‎MARGUERITTE (Paul)‎
‎Ma grande.‎

‎Paris, Plon-Nourrit et Cie, [s.d., années 1900] 1 volume In-8° couronne (10,7 x 17,2cm) Reliure demi-basane blonde; dos lisse orné de 4 filets à froid, au titre doré au 1/3 inférieur (pas de mention d'auteur); papier de couvrure des plats marbré à dominante orangée. 4 feuillets, 313p., 1feuillet. Bon état sauf dos insolé, petit manque angulaire à 1 feuille (sans atteinte au texte) et fente sans manque à une autre; papier uniformément jauni.‎

Reference : 17628


‎Réédition non datée du roman publié en 1893 par l'écrivain Paul MARGUERITTE (1860-1918); exemplaire relié. ‎

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‎DAVILA, Henri-Catherin‎

Reference : LCS-17341

‎Histoire des guerres civiles de France. Contenant tout ce qui s’est passé de plus mémorable, sous le Regne de quatre Rois, François II. Charles IX. Henry III. & Henry IV. Surnommé Le Grand. Jusques à la Paix de Vervins. Escritte en Italien par H.C. DAVILA ; Et mise en François, par I. Baudoin.... La grande histoire des Guerres de religion par Davila.‎

‎Précieux exemplaire aux armes de la Grande Mademoiselle. Paris, P. Rocolet, 1657. 2 volumes in-folio de : I/ (2) ff.bl., (2) ff. y compris un portrait de l’auteur et un frontispice gravé, (14) ff., 654 pp., (1) f. de privilège, (2) ff.bl. ; II/ (2) ff.b l., (1) f., pp. 655 à 1281, 51 pp. de table, (2) ff.bl. Longue note manuscrite concernant Davila collée sur la garde du premier volume. Maroquin rouge, décor à la Duseuil sur les plats avec fleurs-de-lys aux angles, grandes armes frappées or au centre, dos à nerfs orné de fleurs-de-lys dans les caissons, coupes décorées, roulette intérieure dorée, tranches dorées. Reliure de l’époque. 365 x 248 mm.‎


