Les éditions nationales | Paris 1935 | 17 x 22.50 cm | relié
Reference : 76177
Edition illustrée d'une aquarelle et de dessins de Gus Bofa, un des 100 exemplaires numérotés sur B.F.K. de Rives. Reliure en plein maroquin rouge, dos à cinq nerfs sertis de filets noirs, gardes et contreplats de papier à effet moiré, couvertures et dos conservés, tête dorée, coins supérieurs légèrement émoussés sans gravité. Deux petits frottements sur deux nerfs. Bel exemplaire agréablement établi. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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, , 1751-1753. Manuscrit in-4 à 28 lignes par page de (498) pp., table, veau granité, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge, tranches rouges (reliure de l'époque).
Rare recueil manuscrit de dix parodies d'opéra parmi les plus représentées au Théâtre de la Comédie Italienne entre 1751 et 1753, à l'époque où le couple Favart entama son règne sur le genre - jusqu’à ce que Charles-Simon devienne directeur de l’Opéra-Comique en 1758 - avec la troupe d'acteurs dont les noms sont indiqués dans chaque distribution : Madame (Justine) Favart, Dehesse, Astrandi, Rochard, Carlin, Chauville etc. « Les réécritures comiques d’opéra, représentées sur les théâtres de la foire et des boulevards comme à la Comédie-Italienne de Paris et sur les théâtres privés, connaissent une vogue étonnante au siècle des Lumières. Parodier l’opéra, ce n’est pas écrire contre l’opéra, mais plutôt participer à sa promotion en jouant le double jeu de la critique et du divertissement. Les parodistes comme Fuzelier, Favart, Romagnesi ou Despréaux, manient autant l’art des vaudevilles que celui du pastiche, et possèdent une riche culture littéraire et musicale. Des opéras de Lully à ceux de Gluck, rares sont les œuvres à succès qui n’ont pas été parodiées ». Contient : 1. Favart (Charles-Simon). Raton en Rosette, ou la vengeance inutile. Parodie de Titon et l'aurore représentée pour la première fois sur le Théâtre de la Comédie Italienne le 28 mars 1753 (66 pp.).2. Gondot (Pierre Thomas). Les Fêtes des environs de Paris. Parodie des fêtes grecques et romaines représentée pour la première fois sur le Théâtre de la Comédie Italienne le 4 juillet 1753 (54 pp.).3. Renout (Jean-Julien-Constantin). Les Couronnes, ou le Berger timide. Pastorale, parodie de la feste de l'hymen ; deuxième entrée des Amours de Tempé (47 pp.).4. Favart (Charles-Simon). Tircis et Doristhée. Pastorale, parodie d'Acis et Galatée représentée pour la première fois sur le Théâtre Italien le 4 septembre 1752 (53 pp.).5. Favart (Charles-Simon). Les Amours de Bastien et Bastienne, parodie du Devin de village représentée pour la première fois sur le Théâtre de la Comédie Italienne le 4 aoust 1753 (32 pp.).6. Favart (Charles-Simon). Les Indes dansantes, parodie des Indes galantes jouées pour la première fois sur le Théâtre de la Comédie Italienne le 26 juillet 1751 (61 pp.).7. Favart (Charles-Simon). Les Amours champêtres, Parodie de l'acte des Sauvages, joués pour la première fois sur le Théâtre de la Comédie Italienne le 1751 (37 pp.).8. Favart (Charles-Simon). Fanfale, parodie d'Homphale représenté pour la première fois sur le Théâtre de la Comédie Italienne le huit mars 1752 (46 pp.).9. Gondot (Pierre Thomas). Les Bergers de qualité. Parodie de Daphnis et Chloé représenté pour la première fois sur le Théâtre de la Comédie Italienne le 1753 (40 pp.).10. Favart (Charles-Simon). Les Amants inquiets Parodie de Thetis et Pelée joués pour la première fois sur le Théâtre de la Comédie Italienne le 1751 (52 pp.)