Paris, A la Cité des Livres, 1931. In-8°, 63p. Broché, couverture rempliée.
Reference : 24055
Edition originale numérotée 1/1000 exemplaires sur vergé d'Arches (après 15 Japon et 25 Hollande). En excellente condition.
Le Cabinet d'Amateur
M. Marc Mettler
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Parisiis, apud Lefevre Bibliopolam Relié 1822 "Quarante-trois volumes in-12 (8 x 12,3 cm), reliure demi-peau, dos à nerfs ornés de dorures, texte en latin, 1e et 2e séries de ""Scriptores latini principes. Recensuit et edidit Johannes Augustus Amar"", la 1ere série compte 27 volumes sur 28 (il manque le n°12) et comprend des oeuvres de Tacite (4 vol.), Florus (1 vol.), Salluste (1 vol.), Pline (2 volumes), Cicéron, (17 vol.), Népos (1 vol.). La 2e série compte 16 volumes sur 17 (manque le n°3) et comprend des oeuvres de Térence (2 vol.), Catulle (1 vol.), Virgile (2 vol.), Properce (1 vol.), Horace (1 vol.), Ovide (5 vol.), Phèdre (1 vol.), Juvénal (1 vol.) et Lucain (2 vol.) ; dos insolés, frottements aux coiffes, nerfs et coupes, quelques rousseurs, par ailleurs bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande."
Alfred Mame & fils Broché In-8 (14.5 x 19 cm), broché avec couverture rempliée illustrée, 221 pages, sans date ; pliures au dos, coiffes et coins frottés, plats jaunis, par ailleurs intérieur frais, assez bel état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
A Paris, chez J. B. G. Musier fils Relié 1770 Deux volumes in-8 (13,5 x 20,5 cm), reliure demi-peau, dos lisse, viij-432 et 479 pages, planches dépliantes in fine ; reliure cassée aux mors, manques de papier reliure et frottements aux plats, mouillure en tête des 4 premiers feuillets du tome 1, par ailleurs intérieur frais, en l'état, à restaurer. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Hachette, 1889, in-12, viii-362 pp, reliure demi-percaline anthracite, dos lisse, pièce de titre basane noire, fleuron et double filet doré en queue (rel. de l'époque), qqs pâles rousseurs, bon état
Thomas Ferneuil est l’un des pseudonymes qu’utilise Fernand Samazeuilh (1845-1921), banquier bordelais et très actif président de la Société des Amis de l’Université de Bordeaux. — "Qu’on le regrette ou non, la Révolution française, d’objet de foi qu’elle était, devient de plus eil plus un objet de science. La doctrine révolutionnaire ne nous apparaît plus comme un évangile impeccable ni comme un tissu de monstrueuses aberrations, mais nous nous habituons peu à peu à n’y voir qu’un fait social de la plus haute importance, dont nous cherchons à connaître les origines et la portée. Les temps commencent à être mûrs pour une étude objective et impartiale de cette histoire. Le très intéressant livre que vient de nous donner M. Ferneuil est une nouvelle et importante manifestation de cet état d’esprit. La question que s’est posée M. Ferneuil n’est pas de celles que l’on peut résoudre d’un mot, car les principes de 89 peuvent être considérés sous des aspects très différents. Ils sont un événement historique, un fait politique, en même temps qu’une théorie scientifique de la société. Oubliez les conditions sociales dans lesquelles ils se sont produits pour les considérer en eux-mêmes, et vous n’y verrez qu’une suite de propositions abstraites, définitions, axiomes, théorèmes, qui se présentent comme le résumé d’une science définitive : c’est une sorte de bréviaire de sociologie, du moins d’une certaine sociologie. Mais replacez-les dans leur milieu historique, et le point de vue change. Les hommes de la Révolution n’étaient pas des savants qui imaginaient un système dans le silence du cabinet, mais des hommes d’action qui se croyaient appelés à reconstruire la société sur des bases nouvelles ; et il est trop clair qu’une pareille reconstruction ne pouvait pas se faire d’après une méthode scientifique. En réalité ce sont les besoins, les aspirations de toute sorte dont était travaillée la société française qui ont guidé les hommes d’État de l’époque et déterminé les grandes lignes