Paris, Librairie Hachette (coll. "Les âges de la vie"), 1926. Pt. in-8° carré, 93p. Broché, couverture rempliée.
Reference : 16621
Edition originale numérotée 1/425 exemplaires sur Madagascar [tirage total: 785 ex.]. Exemplaire à grandes marges, non rogné. Typographie soignée.
Le Cabinet d'Amateur
M. Marc Mettler
2, Escalier du Château
2000 Neuchâtel
Switzerland
0041 32 724 73 65
Conformes aux usage de la librairie ancienne. Prix nets en francs suisses. Paiement par virement bancaire ou via PAYPAL. Frais d'envoi à la charge du destinataire. Tous nos livres sont garantis en bon état, sauf mention contraire. Toute réclamation devra se faire dans les 10 jours qui suivent la réception de la marchandise.
Le Seuil 2002 142 pages poche. 2002. Broché. 142 pages. Toute une jeunesse trimbalée dans quelques coins de monde dans quelques recoins de la tête. Tel est le dernier objet littéraire d'Alain Rémond chroniqueur à Télérama. Point de départ à cette jeunesse des lettres de son père retrouvées par hasard écrites entre 1930 et 1931 et qui rendent compte d'une autre jeunesse passée au Maroc pour cause de service militaire. À leur lecture c'est tout simplement un narrateur qui va à la rencontre d'un jeune homme qui deviendra son père. C'est aussi ce qui incite Alain Rémond à "rapporter" sa propre jeunesse avec un chemin tantôt parallèle tantôt divergent parti d'une famille bretonne catholique: l'envie très tôt d'entrer dans les ordres la foi intime en un Dieu personnel le vertige de la liberté initié par un professeur de philosophie le noviciat à Rome l'enseignement en Algérie la rupture avec l'Église l'engagement au PSU et un amour immodéré pour Bob Dylan... Des annéessoixante aux annéessoixante-dix voilà donc une jeunesse parmi d'autres pleinement inscrite dans son temps avec ses rêves ses désillusions marquée (auréolée presque) toujours par l'image de ce père mort trop tôt peu connu et qu'il aurait "aimé aimer". Un parcours conduit par une écriture sereine lisse jamais distanciée mais jamais trop émotive menée telle une confession sans anicroche. --Céline Darner
Très Bon Etat une inscription
Mérimée Prosper De Régnier Henri Feuillet Octave Loti Pierre
Reference : 221357
(1907)
Calmann-lévy 1907 collection nouvelle collection illustrée. in8. 1907. Relié.
Très Bon Etat
Le Livre de Poche 1991 220 pages 16x11x2cm. 1991. Poche. 220 pages. (lot de 7 livres) Son âme au diable - douces morts violentes - crime par ascendant - la banque ferme à midi - le jeune homme et la mort - le goût du risque - simisola
Bon Etat
Paris Sagittaire 1978 In-8 Broché, couverture illustrée
EDITION ORIGINALE du premier livre de l'auteur. Le portrait en couverture est de Pierre Commoy, le photographe du duo d'artiste Pierre et Gilles. Pas de grand papier. Petites marques sur la tranche des dix-huit dernière pages , en garde arrière et troisième de couverture. >>>>> Héritier du mouvement hippie, Alain Pacadis commence sa courte carrière au début des années 70. Très tôt intéressé par les la musique et l'art, plus particulièrement par la scène newyorkaise, il rencontre Andy Warhol et commence à écrire ses premiers articles dans lesquels il fait découvrir aux lecteurs français des chanteurs encore inconnus comme David Bowie ou Lou Reed. Il tient ensuite à partir de 1975 une chronique dans Libération qui va vite lui assurer une notoriété certaine, affirmant du même coup son image de chroniqueur de l'underground. La naissance l'année suivante du mouvement Punk dont il est là encore un des premiers à souligner l'importance va faire de lui le spécialiste du