« Le couple Favart marque durablement le genre de la parodie dramatique d’opéra jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, puisque des parodies comme Les Amours de Bastien et Bastienne ou encore Raton et Rosette sont représentées bien après la Révolution. Dès les années 1750, Favart est perçu comme le maître de la parodie dramatique. Le duo Favart est une machine bien rodée : que Charles-Simon compose la totalité de la pièce ou ne soit qu’un correcteur au-dessus de l’épaule de son épouse, il a toujours une part au spectacle. Il compose seul ou en collaboration onze parodies entre 1751 et 1762 ; mais il supervise aussi la création des parodies d’opéra de son épouse, écrites à plusieurs mains. Son épouse est l’attraction de la Comédie-Italienne. Elle se produit dans toutes les parodies créées sur ce théâtre en l’espace de dix ans (trente de 1751 à 1762) ; les parodistes composent, à cette époque, pour ses talents. « Le rôle de Tircis est rendu dans la plus grande perfection par Mlle Favart, qui est la plus aimable chanteuse de vaudevilles que nous ayons eue : elle est aussi charmante dans son travestissement que dans son état naturel : qu’elle soit nymphe, bergère ou savoyarde, qu’elle danse, qu’elle chante, sous quelque forme qu’elle se présente, elle est sûre de plaire ». Les Amours de Bastien et Bastienne, parodie du Devin du village de Rousseau par Mme Favart et Harny de Guerville synthétise bien l’omniprésence des Favart et surtout les innovations qu’ils proposent sur la scène italienne à partir des parodies dramatiques d’opéra. Favart s’impose comme le père de la parodie ; Harny de Guerville écrit ainsi dans l’avertissement qui précède l’édition de son opéra-comique Le Petit-Maître en province : « On me pardonnera aisément de citer par préférence M. Favart. Il est permis à un écolier d’avoir quelque prédilection pour son maître. C’est lui qui m’a donné les premières leçons de l’art dramatique. Bastien a été fait sous ses yeux. » Mme Favart impose sa réforme du costume : « Ce fut elle qui, la première, observa le costume ; elle osa sacrifier les agréments de la figure à la vérité des caractères […] Dans Bastienne, elle mit un habit de laine, tel que les villageoises le portent ; une chevelure plate, une simple croix, les bras nus et des sabots. » L’hégémonie des parodies des Favart s’observe, en outre, par leur reprise outre-Rhin et en province » (Pauline Beaucé).Manuscrit du XVIIIe siècle, d'une belle écriture, très lisible. Ex-libris manuscrit ancien à l'encre brune "Mr Teilhard de Rochecharles" (Pierre Teillard de Rochecharles ? lieutenant général du bailliage d'Andelat, auteur de La Haute-Auvergne sous l'Ancien régime).Pauline Beaucé, Parodies d’opéra au siècle des Lumières : Évolution d’un genre comique. Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2013.