‎Troisième édition, corrigée et augmentée, de la traduction française de l’Histoire des Guerres civiles de France de Davila « qui eut un grand retentissement et fut plusieurs fois imprimée et traduite en Italien, français, espagnol et latin ». Cette édition française, rare, est restée inconnue de Brunet et Deschamps. Brunet ne cite que l’édition italienne parue la même année. La première édition de cette traduction avait paru chez Rocolet en 1644. L’édition fut imprimée à petit nombre par P. Rocolet, imprimeur et libraire des rois Louis XIII et Louis XIV. Davila (Henri-Catherin), naquit, le 30 octobre 1576, au Sacco, village dans le territoire de Padoue. Il s’est rendu célèbre dans les lettres par son Histoire des guerres civiles de France. Très au fait des guerres de religion, il dit lui-même, au 9è livre de son Histoire, « qu’il était présent, en 1588, à l’ouverture des états de Blois, et si près du roi, qu’il entendit très distinctement tout son discours. » L’année suivante la reine, Catherine de Médicis, sa protectrice, mourut dès le mois de janvier, et Henri III fut assassiné au mois d’août. Malgré l’abjuration de Henri IV, la guerre civile durait encore. Davila se distingua dans plusieurs rencontres ; il eut un cheval tué sous lui au siège de Honfleur, en 1594, et fut blessé en 1597, d’un coup de pertuisane, au siège d’Amiens. La paix s’étant faite en 1598, il fut rappelé à Padoue par son père, qui y était retourné après la mort de Catherine de Médicis. Il ne cessa point de cultiver les lettres et de travailler, dans ses moments de loisir, au grand ouvrage qu'il avait entrepris. Il le fit enfin paraître en 15 livres, sous ce titre « Historia delle guerre civili di Francia di Henrico Caterino Davila nella quale si contengono le operationi di quattro re, Francesco II, Carlo IX, Henrico III et Henrico IV, cognominato il grande », Venise, Tommaso Baglioni, 1630, in-4. « Il n'y a qu'une opinion sur le mérite de Davila, considéré comme écrivain. Son style, exempt des vices qui régnaient de son temps, sans être aussi pur que celui de Guichardin, est plus serré, plus concis et brille en même temps par une admirable facilité. Sa manière de narrer, de disposer les évènements, de les enchaîner l'un à l’autre, d'introduire ses personnages, de les faire agir et parler, de décrire les lieux, les villes, les champs de bataille, les faits d'armes, les assemblées, les conseils, la conduite des négociations, n'est pas moins louable que son style. Il paraît enfin avoir pris des soins extrêmes pour connaître la vérité, l'avoir puisée dans de bonnes sources, et l'avoir dite en général avec franchise. Mais cette franchise n'a pu manquer d'être quelquefois altérée par sa position et ses relations particulières par les préjugés de son pays et de son siècle. Un italien de ce temps-là ne pouvait tenir la balance égale entre les catholiques et les protestants ; un homme qui devait la fortune de sa sœur, de son frère et le commencement de la sienne à Catherine de Médicis, à qui son prénom même rappelait qu'il lui avait été pour ainsi dire consacré dès sa naissance, ne pouvait être un juge impartial de cette reine. » (Michaud). Superbes volumes ornés d’une planche allégorique, d’un portrait de l’auteur, de vignettes et initiales, le tout remarquablement gravé sur cuivre par Grégoire Huret. Précieux exemplaire en maroquin de l’époque aux armes de la Duchesse de Montpensier, Anne-Marie-Louise d’Orléans, dite la « grande demoiselle », fille de Gaston d’Orléans et cousine de Louis XIV. Elle était l’héritière la plus riche de toute l’Europe. « On ne connait généralement la duchesse de Montpensier, la ‘Grande Mademoiselle’, que par le rôle un peu bruyant qu’elle joua dans les événements de la Fronde ; mais à côté de l’héroïne qui rivalisa d’exploits chevaleresques avec Madame de Longueville et la Princesse de Condé, pour s’imposer, les armes à la main, à son cousin Louis XIV, le royal époux de ses rêves, il y a une autre femme, à l’esprit délicat et tendre, éprise de littérature, passionnée pour les belles choses, et dont les livres, heureusement choisis, représentent une des collections les plus remarquables du temps. Anne-Marie-Louise d’Orléans naquit au Louvre en mai 1627. Fille de Gaston d’Orléans et de sa première femme, Marie de Bourbon, duchesse de Montpensier, qui mourut cinq jours après l’avoir mise au monde, elle fut élevée par une gouvernante estimable et pieuse [...] La duchesse de Montpensier était douée d’un esprit brillant. Segrais nous apprend que sa bibliothèque était le rendez-vous des artistes et des poètes et qu’on s’y réunissait à jours fixes [...] La grande Mademoiselle expira le 5 avril 1693, au palais du Luxembourg, âgée de 66 ans[...] Les livres de la duchesse de Montpensier passent rarement dans les ventes publiques et nous n’en connaissons que quelques-uns chez les amateurs [...] Tous sont uniformément revêtus de maroquin rouge... » (E. Quentin-Bauchart). Sur les 79 ouvrages lui ayant appartenu recensés par Quentin-Bauchard, 63 se trouvent aujourd’hui dans des collections publiques. Celui-ci est resté ignoré du bibliographe. Superbe exemplaire dont la reliure, d’une couleur et d’une élégance raffinée, peut être attribuée à l’atelier de Pierre Rocolet, éditeur de l’ouvrage. Il porte sur les titres et à la p. 61 du tome premier le cachet des Orléans. Provenance : Bibliothèques Radziwill (1866, n°1507), Mortimer L. Schiff (II, 1938, n°746) et Sir Abdy (1975, n°79).‎

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EUR35,000.00 (€35,000.00 )

‎BALZAC, Honoré de‎

Reference : LCS-11699

‎La grande Bretèche ou les trois vengeances. La Vieille fille. [Études de mœurs au XIXe siècle. Tome vii. Seconde série. Scènes de la vie de province. 3è volume]. « La Vieille Fille » de Balzac sur papier rose‎

