‎ARNOUX Alexandre RENEFER Raymond‎
‎Le cabaret‎

‎Editions Lapina, Paris 1922, 21x27,5cm, relié.‎

Reference : 75129


‎Edition illustrée de 49 eaux-fortes originales de Raymond Renefer, un des 24 exemplaires numérotés sur Japon, tirage de tête après 13 vieux Japon. Reliure en plein maroquin rouge, dos légèrement éclairci à quatre nerfs, roulettes dorées sur les coiffes, premier plat orné d'un décor géométrique de pièces de maroquin mosaïqué turquoise, marron, bleu marine et brun entourées de points dorés, gardes et contreplats de soie moirée bordeaux, encadrement d'un filet doré sur les contreplats, tête dorée, filet doré sur les coupes, couvertures et dos conservés, reliure signée Trinckel. L'ouvrage comporte, comme indiqué à la justification du tirage, la double suite sur Chine des illustrations. Bel exemplaire parfaitement établi dans une reliure mosaïquée de Trinckvel. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎BRUANT (Aristide)‎

Reference : 18079

(1924)

‎Cabaret Chat noir‎

‎ Paris, Agence générale de copies H. Compère, s.d. [1924] 1 vol. (225 x 275 mm) de [25] ff., entièrement manuscrit, avec rajouts des feuillets manuscrits ou ronéotypés et partitions, certaines annotées, couverture canson glacé avec tampon de l'agence Compère, répété au titre. Conducteur original du spectacle « Cabaret Chat Noir » d'Aristide Bruant. Son exemplaire personnel, portant son ex-libris et copieusement annoté et corrigé par Bruant. On trouve également, sur cinq petits feuillets (110 x 135 mm) tenant dans la poche, un conducteur miniaturisé de quelques répliques et agencement de scène.‎


‎Le manuscrit de départ est l'oeuvre de la fameuse Agence Générale de Copies Dramatiques et Littéraires H. COMPERE, qui rédigeait, pour les acteurs du spectacle, plusieurs copies des scripts. Celui-ci correspond à la dernière apparition sur scène de Bruant, lors de la reprise du Cabaret Chat noir : une ultime tournée pour une série de concerts au théâtre de l'Empire, du 21 novembre au 4 décembre 1924. Sa santé se détériore rapidement ensuite et il décède deux mois plus tard, le 10 février 1925, à Paris d'une angine de poitrine, sans avoir le temps de regagner Courtenay, dans le Loiret. Il a 74 ans. C'est au 84 boulevard de Rochechouart que l'histoire, plus de quarante ans plus tôt, avait commencé. En 1881 Rodolphe Salis ouvrit un cabaret dans le local désafffecté d'un ancien bureau de poste. C'est à lui que revient de l'avoir baptisé Le Chat Noir : un chat efflanqué qu'il adopta et qui lui porta bonheur quand il eut l'inspiration d'engager Aristide Bruant. En 1885, le cabaret est transféré 12 rue de Laval (aujourd'hui Victor Massé) et Bruant, qui l'a racheté, le baptise : Le Mirliton. C'est le début de la réussite pour celui qui cherchait « fortune à Montmartre le soir » : les huit années pendant lesquelles Bruant anime le Mirliton sont fécondes et elles assurent le renom du poète insolent, dans un décor tout à la gloire du célèbre félin. Outre la Vierge au chat de Willette, on pouvait admirer une ahurissante cheminée de Grasset, dont les colonnes byzantines supportaient deux chats, flanqués de la devise « Montjoye Montmartre » : il s'agissait de moquer le public bourgeois, effaré par l'esprit montmartrois. Dans les différentes salles, Salis fit réaliser des décors pseudo-historiques, sous l'égide d'illustrateurs tels que Henri Rivière et Caran d'Ache. Une partie du succès de Bruant est due également à Lautrec, qui dessine pour lui plusieurs affiches qui l'immortalisent dans sa tenue de scène du Mirliton, pantalon et veste de garde-chasse, cape noire, large chapeau de feutre, écharpe rouge. Devenu riche, Bruant peut acheter en 1900 une ferme et des terres pour vivre en gentleman chasseur, à Courtenay. Le Cabaret Bruant lui survit, qu'il a laissé en gérance, en gardant 50% des bénéfices ! Le décor, les chansons et les costumes sont immuables, tout comme la fameuse Complainte du Chat noir (ouverture de la pièce) : « Je cherche fortune Au-autour du Chat Noir Au-au clair de la lune A Montma-a-rtre ! Je cherche fortune Au-autour du Chat Noir Au-au clair de la lune À Montmartre le soir ! »Bruant y jouait Gueule d'empeigne, un personnage repris en 1912, par Jean-Charles Barrez pour le journal Comoedia, pour promouvoir les revues du Ba-ta-clan, un nouveau cabaret. Il acceptera, en 1924, de sortir de sa retraite pour remonter sur scène et donner une reprise du Cabaret Bruant, à l'identique. C'est pour cette dernière de représentations que ce conducteur a été réalisé. L'exemplaire personnel d'Aristide Bruant, portant son ex-libris, copieusement annoté et corrigé par lui. On trouve également, sur cinq petits feuillets (110 x 135 mm) tenant dans la poche, un conducteur miniaturisé de quelques répliques et agencement de scène. ‎

