paiement des FRAIS DE PORT est à la charge du client : généralement, pour la France, les frais sont actuellement de 5 € minimum (dans le cas de livres de moins de 500g et de petit format). Au delà les prix seront à préciser en fonction du poids et de la taille, voire du mode d’expédition. Pour toute expédition à l'étranger, nous calculons les frais au cas par cas. Compte tenu de la valeur de certains livres, nous recommandons le tarif Colissimo avec garantie de "suivi". Tout règlement par Eurochèque ou par chèques en devise entrainera une majoration de 15 €.
MATHIEU Marianne, D'ARNOULT Dominique, GOODEN Claire.
Reference : 25099
ISBN : 9782754112314
Catalogue officiel de l’exposition<em data-mce-fragment="1"> Julie Manet, La mémoire impressionniste </em>du 19 octobre au 20 mars 2022 au musée Marmottan Monet. La première monographie illustrée désormais disponible sur Julie Manet, dont seul son Journal de 1893 à 1899 a été publié à ce jour. S’appuyant sur des sources pour la plupart inédites, Marianne Mathieu, Dominique d’Arnoult et Claire Gooden proposent en effet la première véritable somme sur Julie Manet (fille unique de Berthe Morisot et nièce d’Édouard Manet) et son entourage, et retracent de façon aussi exhaustive que possible la vie et l’oeuvre d’une femme qui porte en elle la mémoire de l’impressionnisme. Julie Manet (1878-1966) est une figure incontournable de la vieartistique et littéraire parisienne de la fin du XIX siècle et de lapremière moitié du XXe siècle. Son enfance et son adolescence se déroulent dans un univers bourgeois et cossu, au contact permanent de personnages illustres, parmi lesquels Stéphane Mallarmé et Pierre Auguste Renoir. Dès son plus jeune âge, sa mère, son oncle, et plus tard ses collègues impressionnistes la prennent pour modèle et l’initient à leur art. Orpheline à l’âge de dix-sept ans, la dernière des Manet vit alors avec ses cousines Paule et Jeannie Gobillard – future<br data-mce-fragment="1">Mme Paul Valéry –, menant une existence d’une liberté inédite pour une jeune fille bien née de son époque, et développant dans le même temps une intense ferveur religieuse qui ne la quittera plus. Avec son époux, le peintre et collectionneur Ernest Rouart, elle s’attachera sa vie durant à servir la mémoire de leurs éminents<br data-mce-fragment="1">ascendants. Ensemble, ils enrichissent la collection d’oeuvres d’art dont elle a hérité, acquérant aussi bien des toiles deChardin et Fragonard que des Gauguin de Tahiti et des panneauxde Nymphéas du dernier Monet. Paris, 2021 Hazan 224 p., cartonnage éditeur. 22,6 x 29,3
Neuf
2008 Paris, Seuil, 2008, 14.5 x 22 , 344 pp état neuf car service de presse
traduit de l'anglais (américain) par Claudine Richetin.
, Onze décembre, 1874. Manuscrit in-8 de 140 pp., demi-basane rouge, dos orné à nerfs (reliure de l'époque).
Un des premiers recueils consacré à la mystique et stigmatisée catholique Marie-Julie Jahenny appelée la Sainte de Blain, contemporain de ses premières visions, établi par le Frère Désiré et Mr Hamon autorisés en 1874 par l'évêque de Nantes « à se rendre à la Fraudaie voir Marie-Julie ».« Tout comme le "Secret" de La Salette, le cas de la "stigmatisée bretonne" Marie-Julie Jahenny (La Fraudaie, Blain 1850-1941) compte sans doute parmi les plus complexes de l'histoire du mysticisme chrétien de la période moderne. Habitante de la Fraudais près de Blain, la jeune Marie-Julie voit la Vierge, l’archange saint Michel et des saints à partir de 1873. Elle aurait connu 3000 extases et reçu des messages de Jésus - transcrits par des tiers, la voyante ne sachant pas écrire, portant les stigmates pendant 68 ans. Marie-Julie Jahenny devient célèbre dès les premières années des manifestations scientifiquement inexpliquées à Blain (dont l'inédit, comme plus tard chez Marthe Robin, Alexandrina da Costa ou Berthe Petit, ou la capacité de la voyante de révéler l'origine de reliques et d'autres objets sacrés sans qu'on lui précise leur provenance).Dans les années 1870 elle bénéficie d'un double appui, étant soutenue du côté spirituel par l'évêque de Nantes Mgr Félix Fournier (1803-1877) et du côté scientifique par le Dr Antoine Imbert-Gourbeyre, professeur à l'École de Médecine de Clermont-Ferrand entre 1852 et 1888. Avant de rencontrer Marie-Julie, Imbert-Gourbeyre s'intéresse déjà à possibilité de mobiliser le phénomène de la stigmatisation au profit de l'apologétique catholique contre les efforts de Jean-Martin Charcot à La Salpêtrière de réduire toute expérience religieuse à l'hystérie et la névrose obsessionnelle. Les deux volumes de son ouvrage Stigmatisation (1873) connaissent un grand succès auprès du public, mais en même temps des réserves de la part