‎Édition originale de La Vieille Fille, « l’un des tableaux les plus réussis de la vie de province», imprimée sur papier rose, conservée dans sa précieuse brochure de l’époque. Paris, Werdet, 1837. In-8 de (2) ff., 359 pp. Conservé broché, non rogné. 222 x 143 mm.‎


‎Rare exemplaire sur papier de couleur, broché, à toutes marges, avec sa couverture d’origine. Vicaire, I, p. 198; Talvart, I, p. 154; Carteret, I, p.69; Clouzot, p.21. Édition originale de La Vieille Fille et seconde édition de La Grande Bretèche. Il s’agit de l’un des très rares exemplaires sur papier de couleur, celui-ci sur papier rose. «De ces volumes des ‘Scènes de la vie de Province’ ont été tirés quelques exemplaires sur papier de couleur, que l’on rencontre séparément et qui sont fort recherchés.» Clouzot. Guide du bibliophile. La Vieille Fille: «‘La Vieille Fille’ est un roman d’une remarquable analyse psychologique: le personnage de MlleCormon est un des types les plus vivants de ‘La Comédie humaine’; Balzac, ici, ne simplifie pas, l’analyse est nuancée et profonde. Mais ‘La Vieille Fille’ est également un des tableaux les plus réussis de la vie de province: les soirées en ville, les mille intrigues, les intérêts politiques et financiers, les exclusives des classes entre elles, tout cela est dépeint avec un étonnant sens du réel et une grande fidélité.» (Dictionnaire des Œuvres, VI, 668). En 1816, à Alençon, une vieille fille de bonne famille bourgeoise, Rose Cormon, espère que le retour de la paix et des Bourbons lui amènera enfin un mari. De ce sujet drolatique, Balzac fait une fable politique, grâce à la rivalité de deux prétendants de partis opposés. La Grande Bretèche: La Grande Bretèche date des débuts du véritable Balzac, celui qui commence avec LeDernierChouan et La Physiologie du mariage. La Grande Bretèche raconte l'histoire de Madame de Merret que son mari surprend en flagrant délit d'adultère : son époux entreprend d'emmurer vivant l'amant de sa femme dans le cabinet où il s'est caché. «Dans ce court récit, Balzac veut donner un exemple frappant de drame de la jalousie. La découverte progressive du mystère est très habilement amenée et les coups de théâtre se succèdent, enfermant peu à peu cette femme coupable et victime dans les atroces conséquences de son faux serment». (Dictionnaire des Œuvres, III, 278). Cette édition originale, imprimée sur papier de couleur, est rare, et rarissime conservée dans sa brochure de l’époque. Un autre exemplaire de cette édition, sur papier jonquille mais, hélas, relié vers 1900 par Champs, et donc lavé, fut vendu le 29 juin 2001, il y a 11 ans, pour € 26000.‎

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EUR23,000.00 (€23,000.00 )

‎ADANSON, Michel.‎

Reference : LCS-18190

‎Histoire naturelle du Sénégal. Coquillages. Avec la Relation abrégée d’un Voyage fait en ce pays, pendant les années 1749, 50, 51, 52 & 53. Rare édition originale de ce récit de voyage au Sénégal par le naturaliste Michel Adanson illustrée d’une grande carte et de 19 planches gravées dépliantes.‎

‎« Cet ouvrage qui a eu un grand succès, comme le prouvent ses éditions en anglais et en allemand, reste encore aujourd’hui un grand classique de l’Histoire naturelle. » Paris, Claude-Jean-Baptiste Bauche, 1757.In-4 de (8) pp., 190 pp., (1) f., xcvi pp., 275 pp., 1 grande carte dépliante et 19 planches dépliantes. Veau marbré, triple filet à froid encadrant les plats, dos à nerfs orné de fleurons dorés, pièce de titre de maroquin rouge, double filet or sur les coupes, tranches marbrées. Reliure de l’époque.255 x 185 mm.‎