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‎[Antoine de Rivarol] Enquête concernant du grabuge au cabaret de la famille Rivarol.‎

Reference : 015181

‎[Antoine de Rivarol] Enquête concernant du grabuge au cabaret de la famille Rivarol.‎

‎[Antoine de Rivarol] Enquête concernant du grabuge au cabaret de la famille Rivarol. P.S. par différentes personnes dont sa tante Françoise Rivarol et sa mère Catherine Avon-Rivarol, 1765, 13p in-4. Intéressante enquête faite par « Louis Broûzet, exempt de la maréchaussée générale du Languedoc à la résidence de Nîmes ». Il reprend donc les témoignages de ce qu'il se passé le 30 janvier 1765 au cabaret du Cheval blanc, des parents d'Antoine de Rivarol (1753-1801), à Bagnols-sur-Cèze. On y trouve différents témoignage et notamment celui d'« Avon Rivarol », la mère de l'écrivain, et « Françoise Rivarol », sa tante. Il y a aussi les interrogatoires des cuisiniers, de la voisine. L'affaire concerne des soldats qui ont maltraité Marion, la servante du cabaret. Beau document. [373] ‎


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‎THÉÂTRE DU PERCHOIR ‎

Reference : 99C24

‎Le Perchoir ou le théâtre du Perchoir était un cabaret parisien, créé en 1916 par Jean BASTIA et SAINT-GRANIER où évoluèrent de nombreux artistes dont Musidora, Marie Dubas, Raymond Souplex, Jane Sourza, Gabriello pour n’en citer que quelques-uns. Situé à Paris, rue du Faubourg Montmartre, aujourd’hui disparu. Il eut de belles années de gloire avant de devenir une salle de cinéma, en 1940. Ses arguments publicitaires étaient : un « Grand choix de boniments, blagues, saillies, galéjades, chatnoirades et autres montmartroisies ».‎

