‎HERMANN-PAUL.‎
‎Grand Père.‎

‎ Imprimé par H. Chachouin. 55X38 cm. ‎

Reference : 16285


‎Gravure en couleurs tirée à 100 exemplaires numérotés sur Japon. Signée et accompagnée de son monogramme. ‎

€150.00 (€150.00 )
Bookseller's contact details

Librairie Pages Volantes
Pascale Celereau et Liliane Ruetsch
7 rue Auguste Bartholdi
75015 Paris
France

contact@librairiepagesvolantes.fr

33 01 40 59 88 46

Contact bookseller

Payment mode
Cheque
Others cards
Others
Sale conditions

Envoi dès votre règlement par -Chèque bancaire à l'ordre de "Pages Volantes" - Virement bancaire IBAN FR76 1751 5900 0008 8901 0112 677 - PAYPAL (en direct sur paypal ou nous demander le formulaire de paiement Frais d'envoi sur demande.

Contact bookseller about this book

Enter these characters to validate your form.
*
Send

5 book(s) with the same title

‎MARCHAL REBOUL, Ninette‎

Reference : 55717

(1978)

‎Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎

‎1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎


‎Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR750.00 (€750.00 )

‎Picasso Marina: ‎

Reference : 9147

(2001)

‎Grand-père. ‎

‎ Denoël, 2001. In-8 broché, couverture ornée d’un portrait du « Grand-père » Pablo Picasso. Illustré d’un cahier de photographies hors-texte en noir. ‎


‎"Mon père me tient par la main. Sans un mot, il s'avance vers le portail qui défend la maison de mon grand-père. Mon frère, Pablito, nous suit à quelques pas. J'ai six ans, Pablito pas tout à fait huit. Mon père sonne. J'ai peur comme à chaque fois. Le gardien de La Californie apparaît : " Monsieur Paul, vous aviez rendez-vous ? - Oui ", bredouille mon père. Il a lâché ma main pour que je ne sente pas à quel point la sienne est devenue moite. " Je vais voir si le maître peut vous recevoir. " Le portail se referme. Il pleut, mais nous devons attendre le bon plaisir du maître. Comme samedi dernier. Et le jeudi d'avant. Pablito est venu se coller à moi. Nous nous sentons coupables. De nouveau la grille s'ouvre et le gardien laisse tomber la sentence : " Le maître ne peut pas vous recevoir aujourd'hui. Madame m'a demandé de vous dire qu'il travaillait... " Grand-père, c'est l'histoire de Picasso, le plus grand génie du siècle vu à travers les yeux d'une enfant, Marina, sa petite-fille. En 1973, à la mort du peintre, elle a vingt-deux ans. Pendant trente ans elle se tait. Il lui aura fallu toutes ces années pour mettre des mots sur sa souffrance, pour caresser avec une émotion infinie et pleine de pudeur cette cicatrice. De la manière la plus intime, la plus terrible, Marina Picasso écrit jusqu'au-delà de la douleur, là où se trouve aujourd'hui sa liberté : ses enfants et ceux du bout du monde." ‎

La Bergerie - Carouge
CHF20.00 (€20.47 )

‎PREYSSAC DE NOGARET‎

Reference : 64747

(1838)

‎Courrier privé adressé par M. Preyssac de Nogaret, Commissaire de Police de la ville d'Embrun, à M. Dubreuil à propos d'un De Nogaret surnommé Pantalion Armand, et daté du 24 juin 1838. Il ne le connaît pas et évoque ses propres origines dans la commune de Granges (Lot-et-Garonne). Mais sur le nom de Pantalion Armand, il peut préciser que "M. Dupleix, autrefois Gouverneur de St Domaingue avant le massacre des blancs & cousin à mon grand-père vint en France, n'ayant point d'enfant, emmena à son retour à St Domingue le frère cadet à mon père, se chargeant auprès de mon grand père de faire la fortune de son fils & de plus s'en occuper. Depuis cette époque, la famille n'en a jamais eu de nouvelles & nous avons tous pensé qu'il avait été du nombre des victimes qui succombèrent lors de la révolution des nègres, dans cette partie de l'amérique. Mon oncle pourrait avoir à présent e 85 à 90 ans & il pourrait être agé de 17 à 18 ans lorsque M. Dupleix l'emmena [... ]"‎

