P., A la librairie de l'Académie des Bibliophiles, 1868, In-16, br., , dos usagé .
Reference : 16650
Edition originale tirée à 350 exemplaires numérotés sur vergé crème.
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Paris, Aux Editions G. Crès et Cie, Collection Ars Graphica, 1924, 1 volume in-folio de 340x260 mmenviron, 1f.blanc, 16 pages, 1f.blanc, 1f. titre des planches, 49 planches sous serpente, numérotées de 1 à 49, en frontispice, portrait de DAUMIER, par Charles Baudelaire, et dans la lettrine page 5, portrait de Constantin Guys, 1f. (justificatif de tirage), 1f.blanc, broché sous couverture rempliée. Exemplaire N° 13, un des 50 exemplaires imprimé sur papier de Gaspard-Maillol numérotés de 11 à 60, feuillets non rognés. Plis de lecture sur le dos, un pli sur le dernier plat, sinon bon état.
Honoré Victorin Daumier, né le 26 février 1808 à Marseille et mort le 10 février 1879 à Valmondois, est un graveur, caricaturiste, peintre et sculpteur français, dont les uvres commentaient la vie sociale et politique en France au XIXe siècle. Dessinateur prolifique, auteur de plus de quatre mille lithographies, il est surtout connu pour ses caricatures d'hommes politiques et ses satires du comportement de ses compatriotes. Il a changé la perception que nous avons sur l'art de la caricature politique. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
BAUDELAIRE, Charles - PERRICHON, J.-L. - DESLIGNERES, Alfred LATOUR, Bernard NAUDIN, Fernand SIMEON, VIBERT.
Reference : 91208
Paris, Editions d'Art Edouard Pelletan, R. Helleu, Libraire-Editeur, 1917-1930, 10 volumes in-8 de 210x155 mm environ, xviii-337 pages, 219, v-356, 334, 360, xxviii-270, xxxvii-325, 372, iv-367, 464 pages, luxueuse reliure postérieure avec couvertures et dos conservés, en maroquin sombre, dos lisses décorés à froid et dorés portant les pièces de titre et date en queue en basane havane, filets à froid et dorés autour des plats, ornés d'une large pièce de maroquin vert encadrée d'un filet doré portant le titre doré propre à chaque volume, tranches dorées. Edition décorée de portraits, d'en-têtes, de culs-de-lampes et de fleurons dessinés par J.-L. PERRICHON, DESLIGNERES, Alfred LATOUR, Bernard NAUDIN, Fernand SIMEON, VIBERT. Introduction par André Gide. Exemplaire numérotés sur Vergé d'Arches à la forme. Manque de cuir sur une pièce portant la date (tome VII, première partie), mouillure claire dans le coin des pages 190 à 276 (tome III), quelques pages reliées dans le désordre et parfois en double mais les textes sont complets : Sa vie son oeuvre, la fin du texte se trouve en fin de volume, à la place des pages reliées à la fin, se trouvent les pages 41-42 et 47-48 de la nouvelle Aventure d'un certain Hans Pfaall (la nouvelle est complète dans le tome V, se sont des pages doubles) ; Double assassinat dans la rue Morgue : p. 115 à 118 et 123 à 126 se trouvent en fin de volume à la place Manuscrit trouvé dans une bouteille (la nouvelle est complète dans le tome V, se sont des pages doubles) ; le début de la nouvelle Le mystère de Marie Roget se trouve en fin de volume, à la place des pages 177-178 et 183-184 se trouvent les pages de La vérité sur le cas de M. Valdemar (histoire complète dans le tome V, pages doubles) ; Scarabée d'Or : pages 330 à 334 se trouvent à la fin du volume à la place des pages de La Genèse d'un poème histoire complète dans le tome V, pages doubles) ; Tome VIII : le début du Joueur d'échec se trouve en fin de volume avec 2 feuillets doubles, les couvertures brochées de Aventures d'Arthur Pym et Nouvelles histoires extraordinaires sont inversées ainsi que les titres sur la reliure, sinon bon état, belle série décorative.
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Laffont 1980 Editions Jacques-Marie Laffont et Associés, 19802, 152 p., broché, bords de la couverture frottés, bon état pour le reste et intérieur bien propre.
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Laffont 1980 Editions Jacques- Marie Laffont et Associés, Lyon, Coll. le Rideau Bleu, 1980, 152 p., broché, bon état.
