Julliard | Paris 1965 | 15.50 x 24 cm | broché
Reference : 78720
Edition originale sur papier courant. Bel exemplaire, iconographie. Envoi autographe daté de 1965 et signé de Serge Lifar à Maryelle Krempff qui acheva sa brillante carrière de danseuse comme danseuse étoile de l'Opéra Comique avant que d'enseigner la danse auConservatoire National de région de Saint-Maur des Fossés de 1969 à 1989 : "Pour Maryelle Krempff, ma vie pour la danse. Très cordialement." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Librairie Le Feu Follet – Edition-Originale.com
Edition-Originale.com
31 rue Henri Barbusse
75005 Paris
France
01 56 08 08 85
Nos ouvrages sont complets et en bon état, sauf indications contraires. Nos prix sont nets. A partir de 30 €, les envois se font en recommandé avec A. R. Le port est à la charge du destinataire. Les réservations par téléphone ne pourront dépasser 72 h.
<meta charset="utf-8"><span data-mce-fragment="1">Depuis sa mort en 1968, l'œuvre et l'influence de Marcel Duchamp, qu'André Breton qualifiait d'" homme le plus intelligent du XXe siècle ", n'ont cessé de s'imposer dans le paysage de l'art contemporain. Du futurisme au cubisme, de Dada au surréalisme, l'art de Duchamp accompagne les grandes aventures esthétiques du XXe siècle. Mais c'est surtout à partir des années 60 que son œuvre s'impose comme une source incontestable pour les jeunes générations. On a beaucoup écrit sur Marcel Duchamp, on a beaucoup glosé sur ses œuvres, on s'est très peu intéressé à sa vie. Henri-Pierre Roché a écrit que " la plus belle œuvre de M. D. [était] l'emploi de son temps ". Cette biographie développe cette hypothèse, avec la forte conviction que l'examen circonstancié de la vie de Marcel Duchamp fournit un accès privilégié à son œuvre. Au travers de cette vie faite d'une multitude de rencontres, de secrets et de rebondissements, nous assistons à l'élaboration d'un véritable art de vivre. Le mythe, initié par Breton, d'un Duchamp abandonnant la partie de l'art " pour une partie d'échecs interminable " est là pour corroborer l'aura d'un artiste dont la vie et les œuvres restent toutes entières dédiées au paradoxe et à l'élégance.</span> Paris, 2023 Flammarion 608 p., broché. 15,2 x 24
Neuf
Catalogue d'exposition du Musée d'Orsay, sous la direction de Claire BERNARDI.
Reference : 26944
ISBN : 9782711879304
<div data-mce-fragment="1" class="chapo"><div data-mce-fragment="1" class="field field--name-field-article-header field--type-text-long field--label-visually_hidden"><div data-mce-fragment="1" class="field__item"><p data-mce-fragment="1">La réception de l’œuvre du peintre norvégien Edvard Munch (1863-1944) s’est rapidement cristallisée autour d’une seule image, <em data-mce-fragment="1">Le Cri</em>. Son élévation au rang d’icone en a fait une sorte d’écran derrière lequel s’efface l’œuvre qui l’a permise et lui donne son sens. Cet ouvrage, catalogue de l'exposition«<a data-mce-fragment="1" href="https://www.musee-orsay.fr/fr/agenda/expositions/edvard-munch-un-poeme-de-vie-damour-et-de-mort" class="default-link" data-mce-href="https://www.musee-orsay.fr/fr/agenda/expositions/edvard-munch-un-poeme-de-vie-damour-et-de-mort">Edvard Munch. Un poème de vie, d’amour et de mort</a>» présentée au musée d'Orsay du 20 septembre 2022 au 22 janvier 2023, a pour ambition de montrer l’ampleur de la production artistique de Munch, en explorant son itinéraire – soixante ans de création – dans toute sa durée et sa complexité.</p></div></div></div><div data-mce-fragment="1" class="content"><div data-mce-fragment="1" class="field field--name-field-article-body field--type-entity-reference-revisions field--label-visually_hidden"><div data-mce-fragment="1" class="field__items"><div data-mce-fragment="1" class="field__item"><div data-mce-fragment="1" class="paragraph paragraph--type--text paragraph--view-mode--default"><div data-mce-fragment="1" class="field field--name-field-text-body field--type-text-long field--label-visually_hidden"><div data-mce-fragment="1" class="field__item"><p data-mce-fragment="1">La peinture de Munch occupe une place singulière dans la modernité artistique, plongeant ses racines dans le XIX<sup data-mce-fragment="1">e</sup> siècle pour s’inscrire pleinement dans le suivant. Sa production tout entière, des années 1880 à sa mort, fut, en effet, innervée par une vision du monde marquée par une puissante dimension symboliste. Plutôt que d’opposer un symbolisme fin de siècle à un expressionnisme qui ancrerait Munch dans la scène moderne, le catalogue, sous la direction de Claire Bernardi, propose une lecture globale de son travail mettant en avant sa grande cohérence.</p><p data-mce-fragment="1">La notion de cycle est en cela essentielle pour la compréhension de sa peinture. Fasciné par le concept de métabolisme, Munch exprime en effet fréquemment l’idée que l’humanité et la nature sont inexorablement unies dans le cycle de la vie, de la mort et de la renaissance. Elle participe aussi de la construction même de ses toiles, et permet de mettre au jour un processus créatif singulier, qui le conduit à réaliser de nombreuses déclinaisons d’un même motif. Il multiplie les versions d’un même sujet, passant sans rupture d’un médium à un autre. Nous sommes donc invités à revoir dans son ensemble un œuvre à la fois foncièrement cohérent, voire obsessionnel, et en même temps constamment renouvelé au sens propre.</p></div></div></div></div></div></div></div> Paris, 2022 RMN 256 p., nombreuses illustrations couleur, cartonnage éditeur. 24,5 x 30,5
