imprimerie de Dentu | à Paris 1806 | 13 x 20 cm | relié
Reference : 48960
Seconde édition en partie originale, la première de 1804 comptait 2000 vers en moins. Une vignette de titre. Reliure de l'époque en plein veau blond camel, signée R.P. Thouvenin. Dos à cinq nerfs orné de pointillés, fleurons et filets dorés, ainsi que d'une pièce de titre de maroquin bleu. Poinçons dorés, roulette et filet à froid en encadrement des plats. Dentelle dorée en encadrement des contreplats de papier à la cuve. Toutes tranches marbrées.Coiffe de tête accidentée, mors un peu frotté.Une large mouillure en marge basse portant atteinte aux premiers feuillets. Recueil composé d'imitations des grands poètes épiques, de l'Antiquité ou de la Renaissance, qui consiste en une succession de tableaux. L'auteur suppose donc que dans les Champs Elisés, les grands poètes épiques (Homere, Milton, l'Arioste...) se sont réunis pour chanter et rimailler sur les amours célèbresd'Andromaque et d'Hector, de Renaud et Armide, d'Adam et d'Eve... Cette veine poétique où se sont jetés de nombreux poètes de l'Empire, Millevoye ou Baour Lormian, dans la volonté de ressuciter la poésie épique aura laissé l'impression d'une grave crise de la poésie française. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Paris, Impr. de Dentu, Paris, Impr. de Dentu1806 ; in-8, veau fauve raciné, encadrement de filets dorés, dos lisse orné de lyres répétées et dentelles dorées, tranches marbrées. (Reliure de l’époque) XXVIII pp., 344 pp., 1 f. - Titre frontispice gravé avec vignette.ÉDITION EN PARTIE ORIGINALE. La première, de 1804, comptait 2000 vers en moins. Elle aurait sans doute suffi, car ce supplément de métromanie n’a contribué ni aux fastes de la poésie épique sous Napoléon ni à la gloire du poète Parseval Grandmaison, un homme né sous Louis XV et dont le luth se tut en 1834. Né trop tôt, il appartient à une génération de crise poétique française, celle des Luce de Lancival, Creuzé de Lesser, Millevoye et autres Baour-Lormian.Dans ce recueil qui n’est fait que d’imitations, il suppose que dans les Champs Eliséens, Homère, le Tasse, l’Arioste, Milton, Virgile et Camoëns viennent tour à tour chanter les amours d’Andromaque et d’Hector, de Renaud et Armide, de Médor et Angélique, d’Adam et Eve, de Didon et Enée, des Lusitains et des Néréides. C’est une suite de tableaux détachés émaillés de descriptions du style Delille.Parseval était fils de fermier général. Dans sa jeunesse il avait entrepris de cultiver la peinture dans l’atelier de Suvée. Peut-être aurait-il dû continuer dans cette voie au lieu de versifier sans trêve. Même la Révolution, qui lui fit perdre toute sa fortune, ne sut le troubler outre mesure. Pendant tous ces bouleversements Parseval continuait sans mollir, d’aligner ses vers médiocres. Bonaparte qui voulait un poète dans son expédition d’Egypte l’emmena dans ses bagages. La terre des Pharaons n’impressionna nullement ce barde qui pendant tout son séjour au Caire se consacra à la rédaction des Amours épiques. Comme bien des artistes dépourvus de talent, Parseval était extrêmement vaniteux. La préface et le discours préliminaire témoignent de l’infatuation du personnage.Exemplaire habillé à l’époque d’une élégante reliure ornée de luths.
Paris, Dentu, 1806. In-8 de 346 pages.,reliure demi veau trés frottée et usée,texte correct.
ÉDITION EN PARTIE ORIGINALE. La première, de 1804, comptait 2000 vers en moins. Elle aurait sans doute suffi, car ce supplément de métromanie n’a contribué ni aux fastes de la poésie épique sous Napoléon ni à la gloire du poète Parseval Grandmaison, un homme né sous Louis XV et dont le luth se tut en 1834. Né trop tôt, il appartient à une génération de crise poétique française, celle des Luce de Lancival, Creuzé de Lesser, Millevoye et autres Baour-Lormian.Dans ce recueil qui n’est fait que d’imitations, il suppose que dans les Champs Eliséens, Homère, le Tasse, l’Arioste, Milton, Virgile et Camoëns viennent tour à tour chanter les amours d’Andromaque et d’Hector, de Renaud et Armide, de Médor et Angélique, d’Adam et Eve, de Didon et Enée, des Lusitains et des Néréides. C’est une suite de tableaux détachés émaillés de descriptions du style Delille.Parseval était fils de fermier général. Dans sa jeunesse il avait entrepris de cultiver la peinture dans ... Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
P.DIDOT L'AINE. 1804. In-24. Relié. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 260 pages - quelques rousseurs sans conséquence sur la lecture - coins frottés - titre + filets dorés sur le dos - couverture conservée.. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
Classification Dewey : 841-Poésie
P., Imprimerie de Dentu, 1806, in 8° relié pleine basane mouchetée de l'époque, dos lisse très orné, étiquette maroquin vert, tranches marbrées, plats encadrés d'une roulette dorée, XXVIII-346 pages ; un tritre-gravé ; quelques rousseurs éparsesfrottis d'usage à la reliure, coiffes usées.
Bon exemplaire. PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................
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Paris, Dentu, 1806. In-8° broché de 346 pages. Couverture d'époque muette et usée, intérieur trés frais.