‎Rare édition originale de ce récit de voyage au Sénégal par le naturaliste Michel Adanson.« En 1757, Michel Adanson, jeune naturaliste de trente ans, élève de Réaumur et de Jussieu, publie son ‘Histoire naturelle du Sénégal’, livre dans lequel il apporte, après un séjour de cinq ans en Afrique, de très nombreuses nouvelles observations botaniques, zoologiques et ethnographiques. Cet ouvrage comporte une seconde partie intitulée ‘Histoire des coquillages’ qui contient, après une préface de 96 pages, 275 pages consacrées aux coquillages locaux, d’eau de mer ou d’eau douce, 19 planches de magnifiques dessins ainsi qu’une grande carte du Sénégal. Cet ouvrage qui a eu un grand succès, comme le prouvent ses éditions en anglais et en allemand, reste encore aujourd’hui un grand classique de l’Histoire naturelle. » (Bulletin de la Société pharmaceutique de Bordeaux).« ‘L’Histoire naturelle du Sénégal’, premier ouvrage de Michel Adanson (1787-1806), rassemble les observations faites au Sénégal pendant le séjour de cinq années qu’y fit ce jeune naturaliste élève de Réaumur et de Jussieu. Dans la première partie, Adanson donne une présentation complète des nouvelles plantes et des nouveaux animaux qu’il a découverts ; il rapporte également les caractères, modes de vie, mœurs et coutumes des habitants du pays. La deuxième partie, plus importante, est consacrée aux mollusques locaux et à leurs coquilles dont la description est précédée d’un chapitre proposant une nouvelle taxonomie…La mémoire de ce savant remarquable a été maintenant définitivement tirée de l’oubli et le monde scientifique s’attache à reconnaitre l’importance de l’œuvre de ce travailleur acharné que fut Michel Adanson, l’illustre auteur des ‘Familles des plantes’ et du ‘Voyage au Sénégal, à l’isle de Gorée et au fleuve Gambie’ ». (Guy Devaux, Revue d’Histoire de la Pharmacie)L’ouvrage est orné en premier tirage d’une grande carte dépliante du Sénégal et de 19 planches gravées dépliantes de mollusques et coquillages.Précieux exemplaire d’une grande fraicheur conservé dans sa reliure de l’époque parfaitement conservée.‎

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EUR8,000.00 (€8,000.00 )

‎GUIBERT, Jacques-Antoine-Hippolyte.‎

Reference : LCS-18002

‎Eloge du roi de Prusse. Par l’Auteur de l’Essai Général de Tactique... « L’œuvre de Guibert a eu une grande influence sur les conceptions militaires de Napoléon, qui avait lu et médité ses écrits ».‎

‎Edition originale rare de cette analyse des campagnes de Frédéric II jugées par le célèbre tacticien français Jacques-Antoine-Hippolyte Guibert, ouvrage qui eut une grande influence sur les conceptions militaires de Napoléon. Londres, 1787.In-8 de 304 pp. Conservé dans sa brochure d’origine de papier orangé, pièce de titre de papier en tête du dos, non rogné. Brochure de l’époque.212 x 137 mm.‎