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s. d. [mai 1854] | 13.9 x 21.7 cm | une page sur un feuillet
Lettre autographe signée de Charles Baudelaire adressée à Antoine Arondel, rédigée à l'encre noire sur un feuillet de papier bleu. Pliures inhérentes à l'envoi, d'habiles restaurations d'infimes manques n'affectant pas le texte, une petite déchirure sur la signature discrètement restaurée. Cette lettre a été retranscrite dans laCorrespondance I de Baudelaire (Collection de la Pléiade, p. 277) et datée par Claude Pichois de mai 1854. Baudelaire envoie des places de théâtre à son marchand d'art Antoine Arondel personnage sulfureux et sans scrupules qui profita du goût immodéré du poète pour les beaux-arts et excita sa manie de la collection. * Baudelaire possédant le génie de la poésie mais non celui des affaires, avait rapidement dépensé une grande partie de l'héritage paternel de 70 000 francs reçus à sa majorité en 1842. Son correspondant, le peintre-brocanteur Antoine Arondel, habitait en même temps que Baudelaire à l'hôtel de Lauzun, alors connu sous le nom de lhôtel Pimodan, sur l'île Saint-Louis. Au rez-de-chaussée, son dépôt de curiosités installé dans la cour de l'hôtel fut un « véritable lieu de perdition pour le prodigue »(Marie-Christine Natta, Baudelaire) : Arondel lui procura un grand nombre de « rêves peints sur la toile » - espagnolsà la manière du peintre baroque Zurbaran, et italiens dans le genre du Bassan.Le poète paya bien cher son antiquomanie, «s'endettant par des billets et des traites, dont le plus ancien remonte au 5 novembre 1843; plusieurs autres furent antérieurs à la dation du conseil judiciaire intervenue le 21 septembre 1844. Cet usurier fit tant et si bien que son client s'aperçut assez tôt qu'il était berné, mais sans pouvoir se dégager. D'où une moquerie décochée sous l'anonymat dans Les Mystères galans des Théâtres de Paris en 1844 et des mentions, mi-figue mi-raisin, dans les Salons de 1845 et de 1846.» (Claude Pichois, Lettres à Charles Baudelaire, 1973, p. 13). Baudelaire se vengea en effet dans un paragraphe sanglant des Mystères galans, qui visait également le baron Pichon à qui le poète louait ses appartements de lhôtel Lauzun: « N'avez-vous pas aujourd'hui MM. Hiéronyme Pichon, lordArundellet pas mal d'amateurs de rosses plus ou moins arabes, qui lésinent sur leur débauche, et grapillent sur le revenu du rat qu'ils paient, on ne fait aujourd'hui que de la débauche pot-au-feu». A la lecture de cette insulte, Arondel exigea que Baudelaire fasse des excuses à Pichon. Sous la menace, le poète consigna même par écrit sa rétractation. A lécriture de cette lettre en 1854, Baudelaire nétait toujours pas libre dArondel: «Les années passant, Baudelaire renouvelait les billets augmentés des intérêts. Arondel cherchait à recouvrer, multipliait les manuvres et se heurtait au refus de tout paiement par Ancelle[responsable de sa tutelle] » (Claude Pichois, ibid). Lune de ces manuvres fut de revendre les obligations à des hommes de paille. Désespéré, Baudelaire sollicite ici dans un cryptique et dramatique passage l'aide d'Arondel pour apaiser lun de ces désagréables personnages qui réclamait paiement : «Je vais vous écrire une lettre, dès ce soir, où je vous expliquerai très clairement ce que je puis faire, ce que je désire, - le possible, et l'impossible, puis vous m'écrirez pour me donner un rendez-vous pour voir votre Perducet, dont il faut absolument que je triomphe,- avec votre aide». Selon Pichois, «il nen fut rien», et Baudelaire nécrivit pas dautre lettre à son correspondant. Pour amadouer Arondel, Baudelaire lui offre des places de théâtre: «Je vous engage, si vous voulez voir mes merveilleux Chinois, à aller là-bas de bonne heure, car si vous vouliez esquiver le drame précédent, vous risqueriez fort de ne pas trouver de places, - le papier que je vous laisse étant un simple mot du directeur, et n'impliquant pas la retenue de places numérotées. » Cette troupe dacrobates avait satisfait le goût pour lexotisme de Baudelaire, qui louera « la grâce divine du cos
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