‎MANUSCRIT - Heraldique.‎
‎Le Blason.‎

‎Le blason. Théorie nouvelle de l'art héraldique, traité complet de la science des armoiries, d'après les régles et les figures du moyen-âge avec les dessins de l'auteur.‎

‎Paris, Maurice Darantière, 1933. 1720 g In-4 broché, couvertures rempliées, 421 pp., [1] ff., 850 figures.. Un des 25 exemplaires numérotés sur papier de hollande. ""Excellent traité théorique du blason"", Saffroy, 2408. Bel exemplaire. . (Catégories : Héraldique, )‎

‎Armorial général de l'Empire français, contenant les armes de sa majesté l?Empereur et roi, des princes de sa famille, des grands dignitaires, princes, ducs, comtes, barons, chevaliers et celles des villes de 1ere, 2eme et 3eme classe, avec les planches des ornements extérieurs, des signes intérieurs et l?explication des couleurs et des figures du blason, pour faciliter l?Étude de cette science‎

‎Paris, Chez l'auteur, Palais Royal, n° 29, 1812. 4840 g 2 tomes en un volume grand in-folio, demi maroquin rouge à petits coins, dentelle sur les plats, viii pp., 70 planches, 79 pp.; [1] ff., 70 planches, 94 pp.. Quelques planches signées de Turlure permettent de connaître le nom du graveur. Très rare. Saffroy, 3047. Manque de peau au bas d'un mors, plats frottés et tachés, réparations à deux feuillets, des rousseurs. . (Catégories : Héraldique, Empire, )‎

‎« Blason des fleurs et des fruits » - « Blason des arbres »‎

‎ La Nouvelle Revue française, n° 324, 1er février 1941, et Fontaine, n° 15, septembre 1941. 2 vol. (145 x 225 ; 155 x 235 mm), p. 258-384, catalogue de février 1941 des ouvrages parus ; 92 p. et [6] f. Brochés. Édition pré-originale en revue. Un des exemplaires sur pur fil (n° 22) pour La N.R.F. ‎

‎Réunion des deux « Blasons », poèmes-témoins de l'inflexion de stratégie éditoriale opéré par le poète : « Blason des fleurs et des fruits » paraît en février 1941 dans le Paris occupé au sein de La Nouvelle Revue française relancée en décembre 1940 par Pierre Drieu La Rochelle qu'ont imposé les autorités d'occupation en remplacement de Jean Paulhan ; « Blason des arbres » est publié en septembre de la même année à Alger dans Fontaine aux bons soins de Max-Pol Fouchet qui s'enthousiasme auprès de Louis Parrot le 21 août : « Grâce à vous, Fontaine va publier un admirable poème de Paul Éluard. Ce «Blason des arbres» me paraît supérieur à ce qui parut dans la «nouvelle» NRF. Il y a des moments bouleversants de «transparence». Permettez-moi de vous remercier mille fois, et de vous dire ma joie. » (Scheler, p. 76-77) Le dédicataire du « Blason des fleurs et des fruits », Jean Paulhan, dont le nom avait été biffé des épreuves et rétabli à la demande instante du poète, lui rappelait quant à lui cette publication contestable à la Libération : « à ce moment-là tu collaborais - comme le faisaient Gide et Valéry, comme Mauriac se déclarait prêt à le faire - à la revue. Tu as changé ensuite, comme eux - mais non pas, je pense, pour la même raison. Ç'a dû être, pour Gide et Valéry, les protestations de leurs amis ; pour toi, l'entrée en guerre de la Russie » (Correspondance, p. 185). Les deux « Blasons » au tournant de 1941 pour Éluard. ‎

‎Album composite de différents traités du Blason.‎

‎ In-fol., rel. post. (XIXe) demi-basane marbrée à coins, dos orné romantique, tranches rouges. ‎

‎1) Introduction à la science du blason, s.l.n.d. (vers 1720), 8 planches gravées d'environ 60 blasons chaque, représentant les meubles et couleurs héraldiques dont plus de 400 armoiries de familles nobles, françaises principalement. 2) [Blason ou art héraldique], s.l.n.d. (vers 1720), 8 pl. gravées au bur.: nom des couronnes, des casques et ordres militaires, armes des états européens et des provinces françaises, allemandes, espagnoles, italiennes, suisses, néerlandaises. 3) Livre du blason contenant une ample explication des métaux et couleurs avec leurs significations…, s.d. (XVIIe), soit 16 cuivres de texte et de blasons (titre et ff. 5, 13, 19, 20 et 21 manquants) répartis sur 4 planches in-folio. 4) Méthode facile pour apprendre le blason, où l’on a joint les armes accollées des princes et princesses, ducs et duchesses…, par Jacques Chevillard, à Paris, chez Vanheck (1749), attribuée aussi à Vaneck et Gallays, avec 72 cuivres (titre compris), le tout frappé sur 18 planches. Ex-libris Docteur Eugène Olivier. Dos et coins frottés, bel exemplaire au demeurant. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €) ‎

‎Gouache originale du Blason des Kostrowitzky‎

‎ Gouache sur papier vergé contre-collé sur carton fort. Coins et bords frottés. EXCEPTIONNEL BLASON DE LA FAMILLE KOSTROWITZKY PROVENANT DE LA COLLECTION GUILLAUME & JACQUELINE APOLLINAIRE. De son vrai nom Guillaume Albert Vladimir Alexandre Apollinaire de Kostrowitzky, Guillaume Apollinaire est né Rome le 26 août 1880, de l'union adultère d'une mère fantasque, née dans l'Empire russe dans une famille de la petite noblesse polonaise, et d'un pèreofficier italien, Francesco Flugi d'Aspermont. Maria Kostrowicka Dabrowa, descendante d'une branche collatérale qui donna un historique précis des ancêtres deGuillaume Apollinaire depuis presque trois cents ans, explique ainsi la légende autour du blason : "La famille Kostrowicki tire son origine et son nom du hameau deKostrowicze situé à vingt kilomètres de Slonim et à cent vingt kilomètres deGrodno. Selon la tradition orale, elle fut anoblie au temps du roi Jagellon. Sonblason"Baybousa"appelé aussi" La Flèche", représentait une flècheentourée d'un serpent à la tête tournée vers le bas avec trois champignons au-dessous. D'après la vieille légende, notre aïeul tua d'une flèche le serpent quiallait mordre un prince lithuanien. Celui-ci, en récompense de sa vie sauve,attribua ce blason à notre ancêtre qui s'appelait alors Hrybun-Bakunowicz(Hrybun veut dire « champignon » en blanc russien)." (Maria Kostrowicka-Dabrowa. Les ancêtres maternels d'Apollinaire inRevue - le flâneur des deux rives, n°1 - mars 1954) Cette grande gouache sur papier contre-collée sur carton fort, est reproduite de l'Album Apollinaire de la Pleïade, page 11. ‎