‎Edition originale rare de cette analyse des campagnes de Frédéric II jugées par le célèbre tacticien français Jacques-Antoine-Hippolyte Guibert, ouvrage qui eut une grande influence sur les conceptions militaires de Napoléon.Jacques-Antoine-Hippolyte Guibert est un général et auteur militaire français né le 12 novembre 1743 à Montauban et mort le 6 mai 1790 à Paris.« Le 1er juin 1772, M. de Guibert avait fait parvenir au Roi, par l’entremise de d’Alembert, son ‘Essai général de tactique’ ; il arriva lui-même à Postdam le 14 juin 1773, et écrivit à Frédéric une lettre. Aux pages 215 et suivantes, M. de Guibert parle de la conversation qu’il eut avec le Roi le 17 juin, et de son séjour à Postdam. Dans le second volume de son ‘Journal’, il parle des manœuvres et des revues auxquelles il avait assisté en Silésie, aux mois d’août et de septembre 1773. Son séjour à Berlin, à Postdam et en Silésie, ses conversations avec Frédéric, et la connaissance assez intime qu’il avait faite avec M. de Catt, l’abbé Bastiani, le colonel Quintus Icilius, les généraux d’Anhalt et de Rossières, et avec beaucoup d’autres personnages très capables de le mettre au fait de l’histoire de la Prusse et du caractère de Frédéric, lui donnèrent l’idée et lui fournirent les moyens d’écrire ‘l’Eloge du roi de Prusse’. A Londres (Paris), 1787, 304 pages in-8. Cet ouvrage a été souvent réimprimé ; il a été traduit deux fois en allemand, et en italien. On en trouve une critique sévère dans la ‘Lettre du comte de Mirabeau à M. le comte de... sur l’Eloge de Frédéric, par M. de Guibert’, 1788. Il est souvent fait mention de M. de Guibert dans la correspondance de Frédéric. » (Œuvres de Frédéric le Grand). Guibert entre en 1756, à l'âge de treize ans, au régiment d'Auvergne avec le grade de lieutenant. Il devient capitaine en 1758 et prend part à la guerre de Sept Ans. Il y accompagne son père, Charles-Benoît, comte de Guibert. Il est décoré de la Croix de Saint-Louis lors des opérations en Corse. À l’issue de la campagne, il est nommé colonel et reçoit le commandement de la Légion corse à sa création. Il publie à Liège son Essai général de tactique, accompagné d'un Discours où il se propose « ...de tracer le tableau politique et militaire de l’Europe » et en particulier de sa Nation. Par prudence, il se retire en Prusse en attendant de voir l'effet que son ouvrage aura sur l'opinion : c’est ainsi qu'en 1773, Frédéric II le Grand reconnaît en lui un grand tacticien avec lequel il conversera souvent sur les questions militaires. Sa Défense du système de guerre moderne mettait en lumière les méthodes de défense raisonnée et scientifique utilisées par l'armée prussienne. Ce fut la base de son travail lorsqu'en 1775 il coopéra avec le comte de Saint-Germain dans une série de réformes de l'armée française.Il est élu à l'Académie française le 15 décembre 1785. À la veille de la Révolution, il est rappelé au conseil de l’administration de la guerre en 1787. En 1788, il est nommé maréchal de camp et inspecteur divisionnaire d'infanterie de l'Artois. Il est emporté par une courte maladie le 6 mai 1790. L’œuvre de Guibert a eu une grande influence sur les conceptions militaires de Napoléon, qui avait lu et médité ses écrits. « Traditionnellement, on présente Napoléon comme l’héritier direct de Guibert et de ses théories. Jean Tulard n’émit pas en 1977 un avis différent dans son fameux Napoléon ou le mythe du Sauveur : « Les idées stratégiques de Napoléon n’étaient pas neuves ; elles venaient tout droit de Guibert et du principe divisionnaire ». Dans le très bon ouvrage de vulgarisation de Thierry Lentz, Napoléon : « Mon ambition était grande », publié en 1998, à la page 71, sur la page de présentation du chapitre IV intitulé « Le Dieu de la Guerre (1800-1810) », nous avons droit à une photographie de la trousse de campagne de l’Empereur, mise en valeur par un montage photographique avec deux livres grands ouverts. Sur la page droite du livre aux dimensions les plus réduites, nous pouvons lire ce titre : Essai général de tactique. Ce joli montage est en parfaite adéquation avec ce que Thierry Lentz écrit à la page 86, affirmant que ‘jeune, il avait découvert le fondement de sa stratégie dans les commentaires de Guibert sur les campagnes de Frédéric le Grand’. »Bel exemplaire conservé broché et à toutes marges.‎

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EUR2,000.00 (€2,000.00 )

‎PEDRUSI Paolo‎

Reference : 30920

(1694)

‎I CESARI IN ORO (IN ARGENTO IN MEDAGLIONI IN METALLO GRANDE) RACCOLTI NEL FARNESE MUSEO E PUBBLICATI COLLE LORO CONGRUE INTERPRETAZIONI.‎

