Librairie du Petit Journal | Paris 1867 | 107.50 x 71 cm | une feuille repliée
Reference : 46588
Edition originale. Plan de Paris divisé en 20 arrondissements, lesquels furent créés en 1859. Bel exemplaire avec les vingt quartiers entièrement aquarellés à l'époque. Carte habilement consolidée aux pliures du verso. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Librairie Le Feu Follet – Edition-Originale.com
Edition-Originale.com
31 rue Henri Barbusse
75005 Paris
France
01 56 08 08 85
Nos ouvrages sont complets et en bon état, sauf indications contraires. Nos prix sont nets. A partir de 30 €, les envois se font en recommandé avec A. R. Le port est à la charge du destinataire. Les réservations par téléphone ne pourront dépasser 72 h.
Kjobenhavn [Copenhague] 1868 | 12 x 18.7 cm | Relié
Édition originale. Reliure en plein papier rocaille, pièce de titre en maroquin havane, couvertures originales conservées. Dos, coins et mors légèrement frottés, tache sans gravité en marge du second plat de couverture conservé. Rare édition originale du conte dAndersen sur une dryade au sort tragique, souvent comparé à La Petite Sirène (1837). Les deux mettent en scène un esprit féminin de la nature qui aspire à quitter sa forme pour rejoindre le monde des hommes, avec des conséquences fatales. Lexemplaire est exceptionnellement enrichi dun envoi autographe dHans Christian Andersen: «?Fru Grøn. En venlig Erindring om Udstillingstiden i Paris 1867. Ærbødigst H. C. Andersen.?» [à Madame Grøn / en souvenir affectueux de lexposition de Paris en 1867. Avec toute mon estime. H. C. Andersen.]. Andersen fit un séjour à Paris en 1867, qui lui inspira cette histoire se déroulant lors de lExposition universelle. Cest à cette occasion quil rencontra la dédicataire Ada Grøn (française dorigine, née Courtois), sa petite fille et son mari le grossiste danois L. J. T. Grøn. Cet envoi est consigné par Andersen dans une entrée de son journal en date du 28 avril 1870, publiée par le H. C. Andersen Centret d'Odensee. * Du 15 avril au 9 mai 1867, Hans Christian Andersen visita lExposition universelle de Paris et sen émerveilla?: «?Ce serait un simplisme ridicule de simaginer Andersen en préécolo, un faune sentimental, éthéré, uniquement sensible à la nature. On ne peut ici que le noter en passant, car cela mériterait tout un essai. Andersen envisage le monde de façon globale, non hiérarchisée et surtout dénuée de tout passéisme [...] La science de son temps le fascinait et excitait ses curiosités et ses engouements?: léblouissement de lélectricité, le microscope, bien sûr, qui fait voir au-delà des apparences, la photographie et toutes les inventions qui sannoncent et exaltent la vitesse, lanimation des images, le vol. En effet, lépoque était bien celle du conte et sa matière nétait pas prête à se raréfier.?» (Isabelle Jan, «?Andersen, écrivain de toujours?», La Revue des Livres pour Enfants, n° 226). La Dryade illustre tout à fait labondance dinspiration que lui procure sa visite parisienne. Andersen traduit son expérience de la vie moderne entre exaltation et scepticisme à travers le personnage dune dryade, esprit féminin dun arbre, qui vit dans un vieux chêne dans la campagne française, et rêve de découvrir le monde des hommes. Un jour, son vu est exaucé?: un événement exceptionnel permet à son arbre dêtre transporté et replanté au cur de lExposition universelle de Paris. Libérée de ses racines, la dryade peut désormais observer la vie humaine de près. Elle découvre la ville, ses splendeurs, son art, ses plaisirs et ses souffrances. Mais ce privilège a un prix?: détachée de son sol dorigine, la dryade est vouée à mourir jeune. Son existence terrestre, brève mais intense, sachève dans une dernière vision de la beauté et de la douleur du monde. On ne peut que constater les similarités avec des grands chefs-duvre du conteur, et notamment le leitmotiv qui fit sa célébrité?: le puissant désir de ses personnages de changer leur