S.n., Paris 1951, 13,5x21,5cm, agrafé.
Reference : 68167
Edition originale imprimée à 150 exemplaires numérotés et justifiés par André Hurtret sur offset supérieur. Ouvrage illustré de 23 dessins de l'auteur. Dos et plats légèrement et marginalement insolés. Envoi autographe daté et signé d'André Hurtret à monsieur et madame Bertin. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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ARTHEME FAYARD. NON DATE. In-12. Relié. Etat d'usage, Coins frottés, Dos frotté, Intérieur frais. 477 + 381 + 382 + 380 +382 + 379 + 382 pages - plats et contreplats jaspés. . . . Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Roi des Bandits - Cartouche et sa clique - Les ruses de Cartouche - Duel à mort - L'héritage du crime - Le fils de Cartouche - Les 4 risque-tout Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Firmin-Didot, 1932, in-8°, (8)-218 pp, importante introduction de F. Fleuret (82 pp), 17 pl. de gravures hors texte, bibliographie (10 pp), broché, couv. illustrée, bon état. Edition originale, un des 40 ex. numérotés sur papier Montgolfier pur fil (seul grand papier)
Voleurs de grand chemin, génies de l’évasion et experts dans l’art d’horripiler les forces de police, Cartouche et Mandrin ont défrayé la chronique du début du XVIIIe siècle. Faux-monnayeurs, pilleurs, trafiquants, ils attirèrent dans leur sillage des milliers de malfaiteurs. Cartouche fut le premier à endosser le costume du héros populaire. Sous la régence de Philippe d’Orléans, après la mort de Louis XIV, il s’attaquait aux profiteurs et spéculateurs grouillant dans le royaume. Aucune diligence ne résistait aux “cartouchiens” ; les hôtels particuliers et bijouteries des beaux quartiers de Paris étaient pris d’assaut. Cette nouvelle terreur urbaine ridiculisait les possédants et le peuple était aux anges. Plus tard, “le renard Mandrin”, d’un sang froid à tout épreuve, prit la relève. Lui et ses comparses mirent en place un gigantesque réseau de contrebande. Ils volaient puis revendaient tabac, coton, horloges. Par-dessus tout, Mandrin fut la terreur des fermiers généraux. Comme Cartouche, il fut supplicié en place publique. Et jusqu’à son dernier souffle, il revendiqua son combat contre le pouvoir royal. Fernand Fleuret fait ici revivre à travers les récits de colportage de leur époque ces deux figures de l’histoire populaire.1721 : la foule parisienne assiste au supplice, sur la place de Grève, d'un chef de bande craint et célébré pour le caractère exceptionnel de ses exploits : Louis-Dominique Cartouche. Louis Mandrin, quant à lui, est à la tête d'une imposante équipe de voleurs. En 1755, il est jugé et exécuté à Valence devant 6.000 curieux. Fernand Fleuret, à travers les merveilleux récits de colportage, nous fait découvrir ces deux figures épiques, chevauchant, chacune de leur côté, à travers des aventures plus chimériques les unes que les autres, mais si captivantes.
Amsterdam, Wed. Hendrik Vander Putte, Amsterdam, Wed. Hendrik Vander Putte(fin XVIIIe) ; image populaire avec 16 bois gravés encadrés avec des légendes en flamand. (41 x 31 cm.), Scènes de la vie du célèbre chef de bande Cartouche (1693 - 1721) exécuté Place de Grève. Après la publication dans les Pays-Bas d’un livre populaire relatant les exploits de Cartouche, les imagiers de Hollande et de Belgique se sont emparés de la légende pour illustrer les aventures du fameux bandit.Cette image due aux héritiers de Hendrik van der Putte à Amsterdam est une des premières. “La famille Vander Putte, dont les membres (Isaac, Abraham, Hendrik, sa veuve et ses héritiers) ont été imagiers jusqu’aux dernières années du XVIIIe siècle...” Van Heurck et Boekenoogen. Histoire de l’imagerie populaire flamande p. 551.Épreuve à toutes marges, bois rehaussés de taches de couleurs rouge et bleu. Trace de froissage, pâle mouillure à l’angle inf. droit.
Imprimé à Anvers, et se vend à Paris : Pierre Prault, 1725 In-8, frontispice, (4)-119 pages et 16 planches gravés par Scotin d'après Bonnart. Veau de l'époque, dos à nerfs orné, pièce de titre de maroquin rouge.
Coins émoussés, coiffe de tête arrachée, quelques épidermures. Première édition illustrée. “Ce qui nous intéresse dans ce petit livre, ce n’est pas tant l’histoire à tendance moralisatrice des faits et gestes de Cartouche, que le lexique argot-français que l’auteur ajouta au poème… Il renferme quelques appellations originales… Le bruit fait autour de Cartouche et le succès populaire de Grandval mirent pendant quelque temps l’argot à la mode.” (Sainéant, Sources de l’argot ancien, I, 62-63). La première édition date de 1723. Barbier IV, 953 ; Cioranescu 31883 , Quérard III, 448 ; Yves-Plessis 101.
S. l. n. d. [XIXe siècle] Petit in-12, 11 pages. Broché, couverture jaune imprimée, ornements typographiques sur les plats.
Exemplaire défraîchi. Facétie populaire, sans doute imprimée à Epinal. Où Cartouche et Mandrin font assaut de courage, et où Proserpine se fait un cabriolet des deux roues de leur supplice."Au XVIIIe siècle, les dialogues des morts ne sont pas des textes métaphysiques qui s’interrogeraient sur la mort et l’au-delà. […] L’intérêt des morts pour l’actualité est vif, même dans sa composante la plus éphémère (les caprices de la mode notamment). Le Dialogue entre Cartouche et Mandrin où l’on voit Proserpine se promener en Cabriolet dans les Enfers (1755) raconte ainsi la naissance de la mode du cabriolet dans les Enfers et introduit à un univers de frivolité et de divertissement, à une tonalité légère et burlesque qui l’emporte sur le macabre, même si des sujets plus profonds peuvent être abordés." (Lise Andries, Les Dialogues des morts au XVIIIe siècle, séminaire Agon, 2011)