de l’œuvre à la fois destructive et réparatrice qu’ils avaient entreprise. Les fameux principes ne font qu’exprimer ces tendances, bien plutôt que les rapports réels des choses..." (Émile Durkheim, Revue internationale de l'enseignement, 1890) — "D'autres ont jugé, et jugé sévèrement, les principes de 1789 à lumière de l'histoire ; après M. Taine, ce point de vue est épuisé. M. Ferneuil entreprend de les critiquer à la lumière d'une science embryonnaire, la sociologie. Aux solutions des problèmes sociaux dogmatisées par nos aïeux révolutionnaires, il oppose celles que préconisent nos contemporains évolutionnistes. Comme on le voit, sa critique n'est pas seulement négative, elle ne se borne pas à démolir, elle reconstruit et d'ailleurs, jamais haineuse ni passionnée, elle ne s'inspire d'aucun esprit de parti... Le livre que nous venons d'apprécier est intéressant, instructif et opportun, et digne assurément d'être recommandé aux lecteurs de la “Revue”." (Gabriel Tarde, Revue Philosophique de la France et de l'Étranger, 1889) — "... « Les droits garantis aux citoyens sont contenus dans cette formule fameuse : les principes de 1789 », ces principes de 1789 « ne sont pas autre chose, considérés en eux-mêmes, que l'expression de la justice dans l'organistion politique et sociale » (Aucoc, 1878). Pouvaient s'établir ainsi, à partir des déclarations des droits, maintes constructions déductives se réclamant des sciences politiques ou sociales. C'est le cas de “Les principes de 1789 et la science sociale” dans lequel Th. Ferneuil parcourt tous les chapitres de la science sociale avant de dire son mot sur le droit politique (suffrage universel, système représentatif, nature et distinction des pouvoirs) et ce qu'il dit être le droit privé( il y rattache les questions du collectivisme et du socialisme)." (Pierre Favre, “La constitution d'une science du politique”, Revue française de science politique, 1983)
P., Bossange, 1800-1803, 4 VOLUMES in 8 reliés en pleine basane, dos ornés de fers et filets dorés, filets dorés sur les plats, tranches jaspées (reliures de l'époque), (petites épidermures sur 2 plats et à un dos, quelques coins émoussés, infimes rousseurs, petit manque de papier d'origine dans la marge extérieure de la page 201 au tome 3), T.1 : (2), 103pp., 352pp., T.2 : (2), 419pp., T.3 : (2), 476pp., (1-errata et avis au relieur), 46 PLANCHES dépliantes pour le traité élémentaire ou principes de physique ; (2), 14pp., 412pp., 6 PLANCHES dépliantes pour les Elemens ou principes physico-chymiques
---- BON EXEMPLAIRE ---- Quatrième éditon REVUE, CORRIGEE ET AUGMENTEE pour le TRAITÉ ÉLÉMENTAIRE OU PRINCIPES DE PHYSIQUE ; EDITION ORIGINALE pour les ELEMENS OU PRINCIPES PHYSICO-CHYMIQUES ---- "J.M. BRISSON was professor of physics in the Collège de Navarre, Ecole Centrale and Lycée Bonaparte. Having undergone an involuntary adjustment in his activities, Brisson carried on two successive careers, a sort one as a naturalist and Réaumur's collaborator and a longer one as Nollet's disciple and the disseminator of the ideas of experimental physics. His rather considerable influence was due to his teaching and his works which were an excellent means of spreading the scientific knowledge of the time. He collaborated with Baumé, Macquer and Lavoisier in experiments on the combustion fo diamonds". (Cole & DSB II pp. 473/475)**903/L2"J.M. Brisson was professor of physics in the Collège de Navarre, Ecole Centrale and Lycée Bonaparte. Having undergone an involuntary adjustment in his activities, Brisson carried on two successive careers, a sort one as a naturalist and Réaumur's collaborator and a longer one as Nollet's disciple and the disseminator of the ideas of experimental physics. His rather considerable influence was due to his teaching and his works which were an excellent means of spreading the scientific knowledge of the time. He collaborated with Baumé, Macquer and Lavoisier in experiments on the combustion fo diamonds". (Cole & DSB II pp. 473/475)**903/L2