Sans lieu, ni mention de fabricant (fabrication artisanale sur mesure), sans date (circa début XXe siècle). Dimensions du théâtre seul : 100,5 x 64,5 x 41 cm ; théâtre monté avec tissu : 210 x 175 x 41 cm. Cet exceptionnel « jouet », entièrement démontable, n’est pas un simple théâtre de marionnettes pour enfants. Il a été spécialement conçu pour s’adapter aux fonds de scènes et coulisses de la série du Grand Théâtre Nouveau éditée par l’Imagerie Pellerin quelques années plus tôt. Un soin particulier a été apporté aux détails ornementaux, inspirés des plus beaux théâtres à l’italienne : des loges ont été placées sur les côtés et de multiples décors en métal doré entourent la scène… qui est éclairée par plusieurs petites ampoules ! En effet, le théâtre est électrifié afin que les spectateurs puissent pleinement profiter de la représentation. Sur le côté, une manivelle permet de faire monter et descendre un rideau peint sur une toile. Afin d’encadrer le théâtre et de dissimuler les manipulateurs des figurines, on peut suspendre un grand tissu en velours jaune orné de pans symétriques de toile rouge (faisant office de rideaux), qu’un système de cordes permet de plisser. L’ensemble comporte également : - 12 sujets (en plâtre, cire, papier mâché, textile et bois), que l’on suspend grâce à un fil de fer (un cuisinier, un lion, 2 pingouins, un ramoneur, un Père Noël, un personnage féminin et 5 masculins). - 3 livres miniatures (accessoires de scène)- une dizaine de décors différents (fonds et coulisses), découpés et montés sur cartons - 10 ampoules d’origine - Un petit projecteur pour l’arrière de la scène - des programmes et tapuscrits originaux pour deux spectacles présentés au milieu des années 20 : La Revue Déchaînée et Nuit Blanche. Ces charmant « programmes officiels », empreints d’humour et agréablement illustrés à la main, en couleurs, par un certain « Pigemoiça », ont été rédigés par Luap Noterbel et Lechim Noterbel, soit Paul et Michel Lebreton. Il s’agit probablement des heureux propriétaires du théâtre. Fils d’un fabricant de chaînes, Lebreton (& Usdin), ils vantent les mérites de l’entreprise paternelle dans la partie « réclame » de leur publication.
L’électricité ne fonctionne plus et l’ensemble comporte quelques défauts, tout à fait mineurs au regard de l’exceptionnel état de conservation de ce monumental petit théâtre pour enfants. Pièce unique ! - Clients Livre Rare Book : Les frais postaux indiqués sont ceux pour la France métropolitaine et la Corse, pour les autres destinations, merci de contacter la librairie pour connaître le montant des frais d'expédition, merci de votre compréhension. Livre Rare Book Customers : The shipping fees indicated are only for France, if you want international shipping please contact us before placing your order, thank you for your understanding. -
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Chez Rollin Jean-Baptiste Coignard | à Paris 1730 | 19 x 25.50 cm (In-4) | 3 volumes reliés
Edition originale illustrée d'un frontispice allégorique par Cazes et gravé par Tardieu, une vignette de titre par Humblot répété, et 4 bandeaux de titre du même répétés, ainsi que d'une carte dépliante de la Grèce ancienne, et une planche de médailles. Pages des titres en rouge et noir. Reliure en plein veau brun marbré glacé d'époque. Dos à nerfs richement orné. Pièce de titre en maroquin rouge, pièce de tomaison de veau brun orné. Manques en tête des tomes I et III. Fentes aux mors en tête du premier tome. Au tome I, de la page 190 à 370, deux trous de vers en marge haute ; à partir de la page 371, ces deux trous deviennent progressivement des petites galeries sur 1,5cm, en marge haute, proche de la tranche. Les 2 pages de garde avant le titre du tome I on été coupés, le livre s'ouvrant direcetement sur la page de titre. Dans l'ensemble frais, mais parfois quelques pages brunies ou portant de pâles brunissures. * La publication de l'ouvrage de Brumoy eut un énorme retentissement pour la renaissance du théâtre des Grecs en France, puis en Europe. Au moment où il rédige son oeuvre, les