L'oeuvre nouvelle | Lyon s. d. [circa 1914] | 15 x 21 cm | broché
Reference : 51514
Edition originale imprimée à petit nombre sur pur fil. Précieux et rare envoi autographe signé de Paul Lintier : " A mon vieux Béraud avec toute mon amitié..." Préface d'Henri Béraud. Ouvrage illustré, en frontispice, d'un portrait d'Adrien Bas par Francisque Laurent. Trois manques sur le dos, petits manque marginaux surles plats qui comportent également une claire mouillure, agréable état intérieur. Provenance : de la bibliothèque rétaise d'Henri Béraud. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Lyon. Luvre Nouvelle. Sans date. [1914]. Plaquette in-8° brochée. Portrait dAdrien Bas dessiné par Francisque Laurent en frontispice. VIII + 21 pages. E.O. (pas de grand papier). Rare. Très bon état. (Dupont, P1). /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.
Voyageur, inventeur, fin gourmet, grand excentrique et bon peintre, de surcroît Adrien Bas est une figure très attachante de lEcole lyonnaise. Influencé par Cézanne, membre de léphémère groupe des « Ziniars », il peut être considéré comme un passeur entre lEcole lyonnaise « classique » et des tendances artistiques plus modernes. Son principal marchand, le riche et original gidien Renaud Icard, fait son portrait dans le roman " Calvaire de Roses " (Renaissance du Livre, 1929). Béraud fut, en 1912, le premier et plus ardent défenseur dAdrien Bas dans " lEcole moderne de peinture lyonnaise ". /// « Que dire ? Parler de laspect du peintre, de ses chapeaux, de ses habitudes ; citer quelques-uns de ses dadas, son extraordinaire ingéniosité, ses inventions, son amour de la mécanique, sa connaissance des cuisines exotiques ; dire quil fut alpiniste, parcourut lArabie, construisit des yoles, inventa deux manières de préparer les filets de dorades, et prit des brevets pour des accessoires dautomobile ? Expliquer lâme de cet excentrique par limmensité de ses lectures et par linlassable curiosité de son esprit, certes, je le pourrais faire et ce serait même la raison dêtre de cet avant-propos. Car, pour le reste, je veux dire pour létude du véritable Adrien Bas, du grand paysagiste lyonnais, du seul peintre que son art rapproche de Guindrand, de Carrand, de ceux enfin qui sattachèrent à rendre les brumes argentées de mon pays pour dire cela, mon cher Lintier, je ne connais point de meilleure plume que la vôtre. » (Préface dHenry Béraud)
Lyon. Luvre Nouvelle. Sans date. [1914]. Plaquette in-8° brochée. Portrait dAdrien Bas dessiné par Francisque Laurent en frontispice. VIII + 21 pages. E.O. (pas de grand papier). Rare. Exemplaire un peu usagé, quelques piqûres, brochage flottant ; convenable cependant (Dupont, P1). /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.
Voyageur, inventeur, fin gourmet, grand excentrique et bon peintre, de surcroît Adrien Bas est une figure très attachante de lEcole lyonnaise. Influencé par Cézanne, membre de léphémère groupe des « Ziniars », il peut être considéré comme un passeur entre lEcole lyonnaise « classique » et des tendances artistiques plus modernes. Son principal marchand, le riche et original gidien Renaud Icard, fait son portrait dans le roman " Calvaire de Roses " (Renaissance du Livre, 1929). Béraud fut, en 1912, le premier et plus ardent défenseur dAdrien Bas dans " lEcole moderne de peinture lyonnaise ". /// « Que dire ? Parler de laspect du peintre, de ses chapeaux, de ses habitudes ; citer quelques-uns de ses dadas, son extraordinaire ingéniosité, ses inventions, son amour de la mécanique, sa connaissance des cuisines exotiques ; dire quil fut alpiniste, parcourut lArabie, construisit des yoles, inventa deux manières de préparer les filets de dorades, et prit des brevets pour des accessoires dautomobile ? Expliquer lâme de cet excentrique par limmensité de ses lectures et par linlassable curiosité de son esprit, certes, je le pourrais faire et ce serait même la raison dêtre de cet avant-propos. Car, pour le reste, je veux dire pour létude du véritable Adrien Bas, du grand paysagiste lyonnais, du seul peintre que son art rapproche de Guindrand, de Carrand, de ceux enfin qui sattachèrent à rendre les brumes argentées de mon pays pour dire cela, mon cher Lintier, je ne connais point de meilleure plume que la vôtre. » (Préface dHenry Béraud)