‎SUPERBE ET RARE ENSEMBLE. Jean BASTIA, chansonnier, parolier, acteur et chanteur français (1878-1940) 10 lettres autographes signées et une dactylographiée signée adressées au dessinateur, illustrateur et collaborateur PEN. Une de ces lettres est également signée par Saint-Granier et est dressée à Mme Pen, lui indiquant l’ouverture et la première du « Perchoir », décidée pour le 24 décembre 1916, « à 20 h45. Nous serions heureux si vous daigniez venir occuper les fauteuils 1/59 ». La plupart de ces lettres sont antérieures à l’ouverture du cabaret. Elles sont relatives à la participation et à l’organisation pour sa prochaine ouverture. (du 24 octobre au 9 décembre 1916). Elles sont la plupart décorées d’un perroquet, mascotte, dit « COCO, perroquet belge fait prisonnier à Bruxelles, s’est évadé de la forteresse de Torgau en prenant l’uniforme d’on officier bavarois ». L’ensemble de ces lettres traite dune intense collaboration avec Pen pour des projets d’illustrations, en particulier concernant le « blason du mercanti », dont Bastia lui donne une amusante description. Il est également question de son portrait qui figurera sur les programmes et catalogues. « Je désirerai que la tête ait la grosseur de la tête de Martini et qu’on ne voit de ma cravate noir que ce l’on voit chez Martini… ». [Augustin Martini était un chansonnier français né en Corse en 1882-1965]. Pen sera avec le décorateur Mellano de Cassina très performant pour les décors du cabaret ainsi que pour les dessins des artistes opérants dans ce music hall et du personnel actif. Une lettre du 21 février 1917, concerne les indemnités de Pen à partir du prochain spectacle à compter de cette date. « J’avais, après démarche de S. G. [Saint-Granier] en votre faveur, convenu que vous toucheriez cent cinquante francs pour vous au Perchoir, à partir du spectacle actuel. Et malgré les relâches qu’on nous impose, je vous compte à ce prix dans vos frais… ». Deux dessins à l’encre et au lavis représentant Jean Bastia, réalisés par PEN. Maquette originale de l’acteur Fernand RENÉ, réalisée par PEN à l’encre et à l’aquarelle (54 x 25 cm) dont on a joint 2 affichettes publicitaires imprimées de ce dessin. Plusieurs lettres adressées à PEN, concernant le PERCHOIR, dont une lettre autographe signée du décorateur MELLANO DE CASSINA, auteur de la frise du Perchoir, à propos de collaboration. Une lettre autographe signée du compositeur Henri CONTESSE, l’invitant à venir prendre un croquis de sa silhouette. Une lettre autographe signée de Paul BAUDIN, directeur des « Projections Lumineuses Théâtrales » et organisateur de décors lumineux et du théâtre d’ombres, engageant Pen à venir collaborer en vue de répétitions pour un prochain spectacle, [Spectacle très certainement lié à la grande pièce d’ombres en huit tableaux « François Joseph aux enfers », dont les silhouettes étaient de Pen et la machinerie de Paul Baudin]. « Mr Bastia fait venir de l’oxygène chez moi aujourd’hui, en vue des répétitions qui y auront lieu, je compte donc sur vous quand il le faudra, car vous savez que vous devez m’aider aux lanternes… ». Une lettre autographe signée de la comédienne et chanteuse Lucy PEZET relative à un rendez-vous. Deux élégants programmes/catalogues imprimés, bien complets mentionnant les collaborateurs et le personnel agissant dans ce cabaret avec leurs portraits caricaturés par Pen, avec la composition du texte, conçue avec dérision. ‎


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‎VIAN Boris‎

Reference : 76377

(1953)

‎Article sur le cabaret - Manuscrit autographe en partie inédit : " "Et ce n'est pas un hasard si En attendant Godot, la pièce étonnante de Samuel Beckett, est une entrée de clowns qui dure deux heures, ne traite de rien en particulier, pose tous les problèmes, arrache le rire au moment où l'on devrait s'épouvanter"‎

