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Hugues REBELL
Baisers d'ennemis
L. Sauvaitre | Paris 1892 | 13 x 20.50 cm | broché
Reference : 82908
Edition originale rare. Dos fendillé et restauré, un manque en angle supérieur droit du premier plat, petits manques angulaires sur les plats, agréable état intérieur. Rare mais en l'état - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Baisers d’ennemis.
Paris, L. Sauvaitre, 1892, in-12, broché, 322 p. Édition originale de ce roman dédié à Henry Céard. L’ouvrage est suivi d’un appendice, Babillages de la sortie, et de notes.
Phone number : 33 01 48 04 82 15
Baisers d'ennemis
Alteredit Dos carré collé 2006 In-8 (14,6 x 20,1 cm), dos carré collé, 303 pages ; quelques marques d'usage sur les plats, par ailleurs très bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Baisers d'ennemis.
Paris, Editions Sauvaitre, 1892. Un volume, in-8, 322-[IX] pp. Demi-maroquin bleu nuit à coins, cinq nerfs au dos, tête dorée, étui bordé du même maroquin (couvertures et dos conservés). Reliure signée Paule AMELINE.
ÉDITION ORIGINALE rare de ce roman décadent. UN DES 30 EXEMPLAIRES NUMÉROTÉS SUR PAPIER DE HOLLANDE, seul grand papier."À présent que le livre est achevé, je revois la vie monotone de ce pauvre Maxime, je me reproche d'avoir pris un peu trop au sérieux un si piètre héros," commente Rebell dans sa postface au roman. "Je hais tellement les grossiers satisfaits, ces rieurs qui remplissent le monde de leurs éclats et de leur lourde gaieté, que je suis tombé dans l'excès contraire, les larmes et les lamentations inutiles. [...] Mais nos écrivains ont tellement travesti l'amour (que dis-je ? notre sensualité) qu'il m'a paru n'être pas inutile de l'étudier une fois, sans masque, dans sa simple, triste et vulgaire nudité. J'aurais pu, il est vrai, à ces deux exemples empruntés au début et au terme des vies sentimentales en joindre de nombreux, mais cela eut allongé le livre sans y ajouter une idée. Il y a d'étonnantes parentés, sinon entre les amantes, du moins entre les amours. Monter aux échelles de soie et grimper à un escalier de taverne est identique, et il s'exhale des alcoves riches et des grabats de misérables la même odeur de ruine et de mélancolie." (pp. I-III)Très bel exemplaire. Photos sur demande.
