Paris, Londres, Librairie de l'Art, 1886 - 8vo. 27 cm. Broché. Couvertures rempliées. Titre en rouge et noire. 144 pp. Accompagné de 44 gravures. Exemplaire non rogné. Bon état. (Les Artistes Célèbres).
Reference : 18357
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1770 8 volumes, reliure plein veau havane marbré in-douze (binding full calfskin duodecimo) (14,6 x 8,8 cm), Reliure d'Epoque, dos long (spine without raised band), décoration or (gilt decoration) à filets or (gilt lines), entre-nerfs à fleuron au fer azuré (between the raised bands floweret with blued blocking stamp) dans un encadrement de double filets or avec petits fleurons à chaque angles, double filets or en place des nerfs et en tête et en pied, fleuron fraise en pied, titre frappé or (gilt title), pièce de titre sur fond bordeaux avec double filets or (label of title with double gilt line) et pièce de tomaison sur fond vert foncé avec double filets or (label of volume numbering with double gilt line), roulettes sur les coupes (fillets on the cuts), toutes tranches lisses peignées bleues,EX-LIBRIS manuscrit à l'encre brune sur chaque volume en bad de la page de titre : "DE WISMES" (Baron Gaëtan De Wismes), orné d'1 frontispice "portrait de Molière" gravé sur bois en noir et de 30 gravures hors-texte gravées sur bois en noir par Legrand, d'après François BOUCHER (peintre du ROI). (Lacroix, 343.), les pages 5,6,7,8 qui manquent à la pièce l'Amphitryon au Tome V ont été reliées à l'époque par erreur entre les pages 314 et 315 du Tome III, (LVI + 303) + 320 + 316 + 368 + 303 + 276 + 263 + 284 pages, 1770 Paris Lejay Editeur,
Comprend : I. [Avertissement (par M.-A. Joly). Addition à l'Avertissement. (Extraits des "Nouvelles nouvelles" et des "Diversités galantes" de J. Donneau de Visé.) Catalogue des critiques, qui ont été faites contre les comédies de Molière. Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière (par J.-L.-I. de La Serre). L'Étourdi. Le Dépit amoureux. Les Précieuses ridicules.] ; II. [Sganarelle, ou le Cocu imaginaire. Dom Garcie de Navarre. L'École des maris. Les Fascheux (avec le Prologue de P. Pellisson). L'École des femmes.] ; III. [La Critique de l'École des femmes. L'Inpromptu ["sic"] de Versailles. La Princesse d'Elide. Festes de Versailles en 1664. Le Mariage forcé. Dom Juan.] ; IV. [L'Amour médecin. Le Misantrope. Le Médecin malgré lui. Mélicerte. Pastorale comique. Le Sicilien. Le Tartuffe (avec la Préface et les placets).] ; V. [Amphitryon. L'Avare. George Dandin. Feste de Versailles en 1668 (par A. Félibien).] ; VI. [M. de Pourceaugnac Les Amans magnifiques. Le Bourgeois gentilhomme.] ; VII. [Les Fourberies de Scapin. Psiché. Les Femmes savantes.] ; VIII. [La Comtesse d'Escarbagnas. Le Malade imaginaire. Remerciement au Roi. La Gloire du Val-de-grâce. L'Ombre de Molière (par G. Marcoureau de Brécourt). Extraits de divers auteurs. Recueil de diverses pièces.].....Note(s) : Édition conforme à celle de 1739.....trés belle reliure....SUPERBES ILLUSTRATIONS DE BOUCHER.........en trés bel état malgré les légers défauts signalés (very good condition in spite of the small defects indicated).
Paris Le Goupy 1925-1926 -in-4- broché 2 volumes, brochés crème petit in-quarto Editeur (paperback in-4 Editor)(26,2 x 20,6 cm), dos et couverture imprimés en noir et bordeaux, 1ère de couverture orné d'ne vignette en couleurs ou en noir par DUFOUR, toutes tranches non-rognées, un des 1885 exemplaires sur alpha-vergé (n° de justification non renseigné), exemplaires ornés de 72 planches hors-texte en noir de gravures anciennes et ornements de Jean-Jules Dufour (bandeaux, lettrines, culs-de-lampe), 188 + 176 pages, 1925-1926 Paris Le Goupy Editeur,
Autre auteur : Lavedan, Henri (1859-1940). Préfacier ...... L'histoire du Pont-Neuf par un conservateur-adjoint du Musée Carnavalet. Edition Originale ....... en trés bon état (very good condition). en trés bon état
BOUCHER, François / LONDERSEEL, Assuerus van / BOUCHARDON, Edme.
Reference : LCS-17828
Ce recueil est du plus haut intérêt pour la connaissance des métiers et des costumes sous Louis XV. Certaines des gravures sont de véritables estampes de mode. Paris, chez Huguier, vers 1735. Plein veau havane marbré, dos à nerfs richement orné, pièces de titre en maroquin rouge, tranches jaspées. Reliure de l’époque. 318 x 238 mm.