‎Composti dal Padre Paolo Pedrusi. nella Stamperia di S.A.S., Parma, 1694-1727. In-4 gr., (mm. 356x235), 10 volumi in 9 tomi, p. pergamena coeva (piccole manc. e abrasioni: 8 volumi con dorsi a cordoni e tit. oro, il 9°/10° con tit. oro su tassello al dorso), tagli marmorizz. Questa imponente opera è illustrata da complessive 238 tavole f.t. inc. in rame: ciascuna raffigura un gruppo di monete e medaglie in cui sono effigiati imperatori romani, ed è seguita da alcune pagine di commento. I singoli volumi sono dedicati al Duca di Parma regnante nell'anno di stampa. L'opera - completa in tutte le sue parti - è così suddivisa:- Vol. 1° (1694) "I Cesari in oro", pp. XII,378,(2), antiporta con ritratto di Ranuccio Secondo, inc. in rame da F.M. Francia, con 28 tavole. - Vol. 2° (1701) "I Cesari in argento, da Giulio Cesare sino a Traiano", pp. XIX,452, grande antiporta figurata (più volte ripieg.), disegnata e incisa da G.G. Bononi con ritratto di Francesco Primo, e con 34 tavole.- Vol. 3° (1703) "I Cesari in argento, da Adriano sino a Caracalla e Geta", pp. IX,369, grande antiporta figurata (più volte ripieg.), disegnata e incisa da G.G. Bononi con ritratto di Francesco Primo, e con 24 tavole.- Vol. 4° (1704) "I Cesari in argento, da Macrino sino a Eraclio", pp. XI,324, grande antiporta figurata (più volte ripieg.), disegnata e incisa da G.G. Bononi con ritratto di Francesco Primo, e con 19 tavole.- Vol. 5° (1709) "I Cesari in medaglioni", pp. XXIV,368, grande antiporta figurata (più volte ripieg.), disegnata e incisa da G.G. Bononi con ritratto di Francesco Primo, e con 27 tavole.- Vol. 6° (1714) "I Cesari in metallo grande, da Giulio Cesare a L. Elio", pp. XL,402,(2), grande antiporta figurata (più volte ripieg.), disegnata e incisa da G.G. Bononi con ritratto di Francesco Primo, e con 40 tavole.- Vol. 7° (1717) "I Cesari in metallo grande, da Antonino Pio a Gordiano III", pp. XXXXXVI,431, antiporta con grande ritratto di Francesco Primo, incisa da Gio Batta Sintes, con 43 tavole.- Vol. 8° (1721) "I Cesari in metallo grande", proseguendo da M.G. Filippo fino a Postumo, con "parte de' Cesari in metallo mezzano e piccolo", incominciando da Alessandro Magno sino a Tito. Opera postuma, pp. XV,354,(2), antiporta con grande ritratto di Francesco Primo, incisa da Gio Batta Sintes, un ritratto dell'Autore in medaglione inc. in rame, e con 23 tavole. Gli 8 volumi sono ornati da fregi, grandi iniziali figurate e finali incisi su legno. - Voll. 9° / 10° (1724-1727) "I Cesari in metallo mezzano e piccolo", di Pietro PIOVENE della Compagnia di Gesù (che completò l'opera dopo la morte del Padre Pedrusi). Il vol. 9° contiene le medaglie di Domiziano, di Domizia e di Giulia di Tito, pp. XX,260,(12), frontespizio con grande vignetta incisa in rame da Pini, antiporta con grande ritratto di Francesco Primo, incisa da Gio Batta Sintes, ed illustrato da: una tavola allegorica con ritratto in medaglione di Francesco Primo incisa da A. Van Westerhout - 9 bellissime testate che raffigurano palazzi dei Farnese a Roma, Caprarola e Piacenza - 9 grandi iniziali - 9 grandi finali con medaglie che appartengono a personaggi illustri di Casa Farnese. Unito:il Vol. 10° che contiene le medaglie di Nerva, Trajano, di Plotina e di Matidia, pp. (20),306,(8), vignetta incisa al frontespizio; con una tavola allegorica con ritratto in medaglione di Francesco Primo incisa da A. Van Westerhout, e 19 bellissime testate, grandi iniziali e finali che illustrano i palazzi e le medaglie di Casa Farnese. "Edizione originale", raro trovarla completa di tutti i 10 volumi e di tutte le tavole.Cfr. Piantanida,4496 (solo i primi 8) - Choix de Olscki,12977 (solo i primi 4) - Brunet,IV,465. Primi 3 volumi con alone al marg. infer.; 2 volumi con lieve alone al marg. super. solo su alc. carte; fori di tarlo margin. sulle ultime carte di 1 vol., ma complessivamente un buon esemplare.‎


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