pièces classiques du théâtre grec n'étaient plus lus et connus que des érudits. Brumoy propose l'intégralité du théâtre grec tel qu'il était connu à l'époque, il offre ainsi des traductions en prose, intégrales ou anthologiques, des pièces d'Eschyle, Sophocle, Euripide et Aristophane. Il réunit dans ses deux premiers volumes les traductions complètes de trois tragédies de Sophocle (dipe-Roi, Électre, Philoctète) et quatre d'Euripide, et une anthologie et des analyses des autres tragédies des trois auteurs, Sophocle, Euripide et Eschyle. Le troisième volume est consacré à Aristophane et au drame satyrique avec de larges extraits des pièces. Eschyle n'apparaît donc que par des extraits et une présentation de ses pièces, ce choix assumé par Brumoy correspondait à la difficulté du théâtre d'Eschyle, où comparé à ses comparses, celui-ci se caractérise par une absence de dramaturgie et la présence seule du verbe. Le livredébute par trois discours qui constituent une ample préface et une étude du théâtre grec :Sur le théâtre grec;Sur l'origine de la tragédie;Sur le parallèle du théâtre ancien et du moderne. Brumoy ne s'est pas contenté de fournir une traduction intégrale de 7 grandes pièces du théâtre grec, il en donne chaque fois une introduction, une analyse, et surtout une comparaison avec d'autres pièces qui sont commentées d'après des extraits, ainsi font suite à l'Oedipe de Sophocle (admise comme étant la perle du théâtre grec), l'Oedipe de Sénèque, puis celui de Corneille. En outre, le travail de traducteur de Brumoy est complètement nouveau, doué d'une véritable conception, non sans un caractère pédagogique nécessaire à son entreprise. En 1773 paraîtront les tragédies de Sophocle qui n'avaient point encore été traduites, par Dupuy : Pour servir de supplément au Theatre des Grecs. Dupuy donne l'intégralité des pièces dont Brumoy n'avaient donné qu'une présentation et des extraits. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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s. d. [ca 1991] | 21 x 29.70 cm | 10 feuillets
Manuscrit autographe signé du chorégraphe Maurice Béjart. 10 feuillets rédigés au stylo bleu. Foliotation autographe. Épreuves manuscrites de Maurice Béjart pour son ouvrage Béjart-theâtre?: A-6-Roc (Éditions Plume, 1992), à propos de sa pièce A-6-Roc créée la même année au théâtre de Vidy à Lausanne. Après la fondation du «?Béjart Ballet Lausanne?» et son départ définitif de Belgique en 1987, Maurice Béjart poursuit sa mise en scène d'opéras, entreprend la réalisation de films et publie plusieurs livres (roman, souvenirs, journal intime...). Par ailleurs, il écrit et met en scène sa troisième pièce de théâtre A-6-Roc jouée à Lausanne en 1992, qu'il publie avec des commentaires dans un ouvrage intitulé Béjart-theâtre?: A-6-Roc. La pièce met en scène sept personnages en quête d'un paradis perdu, et engage une profonde réflexion sur la mémoire et l'enfance du chorégraphe. Béjart tient le rôle principal et donne la réplique à Gil Roman, son danseur fétiche de la période lausannoise, qui lui succédera à la tête de sa troupe en 2007. A-6-Roc fut probablement la pièce préférée de Béjart et sera la seule qu'il acceptera de publier. Largement inspirée du théâtre de Jean Anouilh et plus encore de celui d'Eugène Ionesco, elle emprunte également à son enfance dans le Sud de la France. Ce manuscrit, qui livre de précieuses indications de mise en scène et de décor, fut publié avec le texte original de la pièce en 1992. Le présent, le passé et le futur se rencontrent dans la pièce à travers trois personnages une figure de patriarche que Béjart interprète lui-même, une autre incarnant la jeunesse joué par Gil Roman («?6 doit avoir au moins le double d'âge de Mr A. Cette différence de génération crée leur tension et aussi leur complicité?») et un clown, appelé Roc, interprété par l'acteur Philippe Olza. On y décèle sans peine l'influence du théâtre de l'absurde tant dans les choix scéniques que la psychologie des personnages?: «?cette première séquence de la pièce, qui peut durer de 3 à 6 ou 7 