12 planches in-4 gravées par Le Bas et Ravenet d’après les dessins de Boucher. 1. Gaigne Petit – 2. A Racomoder les vieux souflets – 3. Des noisettes au litron – 4. Balais Balais – 5. Charbon Charbon – 6. A. Ramonner du Haut en bas – 7. A la crème – 8. Des patez – 9. Chaudronier chaudronier – 10. Des radix des raves – 11. La Laittiere – 12. Au vinaigre. Ce recueil est du plus haut intérêt pour la connaissance des métiers et des costumes sous Louis XV. Certaines des gravures sont de véritables estampes de mode. « Le père de Boucher, dessinateur de broderies, fut le premier maître de l’enfant. Mais devant les dispositions dont il témoignait, il se décida à le faire travailler sous une direction plus autorisée que la sienne. François Boucher entra dans l’atelier de Le Moine, dont il imita bientôt la manière, dans Le jugement de Suzanne. Il n’y resta que fort peu de temps, quelques mois à peine, puis vint travailler chez le père du graveur L. Cars, lequel était éditeur. Mariette nous dit à ce sujet que Boucher y dessinait pour les planches de Cars et qu’il recevait pour ce travail 60 livres par mois, non compris le logement et la table. Ce fut ainsi qu’en 1721 il fit les illustrations de l’Histoire de France de Daniel, gravées par Baquoy. Entre temps, il avait commencé à s’adonner à l’art de la gravure et ses premiers essais décidèrent M. de Julienne à lui confier le soin de graver les dessins de Watteau. Le jeune artiste, encore très épris de son art, travaille à la fois le dessin, la gravure et la peinture. Les 24 livres par jour que M. de Julienne lui donnait pour prix de son travail lui faisaient la vie assez facile, mais Boucher voulait entrer à l’Académie et s’efforçait de perfectionner sa technique. En 1723, il emporta le premier prix au concours de l’Académie, avec Evilmerodach délivrant Joachim. Il avait à peine 20 ans. Mais il ne possédait pas encore la faveur dont il devait jouir plus tard et l’influence contraire du duc d’Antin ne lui permit pas d’obtenir son envoi à Rome comme pensionnaire du roi. Deux ans plus tard, néanmoins, ayant réuni quelque argent, et grâce à la générosité d’un tiers, il fit le voyage d’Italie en compagnie de Carle Van Loo. Il ne semble pas d’ailleurs que Boucher ait tiré grand enseignement de l’étude des écoles italiennes, tout au moins de celles de la grande époque classique. Ses goûts le portaient naturellement vers une forme plus badine et moins étudiée, et des maîtres transalpins c’est assurément Albani, Tiepolo et Baroccio qui produisirent avec lui la plus grande influence. Agréé à l’Académie, dès son retour d’Italie en 1731, il devint immédiatement le peintre mondain, le portraitiste, semi-officiel des femmes à la mode, épouses ou maîtresses des financiers et des mythologies galantes, telles Vénus commandant des armes à Vulcain pour Enée. Il illustra dans le même temps, Molière et La Fontaine » (Benezit). - [Relié avec] : Londerseel, Assuerus van. (Anvers 1572 – Rotterdam 1635). Probablement élève de Peter van des Borcht. On lui doit notamment des bois dans le goût de Virgile Solis pour des figures de la Bible. On lui doit également des gravures d’ornements pour les joailliers, ainsi que cette remarquable suite de masques et danseurs constituée de 9 estampes à pleine page, vers 1600, à ce jour non répertoriée. - [A la suite] : Actions glorieuses de S. A. S. Charles Duc de Lorraine, 13 planches. - [Puis] : Médailles du Règne de Louis XV (par Godonnesche ou Fleurimont), 56 planches. - [Et] : Recueil de différentes Charges dessigné à Rome par Carloo Vanloo, Peintre du Roy, c. 1737. 12 planches. Premier tirage de cette superbe suite de 12 portraits d’hommes en pied de nations étrangères, gravées par Le Bas et Ravenet d’après Van Loo. - 30 planches diverses et portraits de la Marquise du Châtelet et de Voltaire, gravés par Fessard, J. P. Le Bas, Frère, Surugue, Aveline, d’après Jeaurat, Boucher, Wouvermans, Téniers, Watteau, etc. - [Enfin] : Bouchardon. Études prises dans le bas peuple, ou les cris de Paris, 1737-1746. In-4. 60 planches. Ce rare recueil se compose de 5 séries de 12 planches chacune, représentant les types des différents marchands et ouvriers ambulants de Paris. Ces planches, dessinées par Bouchardon, ont été gravées à l’eau-forte par Caylus et terminées par Fessard. Il est très rare de trouver une suite complète des 60 estampes. Première suite, 1737. Et se vendent à Paris chez Fessard. 