Neuf
<p>Traduit pour la première fois en France, La Vie dans un château médiéval est un classique qui a initié des millions de lecteurs anglophones aux secrets du monde médiéval. Et qui a profondément inspiré George R. R. Martin, le créateur de A Game of Thrones. À partir du remarquable château de Chepstow, à la frontière de l’Angleterre et du Pays de Galles, mais aussi des plus admirables châteaux forts français, les grands médiévistes Frances et Joseph Gies nous offrent un portrait saisissant de ce qu’était la vie quotidienne de l’époque et nous montrent l’importance du rôle qu’y jouait le château fort. Les Gies ont le don de rendre à la vie les hommes et les femmes qui vivaient dans et autour du château, le seigneur et la dame, les chevaliers et les soldats, les serviteurs et les paysans, les troubadours et les jongleurs. Nous y découvrons comment les seigneurs et les serfs se vêtaient et se lavaient, ce qu’ils buvaient et ce qu’ils mangeaient, quels étaient leurs loisirs et leurs occupations, leurs codes de conduite sexuelle, leurs principes d’ordre et de solidarité. Nous y apprenons le rôle essentiel que jouait l’honneur dans la culture médiévale, le processus d’initiation auquel se soumettaient les chevaliers, l’importance des fêtes religieuses et des liens personnels, et pourquoi le château fort était autant un rempart contre les violences qu’une source de conflit et un enjeu de pouvoir. Remarquablement documenté, et aussi plaisant à lire qu’un roman, La Vie dans un château médiéval est l’ouvrage de référence pour quiconque a envie de se plonger, l’espace de quelques heures, dans cette époque fascinante. </p> Paris , 2018 Belles Lettres 286 p., 61 illustrations N/B, broché. 13,5 x 21
Neuf
<meta charset="utf-8"><span data-mce-fragment="1">Après Trois jours dans la vie de Paul Cézanne et Trois nuits dans la vie de Berthe Morisot, Mika Biermann revient à la peinture. Dans cette merveille de petit ouvrage, l'écrivain s'empare cette fois-ci de la figure de Vincent Van Gogh.</span><br data-mce-fragment="1"><span data-mce-fragment="1">Trois moments de la vie de Vincent sont marqués par</span><span id="js-showResume" class="showResume" data-mce-fragment="1">trois femmes : Saskia, la petite gardeuse d'oie, pendant son enfance ; Agostina, sa compagne éphémère, modèle pour les peintres « de la Butte », patronne du café le Tambourin et qui le quitte ce jour-là ; et enfin Gabrielle, accorte paysanne d'Auvers-sur-Oise et dont le chien vient d'être trucidé par des canailles, le jour même de la mort du peintre.<br data-mce-fragment="1">Évitant le piège hagiographique, Mika Biermann, renvoie ici Van Gogh à l'arrière-plan des seconds rôles pour mettre en majesté ces femmes de rencontre.</span> Toulouse, 2024 Anacharsis 64 p., broché. 20 X 12,5
Neuf
<meta charset="utf-8"><span data-mce-fragment="1">Azzedine Alaïa occupe une place unique dans notre présent : décrit comme le dernier des grands couturiers, il a changé la mode, transformé l'expérience du corps des femmes. Couturier venu d'ailleurs, il a ouvert la mode au monde, et sa mode a conquis le monde. Parti le 18 novembre 2017, c'était un souverain, à la personnalité subtile et puissante qui sut s'entourer d'artistes, de créateurs, auteurs, musiciens, danseurs, chorégraphes, actrices et acteurs, superstars et anonymes ; un homme digne, qui maintient à Paris sa place historique de coeur du monde.</span><br data-mce-fragment="1"><span data-mce-fragment="1">Il rassembla autour de lui une communauté sans pareille. Tous les jours et toutes les nuits, il vivait en public, avec cette communauté, rassemblée auprès de lui au 7, rue de Moussy. Un jour de 2012, Donatien Grau y fut invité. Pendant les années qui suivirent, il fut parmi les mais les plus proches du couturier, auquel il promit un jour d'écrire un livre sur lui. Cet ouvrage est l'accomplissement de sa promesse.</span><br data-mce-fragment="1"><span data-mce-fragment="1">Donatien Grau écrit avec la vie d'Alaïa "non pas un tombeau, non pas un livre de deuil, mais un livre de vie, où, par-delà la mort [...], la Vie Alaïa apparaitrait dans toutes ses lumières, publiques ou privées, poétiques ou intimes."</span> Arles, 2020 Actes sud 192 p., broché. 14,5 x 24
Neuf