du Vatican en raison de son intérêt pour la stigmatisée italienne Palma Matarelli, subséquemment condamnée par le Pape Pie IX en 1875. Imbert-Gourbeyre visite Marie-Julie Jahenny à maintes reprises et conclut qu'il n'y a "pas de fraude à la Fraudais". En 1894 le médecin montferrandais inclut de nombreux détails concernant les phénomènes mystiques à Blain dans une nouvelle édition de ses travaux sous le titre La Stigmatisation, l'extase divine et les miracles de Lourdes: Réponse aux libres-penseurs. » (Prophéties pour notre Temps).Contient : lettre (copie) de Monseigneur Félix, évêque de Nantes, récit de l’extase auquel l’auteur et M. Hamon ont assisté, stigmates de Marie-Julie, récit de son enfance, extrait du journal Le Pèlerin à son propos, lettre (copie) de l’Abbé Durassier de l’évêché de Nantes, lettre imprimée de M. Hamon au Journal des Villes et Campagnes relatant la visite, chant et prière avec musique notée de Marie-Julie, litanies en l’honneur de Sainte Germaine Cousin, (gravures), notice sur Louise Lateau de Bois-d’Haine et extrait de la revue L’Univers du 21 février 1875, 8 lettres (copies) de l’Abbé David, vicaire de Blain et directeur de Marie-Julie Joint (photographie) : Maison de Marie-Julie Jahenny avec la mention manuscrite au dos: « Carte postale bénite chez Marie-Julie (sur ses genoux) par Notre-Seigneur et la très Sainte Vierge pendant l’extase du jeudi 18 mai 1935 ». Dos passé, plat insolé.
, Stichting Kunstboek , 2017 Hardback, 240x170mm, 160p, 100 colour illustrations, English/ Dutch (NL) edition . ISBN 9789058565778.
Een fotograaf stalkt een schrijfster nadat hij haar portret zwaar vervormde en manipuleerde. Als een paparazzo ligt hij op de loer. Hij legt elk detail van haar dagelijkse leven vast met zijn camera terwijl zij het sci-fi verhaal schrijft dat in dit boek wordt gepubliceerd. Hij wil echter vooral weten wat voor impact de beeldmanipulatie heeft op haar psyche. Met onafwendbare gevolgen voor beiden. The Picture of Dorya Glenn is een samenwerking tussen fotograaf Filip Naudts en de Nederlands-Chinese schrijfster/beeldend kunstenaar Julie O?yang. Het resultaat is een fotografische romance noir, een donkere surrealistische sci-fi fotonovelle waarin de auteurs tevens de hoofdpersonages spelen: Julie in de gedaante van de buitenaardse Dorya Glenn, en Filip in die van zichzelf.This photo novel is a cross-cultural pollination between Chinese novelist/artist Julie O'yang and Belgian photographer Filip Naudts. The Picture of Dorya Glenn - een samenwerking tussen fotograaf Filip Naudts en de Nederlands-Chinese schrijfster/beeldend kunstenaar Julie O'Yang - is een fotografische romance noir, een donkere surrealistische sci-fi fotonovelle waarin de auteurs tevens de hoofdpersonages spelen: Julie in de gedaante van de buitenaardse Dorya Glenn, en Filip in die van zichzelf.
Paris, Rollin Fils, 1736 2 volumes in-12 de (9) ff., 184 pp. - (2) ff., 132, 133-212 pp., maroquin rouge à grain long, large encadrement de filets, de torsades et de fleurons d'angle dorés, dos lisse orné d'un décor doré en long, coupes et bordures décorées, tranches dorées (Ginain).
"Élégante édition de cette vie du duc de Montausier, le concepteur de la Guirlande de Julie. Portrait frontispice du duc de Montausier gravé en taille-douce par Tardieu. Charles de Sainte-Maure, marquis, puis duc de Montausier (1610-1690) fut une des personnalités marquantes de la cour du Roi Soleil. Élevé dans la foi calviniste, il s'illustra d'abord dans les armes pendant la guerre de Trente Ans. Familier de l'Hôtel de Rambouillet, il fit une cour de 14 ans à ""l'incomparable Julie"" d'Angennes, fille de la marquise, avant qu'elle ne consente enfin à l'épouser en 1645, après sa conversion au catholicisme. La Guirlande de Julie, recueil manuscrit de madrigaux qu'il composa avec le concours des poètes familiers du salon de la marquise de Rambouillet et qu'il fit enluminer, constitue le plus beau témoignage de cet amour assidu. Apprécié par Louis XIV pour son intégrité morale, Montausier - modèle putatif du Misanthrope - fut nommé gouverneur du Dauphin, tâche dont il s'acquitta comme d'un véritable sacerdoce. À partir, des manuscrits laissés par sa fille unique, la duchesse d'Uzès, mis à sa disposition par son fils, Nicolas Le Petit composa ces Mémoires du duc de Montausier, parus originellement en 1729. C'est dans cette édition qu'avait été publié pour la première fois le texte de la Guirlande de Julie. Il est ici donné avec sa page de titre primitive, en date de 1729. Ravissantes reliures décorées signées de Ginain. Ramsden (French Bookbinders) dit de lui : ""One of the greatest and most refined binders of his day."""
Phone number : + 33 (0)1 42 89 51 59