1 pte. tache sur 1 pl. Seconde suite, 1737. Chez Fessard. Troisième suite, 1738. Chez Fessard. Quatrième suite, 1742. Chez Fessard. Cinquième suite, 1746. A Paris chez Joullain. « Très beau recueil dû au comte de Caylus » (Cohen). La signature du Comte de Caylus, auquel est dû ce très beau recueil, se retrouve encore, à la pointe, sur certaines des planches. La cinquième suite figure ici avant les numéros, comme dans le célèbre exemplaire Charles Cousin, Lord Carnavon, cité par Cohen en maroquin de Hardy. L’illustration superbe, montée sur onglets, constitue la plus belle suite de dessins exécutée par Bouchardon. Mêlant dans ceux-ci élégance et réalisme, ce grand sculpteur, excelle dans la représentation d'attitudes très variées et très vivantes et reproduit ainsi d'une façon très personnelle et pittoresque le monde si multiforme des petits métiers ambulants de Paris au début du XVIIIe siècle : porteur d'eau, vendeur de moulins, écosseuse de pois, écureuse, lanterne magique, vendeur de lardoirs, vinaigre, vendeuse de cerneaux, de petits pâtés, de pommes cuites au four, porteur d'eau, crocheteur, cureur de puits, raccomodeur de seaux et de souflets, mort aux rats, peaux de lapin, lacets, cotterets, balais, café, barbier, vielleux, diseuse de bonne aventure, tonnelier, crieuse de vieux chapeaux etc... Des planches de très belle facture, très pures et à très grandes marges. Remarquable et unique ensemble de 192 gravures sur très grand papier fort des XVIIe et XVIIIe siècles vraisemblablement réunies et reliées vers 1750 pour le roi Louis XV ou son entourage proche comme l’atteste la fleur de lys surmontée de la couronne royale frappée en queue du dos. Les estampes coûtèrent 64 livres, prix considérable au XVIIIe siècle et la reliure 4 livres. De la bibliothèque Edouard Rahir avec ex-libris adjugé au prix de 6 000 F le 7 mai 1935 (n°732).
Édition originale de la plus grande rareté de ce précieux recueil d’architecture d’intérieur. S.l. [Paris], s.n. [Chéreau], s.d. [c. 1774-1775]. In-folio de 60 planches gravées, qq. rares rousseurs marginales. Plein maroquin rouge, triple filet doré encadrant les plats, dos à nerfs richement orné, pièce de titre noire, tranches dorées. Reliure de l’époque. 391 x 251 mm.
Édition originale de la plus grande rareté de ce précieux recueil d’architecture d’intérieur. Berlin 4054. « In-folio avec 60 planches publiées en 15 cahiers. Décorations intérieures de style Louis XVI » (Rahir Bibliothèque 337). “One of the major works of Boucher, son of the great painter. The plates show interior decoration at the height of the Louis XVI style (and the transition from Louis XV) which few works of the time had done.” L'architecte et graveur Juste-François Boucher (1736-1782), fils du célèbre peintre François Boucher, consacra ses premiers travaux essentiellement à la décoration sans pour autant négliger la serrurerie, le mobilier et l'orfèvrerie. Le Recueil de décorations intérieures en est le complément par la précision des détails. Le présent recueil est orné de 60 superbes planches hors texte d’architecture d’intérieur montrant des Décorations de Lambris, des Elévations d’alcoves, d’un Buffet à vaisselle, d’une Armoire, des Plans et Elévations d’une salle de Bain, d’une salle à manger avec un Buffet, d’une Chambre à coucher, de Bibliothèques aux côtés d’une Cheminée, etc. Superbe exemplaire de ce rarissime recueil recensant le mobilier du XVIIIe siècle, conservé dans sa reliure en maroquin rouge de l’époque, condition très rare pour cet ouvrage paru sous forme de cahiers. Aucun exemplaire de cette édition originale complet de ses 60 planches n’est apparu sur le marché public depuis le début des relevés en 1960. Un fac-similé de cet ouvrage a été édité en 1900.
à Paris, imprimerie-éditeur A. Quantin, 1880.
MANTZ Paul, François Boucher, Lemoyne et Natoire, à Paris, Imprimerie-éditeur A. Quantin, 1880. Exemplaire in-folio, demi-basane rouge, 440x320mm, 2ff titre, 2ff faux-titres avec justification de tirage, 194pages. Jolis bandeaux, culs-de-lampe et lettrines gravés. Index et table des gravures in fine. Nombreuses gravures hors-texte et dans le texte. Historien de l'art et critique, Paul Mantz (1821-1895) s'est plus particulièrement intéressé au XVIIIème siècle puis aux primitifs, a collaboré à différents journaux dont la Gazette des Beaux-Arts. L'ouvrage présente une étude de 3 peintres du XVVIII ème siècle : Charles Natoire (1700-1777), François Lemoine (1688-1737) et de manière plus exhaustive celle de François Boucher (1703-1770). Après une étude biographique, Paul Mantz revient sur les paysages et décorations de Boucher et les travaux du peintre pour le roi. Etat d'usage des plats, intérieur frais.