sujet. Il multiplie alors les articles dans lesquels il se dévoile de plus en plus, montrant un jeune homme souvent sale, alcoolique, usant de drogues en tout genre et à la vie sexuelle dissolue. Son passage à Apostrophe en 1978 à l'occasion de la sortie de son livre UN JEUNE HOMME CHIC - compilation de textes et d'extraits de son agenda - le fait connaître d'un plus large public. Cette même année ouvre à Paris la célèbre boîte Le Palace qui va devenir son second domicile, et où jusqu'à sa mort mystérieuse survenue en 1986 il va traîner son mal de vivre, sombrant dans l'excès et cultivant l'image d'un dandy négligé et éternellement fauché. Très bon 0
Paris, Imprimerie de Didot l’Aîné, Paris, Imprimerie de Didot l’Aîné1788 ; in-8, plein cuir de Russie vert, triple encadrement de chaînette dorée avec motif d’angle, grand losange orné à froid au centre, dos orné, doublé et gardes de tabis bleu, encadr. intér. dor., tranches dorées. (Reliure du début XIXe s.) 2 ff., 236 pp.Publication rarissime, hors commerce, tirée à très petit nombre (sans doute 25 exemplaires) pour les amis et la famille.Ce sont des mélanges en prose : Comparaison de quelques uns des hommes illustres de Plutarque, des jugements sur Montaigne, La Fontaine, Fénelon, Montesquieu, Rousseau, des idées sur le goût, sur la considération, l’énergie, l’esprit d’indépendance, etc.Le jeune vicomte de Wall, né à Paris en 1764 a été tué dans des circonstances mystérieuses en 1787. Il descendait du royaliste irlandais Edouard Wall. Dès 1785, il entra comme lieutenant au régiment du roi et épousa Adèle, la nièce du duc de Rohan. Le 25 nov. 1787 il reçut une lettre faussement timbrée d’Allemagne, par laquelle on lui demandait réparation d’une ancienne injure. Il se rendit à l’appel de son adversaire et retrouva celui-ci à Fontainebleau. Le 2 décembre 1787, on retrouva son corps dans la forêt de Fontainebleau, la tête fracassée par une balle de pistolet. Le volume est préfacé (sans signature) par François-Henri de Virieu (Grenoble 1754 - tué à Lyon en 1793), un ami intime du jeune vicomte Wall. Virieu était franc-maçon. En 1782 il s’était rendu avec Wall au fameux congrès de Wilhelmsbad, tenu par Adam Weishaupt, le fondateur de l’ordre des Illuminés de Bavière. Voir à ce sujet : Costa de Beauregard. Le roman d’un royaliste... Souvenirs du comte de Virieu. Le comte de Virieu, séduit par les idées nouvelles et attiré par les sociétés secrètes avait entraîné le jeune Wall dans cette étrange aventure. Les deux Français seraient revenus épouvantés par ce qu’ils y ont entendu. Au retour de Wilhelmsbad, le vicomte de Wall parla trop, ce qui, pour certains, causa sa mort. Quel était l’ennemi du malheureux jeune homme ? On ne l’a jamais su, car il avait la généreuse imprudence de renvoyer son assassin. À la fin du volume se trouve le Récit des circonstances de la fin malheureuse du vicomte de Wall. (pp. 201 à 233). La secte des Illuminés n’est sans doute pas responsable de la mort du jeune homme. Une note au bas de la notice du Supplément de la Biogr. Universelle de Michaud concernant le comte Roger de Damas (tome 62, p. 52), indique que le jeune comte “Roger de Damas dut quitter la France par suite d’un duel avec le vicomte de Wall. L’intervention de la Cour avait seule pu soustraire le comte de Damas au ressentiment de la famille de son adversaire, qui avait succombé sans que l’on sut de quelle manière.”Ce précieux livre-tombeau a été publié par l’abbé Pluquet pour la famille et les amis. Peignot. Repert. des bibliogr. spéciales. p. 141.
Phone number : 03 86 50 05 22