‎Paris s.d. (ca 1953), 21x27cm, 11 feuillets rédigés au recto.‎


‎Manuscrit en partie inédit d'un article sur le cabaret, neuf pages plus deux pages en addition rédigées à l'encre violette sur des feuillets de papier quadrillé perforés. Nombreuses ratures et corrections ainsi que plusieurs ajouts. Les feuillets sont numérotés en marge haute droite de 1 à 9 puis 12 et 13. Les neuf premiers feuillets de ce texte, qui ne fut jamais publié du vivant de Boris Vian, ont été retranscrits dansLes Vies posthumes de Boris Viande Michel Fauré (1975). Le texte a été fautivement daté de 1948 par Fauré : la mention d'En attendant Godot de Samuel Beckett, dont la première eut lieu en 1953, rend cette datation impossible. Intéressant texte évoquant les cabarets et les "troglodytes", bel écho au célèbreManuel de Saint-Germain-des-Prés(1951) : "Rendons à Saint-Germain-des-Prés ce qui lui revient de droit : outre un certain tonnage fourni aux journalistes en mal de copie, ce quartier tant décrié - par ceux qui justement ne l'ont connu que sous son aspect journalistique - est à l'origine de la transformation profonde du cabaret. Oui, il y avait bien une raison si les gens intelligents que sont Sartre, Prévert, Camus, Merleau-Ponty, etc., bref tous ceux qui en somme comptent aujourd'hui dans la littérature ou les arts suivaient avec autant d'attention le grand mouvement des caves, malgré la turbulence des troglodytes et l'incongruité des singes photographes, malgré l'activité brouillonne d'une génération de journalistes illettrés et malotrus, malgré la curiosité béate du badaud et l'aigre rancoeur des videurs de pots de chambre de la rue Dauphine." Après avoir brièvement évoqué le jazz, sujet sur lequel il est pourtant habituellementdithyrambique, Boris Vian consacre la plus grande partie de son texte au théâtre : "Le jazz, d'un côté se taillait à grands coups de trompette une place à l'ombre côté chambre des machines ; c'est là sa vraie ambiance : une cave enfumée, une arrière-boutique, un laboratoire obscur où se réunissent les fidèles. [...] Les musiciens se détendaient enfin. Mais de leur côté les comédiens ne restaient pas inactifs."Visionnaire, Vian sent "dans l'air une odeur de renouveau"comprenant l'importance que revêtira le théâtre de cabaret dans les années à venir. Deux feuillets (non transcrits dans l'ouvrage de Fauré) évoquent l'avant-garde théâtrale de ce début des années 1950 : "Et ce n'est pas un hasard si En attendant Godot, la pièce étonnante de Samuel Beckett, est une entrée de clowns qui dure deux heures, ne traite de rien en particulier, pose tous les problèmes, arrache le rire au moment où l'on devrait s'épouvanter [...] Et ce n'est pas un hasard si l'interprète principal de l'oeuvre de Beckett, ce pilier de tête du théâtre d'avant-garde, est un chevronné du cabaret." - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎( Hubert le Magnanime - Cabaret " La Bolée " ) - Francis Carco.‎

Reference : 1189

(1849)

‎Magnifique et émouvante lettre autographe, signée, de Francis Carco au sujet de Hubert le Magnanime, patron du Cabaret " La Bolée "‎

‎ Emouvante et très longue lettre autographe de Francis Carco, double page, avec en-tête son adresse Parisienne du 18 Quai de Béthune, Paris 4ème, datée et signée du 9 mars 1950. Dans ce courrier Carco appelle au secours un de ses amis - non identifié – pour venir en aide à Hubert le Magnanime, qui dirigeait le Cabaret de « La Bolée », Rue de l’Hirondelle. Dans ce cabaret, réplique du Lapin Agile, mais qui offrait plus d’inconnu, avec une clientèle composée d’anarchistes, de rôdeurs, d’étudiants, de chansonniers, et de filles de joies, on festoyait à bon marché, grâce au brave Hubert qui aimait les poètes, leur faisait place à table, et, résolu à tout pour eux, leur avançait en cachette de l’argent. Grand, robuste, sympathique, cet homme, hélas ! ne s’enrichissait guère dans ce commerce où l’on le payait avec des rimes. Il fut même, durant un temps, plutôt que de fermer ses portes et couper le crédit aux artistes qui en avaient besoin, après minuit, obligé de quitter soigneusement son gîte et de travailler aux Halles comme débardeur. Etat superbe, malgré deux petites traces d'adhésif aux coins supérieur. La lettre à été pliée en son milieu.‎


‎ Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs MoruesLivres‎

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