Gallimard, Paris 1989, 12,5x20cm, broché.
Reference : 83691
Edition originale, un des 25 exemplaires numérotés sur pur fil, seuls grands papiers. Double ex-libris encollé sur la première garde. Très bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Le Feu Follet
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Paris, Auguste Durand, 1848 2 tomes en 1 vol. in-12, XXXIV-403 et XXVIII-722 pp., table générale, demi-veau bleu, dos lisse, filets et pointillés dorés (rel. de l'époque). Bon exemplaire.
Ce recueil non officiel est devenu peu courant, et il est précieux par l'ensemble des documents réunis et la position de son compilateur : en effet, l'avocat Pierre-Emile Carrey (1820-1880) fut secrétaire du Gouvernement provisoire. Ce recueil non officiel est devenu peu courant, et il est précieux par l'ensemble des documents réunis et la position de son compilateur : en effet, l'avocat Pierre-Emile Carrey (1820-1880) fut secrétaire du Gouvernement provisoire. - - LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Panckoucke. 1848. In-Folio. En feuillets. Etat d'usage, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 4 pages en feuillets - textes sur trois colonnes - livré sans couverture.. . . . Classification Dewey : 70.1-Journaux
A.Grün rédacteur en chef - Ernest Panckoucke directeur gérant - Sommaire : Paris le 24 février 1848 au nom du peuple français proclamation du gouvernement provisoire au peuple français - au nom du peuple fraçais à la garde nationale - au nom du peuple français le gouvernement provisoire arrête - chambre des députés présidence de M.Sauzet - Paris le 25 février République Française proclamation du gouvernement provisoire aux citoyens de Paris - république française - administration des postes - dépêches télégraphiques du 25 février - Le Moniteur universel est un journal français fondé à Paris en 1789 par Charles-Joseph Panckoucke et disparu le 30 juin 1901. Journal de propagande qui fut longtemps l’organe officiel du gouvernement français, chargé notamment de la transcription des débats parlementaires. Classification Dewey : 70.1-Journaux
Au bureau du journal. 4 mars 1848. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages environ illustrées de nombreuses gravures en noir et blanc - Paginées de 2 à 16. . . . Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon
SOMMAIRE : Histoire de la semaine. Inauguration de la révolution de 1848 sur la place de la Bastille, le 27 Jévrier. — Constitution du gouvernement provisoire.—Principales mesures du gouvernement provisoire. — Principales mesures prises par les ministres provisoires. — Les ministres de la République française. Dix Portraits. — Le Misogyne. Troisième partie. Conte’, par M. Albert Aubert. (Suite.) — Courrier de Paris. Défense d'une barricade; le peuple promenant le trône de Louis-Philippe ; justice sommaire du peuple à l’égard des voleurs; M. de Lamartine haran-guant le peuple à VH ôtel- de -Ville. — Le général Garnison. — De la Magie et du Magnétisme en Orient. Santon, Abyssinien au Kaire ; derwische, tourneur a Constantinople; Gaèidi, (psylle égyptien), charmeur de serpents au Kaire; scène de magnétisme en Afrique. — Bulletin bibliographique. — Annonces. — Habillement, équipement, armement de la garde nationale mobile. Une Gravure. — Atlas de l’Aigérie. — Le Peuple. — Rebus. Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon
Paris Victor Lecou 1850. In-8 371pp. Demi chagrin anthracite, dos à nerfs rehaussés d'un filet perlé, reliure de l'époque. Quelques pâles rousseurs par endroits. Bel exemplaire, complet et bien relié.
Physionomie générale du gouvernement provisoire, les banquets, le banquet du 12e arrondissement, le 24 février, adhésions au gouvernement provisoire, clémence du gouvernement provisoire, commission du Luxembourg, Lamartine, Ledru-Rollin, Marrast, le 17 mars, le 16 avril, actes généraux, élections.
[Imprimerie de J.-A. Quillot] - Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD
Reference : 33946
(1848)
1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".