nature. Comme le remarque Ane Grum-Schwensen?: «?Dans le cas dAndersen, cest comme si un recyclage très conscient déléments intertextuels internes sopérait pour créer un réseau plus vaste reliant les uvres entre elles. Ce fonctionnement devient évident lorsque par exemple, dans «?les archives?», on trouve une note décrivant les liens réciproques existant entre les nombreux éléments utilisés par Andersen dans La Dryade, La Petite Sirène, La Vierge des glaces et La Reine des Neiges?», (Ane Grum-Schwensen, «?Images littéraires et recyclage dans les manuscrits dAndersen?», Genesis, 48, 2019). Précieux envoi de Hans Christian Andersen, dont le nom est familier à tous les enfants dhier et daujourdhui. Cet exceptionnel exemplaire fut adressé à lune des rares personnes qui assist
Phone number : 01 56 08 08 85
MARTIN DE MOUSSY M.V. (author) - M. PAYEN ( author ) Michel CHEVALIER ( editor ) - Paris 1867 World Exhibition :
Reference : 33532
" Paris, Imprimerie et Librairie Administratives de Paul Dupont, 1867, in-8°, 64 pp ; 32 pp. Bound in red half morocco, gilt raised spine, all edges gilt, lower corners a bit bumped but a fine copy. Small circular library stamp on title. Two reports on the Paris World Exhibition of 1867 (Exposition Universelle de 1867 à Paris).."
London, Virtue and Co. - the Art Journal, 1867, in-folio, 31,5 cm, xii pp + 331 pp, every page illustrated with black/white woodcuts. Bound in contemporary green , raised spine with 2 title labels, marbled edges. Binding with some slight wear but still a fine/good copy. Text in English. Livre en anglais sur l'Exposition Universelle de Paris en 1867. Original edition of a book published in 1867.
12. Paris, Cadart et Lucé, 1867, in-folio, 43,5 x 33 cm, collection of 48 engravings with engraved texts. The engravings (size 23 x 15,5 cm) are individually mounted on large stiff boards. Bound in publisher's red cloth with gilt title on front cover. (Cover restored, spine expertly rebacked , interior fine ). This collection of 48 brilliant engravings is bound here to lure prospective buyers searching for a 1867 World Exhibition souvenir album. We have also encountered this publication as a collection of loose engravings in a printed wrapper - portfolio. This wrapper contained the publisher's details and did not stress the special interest this collection had regarding the 1867 Exhibition. ( original engravings, Paris 1867 World Exhition, Exposition Universelle )..
Paris, Van Geleyn, 1867. Plan lithographié sur tissu (750 x 760 mm, dimensions de la gravure 465 x 535 mm), encadré, sous verre, index numéroté 1 à 17 au bas du plan.
Édition anglaise lithographiée l'année de l'originale française par Van Geleyn de cette spectaculaire vue aérienne du Palais de l'Exposition Universelle de 1867 installé au Champ de Mars à Paris.Très beau specimen d'impression sur tissu certainement dû au procédé mécanique inventé en 1834 par l'ingénieur rouennais Louis-Jérôme Perrot. « Depuis longtemps de nombreuses tentatives avaient été faites en France, en Angleterre et en Allemagne, en vue de réaliser mécaniquement les impressions à la main, et elles étaient restées presque toutes infructueuses (...). On ne saurait se faire une idée plus exacte de l'avantage que présente cette machine à imprimer qu'en le comparant à celui qu'offrent dans la typographie les presses mécaniques sur les presses à bras ; simple et économique tout à la fois, la "Perrotine", par son mouvement régulier et précis, permet d'obtenir les dessins les plus délicats avec la plus rigoureuse correction. Enfin les perfectionnements successifs qui ont été apportés à cette ingénieuse machine, tant par l'inventeur que par d'autres mécaniciens, en ont rendu le maniement tellement facile, que deux hommes impriment maintenant dans une journée jusqu'à 1,500 mètres de calicot, travail qui exigerait au moins le concours de 50 imprimeurs à la main » (Lamé Fleury, Les arts industriels, impression des tissus).