minutes, n'est qu'un mouvement mécanique de corps [...] évoquant l'activité inutile et vaine des univers concentrationnaires?». Le dramaturge Béjart n'en restera pas moins fidèle à l'idée «?spectacle total?» qui fit sa célébrité en tant que chorégraphe. La danse et le mouvement inondent la pièce notamment dans le chur théâtral («?quatre personnages devrais-je dire, car rien ne me déplaît plus que l'uniformité des pseudo-churs grecs et autres corps de ballet esthétisants?») et Béjart consacre les quatre derniers feuillets à la musique («?elle joue tout au long de la pièce comme les dauphins qui suivent un bateau?») allant de Nino Rota à la musique sirupeuse de Jackie Gleason. Au-delà du théâtre, Béjart désire créer avec A-6-Roc une uvre d'art complète incluant tous les autres genres du spectacle, et démontre dans ce manuscrit son talent de de dramaturge et de metteur en scène. Précieux manuscrit sur la dernière pièce de théâtre écrite, mise en scène et interprétée par Béjart. Il figure parmi les très rares documents du chorégraphe en mains privées, ses archives étant partagées entre sa maison bruxelloise, la fondation Béjart de Lausanne et le Théâtre Royal de la Monnaie. Provenance?: archives personnelles de Maurice Béjart. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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s. d. [circa 1790] | 16 x 20.10 cm | 3 pages sur un double feuillet
Liste de 38 pièces (15 pièces jouées au Théâtre-Français et 23 à la Comédie-Italienne), rédigée sans doute par un secrétaire du Marquis. Annotations, ratures, biffures et corrections de la main du Marquis de Sade. Cette liste correspond à des pièces de théâtre jouées de 1783 à 1785 au Théâtre français (actuel Théâtre de l'Odéon) et au Théâtre italien (connu de nos jours sous le nom d'Opéra-Comique ou Salle Favart). Le Marquis avait pour habitude de se faire envoyer chaque année l'Almanach des spectacles afin de se tenir informé des actualités de la scène parisienne. Ainsi dans une lettre de décembre 1784 à sa femme Renée-Pélagie, il demande: «Liste d'objets dont j'ai besoin. [...] Deux almanachs [...] des spectacles. Les comédies ou tragédies nouvelles de l'année, de l'un et l'autre spectacles. J'en ai d'autant plus besoin cette année, que j'ai prodigieusement travaillé dans l'un et l'autre genre et que je ne puis me passer de ce qui paraît, pour m'instruire et vérifier.». Toutes les pièces listées dans cet inventaire apparaissent dans les almanachs théâtraux reproduits par Sylvie Dangeville dans son ouvrage Le Théâtre change et représente (Honoré Champion, Paris, 1999). Soucieux de garder un lien avec le monde extérieur, le Marquis commande énormément d'ouvrages, notamment les brochures des pièces théâtrales fraîchement parues. Ainsi en 1775, dans une lettre à la Veuve Duchesne, célèbre libraire-éditrice parisienne, il demande: «Pour l'intelligence du billet ci-joint, Madame Duchesne est priée de jeter les yeux sur l'Almanach des Spectacles, article pièces nouvelles, et en conséquence elle voudra bien remettre au présent porteur tout ce qui [a] été imprimé à l'un ou l'autre spectacle, savoir du Théâtre français depuis l'Hôtellerie ou le faux ami et du Théâtre italien depuis l'Amitié au village, l'un et l'autre inclusivement, si elles sont imprimées ou exclusivement si elles ne le sont pas, jusqu'à l'époque de la clôture des spectacles. Le porteur n'a qu'un louis; si les pièces montaient à une somme plus forte, Madame Duchesne enverrait d'abord pour cette somme et ferait dire celle qu'il faudrait envoyer le lendemain pour avoir le total.». Le «billet» dont il est question en début de missive est très vraisemblablement la liste que nous proposons; les deux titres auxquels fait référence le Marquis y apparaissent. Rare et précieuse liste répertoriant les ouvrages lus par le Marquis au commencement de son incarcération à La Bastille, point de départ de sa production littéraire prolifique. Provenance : archives de la famille. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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