‎1 lettre affranchie de 2 ff., 24 juin 1838‎


‎1 lettre affranchie de 2 ff., 24 juin 1838 : Courrier privé adressé par M. Preyssac de Nogaret, Commissaire de Police de la ville d'Embrun, à M. Dubreuil à propos d'un De Nogaret surnommé Pantalion Armand, et daté du 24 juin 1838. Il ne le connaît pas et évoque ses propres origines dans la commune de Granges (Lot-et-Garonne). Mais sur le nom de Pantalion Armand, il peut préciser que "M. Dupleix, autrefois Gouverneur de St Domaingue avant le massacre des blancs & cousin à mon grand-père vint en France, n'ayant point d'enfant, emmena à son retour à St Domingue le frère cadet à mon père, se chargeant auprès de mon grand père de faire la fortune de son fils & de plus s'en occuper. Depuis cette époque, la famille n'en a jamais eu de nouvelles & nous avons tous pensé qu'il avait été du nombre des victimes qui succombèrent lors de la révolution des nègres, dans cette partie de l'amérique. Mon oncle pourrait avoir à présent e 85 à 90 ans & il pourrait être agé de 17 à 18 ans lorsque M. Dupleix l'emmena [... ]"‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR290.00 (€290.00 )

‎[DESTOUCHES Auguste] & [CELINE Louis-Ferdinand]‎

Reference : 75327

(1900)

‎Portrait photographique d'Auguste Destouches, grand père paternel de Louis-Ferdinand Céline‎

‎J. Couturier, Paris s.d. (ca 1900), 10,3x15,5cm, une photographie au format carte cabinet.‎


‎Portrait photographique d'Auguste Destouches, grand-père paternel de Louis-Ferdinand Céline, d'après une peinture du temps, au format carte cabinet sur papier albuminé contrecollé sur un carton du studio J. Couturier. Carton un peu rogné en marge basse. Légende manuscrite au dos. Le professeur de lettres du Havre compte parmi les personnages récurrents des uvres de Céline?; ce modèle dont la carrière d'agrégé a longtemps résonné auprès de l'aspirant écrivain est puissamment évoqué dans la préface de Guignol's band (1944)?: «?Faut que je vous avoue mon grand-père, Auguste Destouches par son nom, qu'en faisait lui de la rhétorique, qu'était même professeur pour ça au lycée du Havre et brillant vers 1855. C'est dire que je me méfie atroce?! Si j'ai l'inclination innée?! Je possède tous ses écrits de grand-père, ses liasses, ses brouillons, des pleins tiroirs?! Ah?! redoutables?! Il faisait les discours du Préfet, je vous assure dans un sacré style?! Si il l'avait l'adjectif sûr?! s'il la piquait bien la fleurette?! Jamais un faux pas?! Mousse et pampre?! Fils des Gracques?! la Sentence et tout?! En vers comme en prose?! Il remportait toutes les médailles de l'Académie Française. Je les conserve avec émotion. C'est mon ancêtre?! Si je la connais un peu la langue et pas d'hier comme tant et tant?! Je le dis tout de suite?! dans les finesses?! J'ai débourré tous mes "effets", mes "litotes" et mes "pertinences" dedans mes couches... Ah?! j'en veux plus?! je m'en ferais crever?! Mon grand-père Auguste est d'avis. Il me le dit de là-haut, il me l'insuffle, du ciel au fond... "Enfant, pas de phrases?!..."?» (Guignol's band, Denoël, 1944) - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 56 08 08 85

EUR1,700.00 (€1,700.00 )

‎PICASSO Marina‎

Reference : 110881

(2001)

‎Grand-père.‎

‎ Denoël 2001 Denoël, 2001, 222 p., broché, bon état.‎


‎ Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.‎

Phone number : 33 04 78 42 29 41

EUR12.00 (€12.00 )
Get it on Google Play Get it on AppStore
The item was added to your cart
You have just added :

-

There are/is 0 item(s) in your cart.
Total : €0.00
(without shipping fees)
What can I do with a user account ?

What can I do with a user account ?

  • All your searches are memorised in your history which allows you to find and redo anterior searches.
  • You may manage a list of your favourite, regular searches.
  • Your preferences (language, search parameters, etc.) are memorised.
  • You may send your search results on your e-mail address without having to fill in each time you need it.
  • Get in touch with booksellers, order books and see previous orders.
  • Publish Events related to books.

And much more that you will discover browsing Livre Rare Book !