Jean-Henri Decker | Bâle 1801 | 9.2 x 16.2 cm | 2 volumes reliés
Reference : 88875
Edition de la traduction de L. C. de Salse, qui reprend de la traduction de George Deyverdun la contraction du titre original en Werther. Impression sur papier vergé. Reliure en demi veau glacé vert émeraude. Dos lisse richement orné de fers et roulettes. Titre et tomaison dorés. Légères traces de frottement. Papier frais, quelques piqûres dans le tome 2. Bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Maestricht, [et] Paris, Jean-Edme Dufour & Philippe Roux, [et] Humblot, 1776 [et] 1767. 2 parties en un volume grand in-12 de [2]-VIII-201-[3]-[2]-230-[2] [et] [8]-104-107 pages, demi-basane brune, dos lisse orné de filets, fleurons, semi d'étoiles dorés, mors et charnières délicats, plats de papier marbré XXe.
2 très jolies vignettes de titre gravées par D. Chodowiecki pour Werther. Edition originale de la traduction française de Georges Deveyrdun, lausannois, ami de Gibbon, qui fut, en 1761, précepteur du petit-fils du margrave de Brandebourg-Schwedt, de la famille royale de Prusse. Il occupe cette charge jusque vers 1765, époque à laquelle un amour malheureux le conduit à quitter l'Allemagne. Le texte de Werther est suivi des "Observations du Traducteur sur Werther, et sur les Ecrits publiés à l'occasion de cet Ouvrage", qui sont en quelque sorte l'une des premières critiques de Goethe parues à l'étranger. Edition originale de l'ouvrage de Mme Riccoboni. "« Pauvre Piennes ! Il va faire une grande perte, j'étais son amie, je serai sa femme, quelle différence ! » Dans ce roman épistolaire, plusieurs femmes échangent en toute liberté leurs vues sur l'amour et le mariage. Passionnées souvent, complices toujours, elles démêlent, avec acuité mais sans cynisme, les méandres de l'amour dans le labyrinthe du coeur. Inconstants, ambitieux, menteurs, les hommes font l'objet de toutes leurs préoccupations. L'art de Madame Riccoboni est des plus subtils : par un savant jeu littéraire, l'héroïne trahit à un ami masculin ces confidences entre femmes, qui ne nous sont connues qu'à travers ce miroir. Il ne s'agit cependant pas d'un vain jeu ; l'auteur, par le biais de cette correspondance, développe des conceptions résolument modernes qui viennent s'inscrire dans le grand débat des Lumières sur la condition féminine." Ed. Desjonquères, 2005.
Maestricht, Jean-Edme Dufour & Philippe Roux, 1776. 2 parties en un volume grand in-12 de [2]-VIII-201-[3]-[2]-230-[2] pages, cartonnage d'attente rose, étiquette de titre en papier blanc (petit manque de papier aux mors), partie supérieure de la page de titre découpée, nom de propriétaire sur la page 1, inscrit à la plume: "R. Turetiny, née Trembley", probablement Renée Trembley, née en 1729 à Genève, qui épousa en 1749 Auguste Turretin.
2 très jolies vignettes de titre gravées par D. Chodowiecki. Edition originale de la traduction française de Georges Deveyrdun, lausannois, ami de Gibbon, qui fut, en 1761, précepteur du petit-fils du margrave de Brandebourg-Schwedt, de la famille royale de Prusse. Il occupe cette charge jusque vers 1765, époque à laquelle un amour malheureux le conduit à quitter l'Allemagne. Il s'établit plus tard dans sa ville natale, et c'est là qu'il va fonder une Société littéraire en 1772 : "Plusieurs étrangers retenus à Lausanne par les agréments de la société se réunissaient à des Lausannois, amis des Lettres, et entraient dans la Société Littéraire que Mr Deyverdun, l'ami de Gibbon, fondée à Lausanne en 1772. Au nombre de ces étrangers on compte des noms connus dans les lettres. Ainsi : l'abbé Raynal, Mr Servan, avocat-général au Parlement de Grenoble, [...] ; MM. Hope, Smith, le docteur Gillies, le prince Golitzin, de Marignan, Varnède, le comte d'Hoyen." (A. Verdeil, Histoire du Canton de Vaud, Lausanne, 1849-1852, t. III). Deveyrdun a donc contribué à la formation de ce milieu libéral et cosmopolite où l'on retrouvera les Crousaz, les Constant de Rebecque, Necker, Mme de Charrière, etc. Le texte de Werther est suivi des "Observations du Traducteur sur Werther, et sur les Ecrits publiés à l'occasion de cet Ouvrage", qui sont en quelque sorte l'une des premières critiques de Goethe parues à l'étranger.
Paris. Demonville. An XII - 1804. 2 parties en 1 volume in-8 (140 x 219mm) cartonnage bradel, pièce de titre brune au dos, XXVI, (2), 290, (2) pages, portrait de Werther par Noël d'après Boilly en frontispice. Ex-libris d'Armand-Gustave Houbigant avec la devise Nocturna versate manu versate diurat. Edition originale de cette traduction. reliure un peu abîmée, qq. rousseurs, signature manuscrite en partie effacée sur une garde mais assez bon exemplaire.
Paris, Editions Huguin, 1803 (An XI). 20,5 x 12,5 cm, 210 et 254 pp. Deux volumes reliés demi basane noire, dos à nerfs, caisoons ornés, titres dorés. Reliures légèrement usées, quelques rousseurs sinon bon exemplaires. Traduction française du texte de Goethe, dite interlinéaire où chaque ligne de texte en allemand est accompagnée à la ligne suivante de la traduction française.
Paris Demonville 1804 1 vol. relié in-12, veau fauve raciné, dos lisse avec ornementations et titre dorés, tranches jaunes, XXVI + 290 pp. Edition originale de cette nouvelle traduction (la première remonte à 1776), témoignant de la vogue européenne pour ce roman du Sturm und Drang qui lance le romantisme. Beau portrait en frontispice, gravé par Noël d'après Boilly. Pages de gardes brunies en bordure et reliure d'époque un peu frottée.