A. Lévy | Paris 1882 | 28 x 37 cm | reliure de l'éditeur
Reference : 44882
Edition originale de la traduction française imprimée sur vergé. Reliure de l'éditeur en plein cartonnage sable, dos lisse passé agrémenté de motifs décoratifs arabisants dorés, noirs et turquoises, coiffes légèrement frottées, premier plat richement orné de motifs décoratifs arabisants dorés, noirs et turquoise, le tout encadré d'un jeu de filets dorés et noirs, gardes et contreplats de papier turquoise, coins légèrement émoussés, toutes tranches dorées, quelques petites taches sans gravité sur le deuxième plat, reliure arabisante de l'époque signée de A. Lenègre. Texte de Alfred Edmund Brehm & Johannes Dumichen. Ouvrage illustré de 24 aquarelles d'après nature de Charles Werner. Quelques petites rousseurs affectant essentiellement les gardes. Rare exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Librairie de L. Hachette et Cie. Paris, 1864, petit in-4 demi-chagrin vert, dos à quatre nerfs, toutes tranches dorées. Reliure de l'éditeur. 2ff.-579pp. Frontispice représentant Speke et Grant. Cartes et dessins du capitaine J. A. Grant. Trois cartes hors-texte dont deux à double page en fin d'ouvrage. Très nombreuses gravures en noir dont une quarantaine de planches à pleine page comprises dans la pagination. Première édition française de cette relation de la seconde expédition de Speke à la recherche des sources du Nil blanc. Lors d'un premier voyage en 1858 Speke avait été le premier européen à situer le Lac Tanganyika ainsi qu'un second grand lac qu'il baptise Victoria (Nyanza). Il repart en Afrique en 1860 et il faudra attendre Juillet 1862 pour qu'il atteigne les chutes du Ripon, marquant le point de jonction entre le Nil blanc et le lac Victoria. Son récit est publié en Angleterre en 1863 et traduit en français dès l'année suivante dans cette traduction. Très bel exemplaire à la reliure en parfait état et au papier exempt de rousseur.
Londres, , 1790-1792. 13 vol. in-8 de XV-356 pp., 304 pp., 346 pp., 368 pp., 370 pp., 371 pp., 402 pp., 396 pp., 405-(2) pp., 379 pp., (4)-361 pp., (4)-318 pp. ; 352 pp., basane marbrée, dos lisse orné, pièces de titre en maroquin rouge et de tomaison en maroquin vert (reliure de l'époque).
Première édition au format in-octavo de la traduction française de Castéra publiée la même année au format in-quarto. L'édition originale parut à Edimbourg en 1788 sous le titre Travels to discover the Sources of the Nile, in the years 1768, 69, 70, 71 and 72. Un des meilleurs récits de voyages sur l'Afrique. L'explorateur et géographe écossais James Bruce (1730-1794) parcourut une grande partie de l'Éthiopie à la recherche des sources du Nil. Après avoir traversé les îles de l'Archipel ainsi que la Syrie et l'Egypte, il s'attarda en Abyssinie qu'il traversa de part en part. Il y observa la faune, la flore, les moeurs, le commerce, ce qui fait l'objet des trois premiers volumes. Son voyage était consacré à la découverte des sources du Nil, qu'il crut découvrir dans celle du Bahr-el-Azrek. Il visita la Nubie et l'Egypte, dont il traversa les déserts. Le treizième et dernier volume est consacré à l'histoire naturelle. Rousseurs et défauts d'usage mais bon exemplaire sans l'atlas dans une élégante reliure de l'époque.Blackmer, 221 ; Gay, 44 ; Chadenat, 1062.
P., Hachette, 1864 ; in-8. 2ff.-579pp. Portraits de l'auteur et de l'illustrateur en frontispice - 3 cartes hors-texte, nombreuses figures in-texte, dont 40 à pleine page. Demi-chagrin brun, dos à nerfs orné, tranches dorées. Légère décoloration sur les plats, des rousseurs éparses.
Première édition de la traduction française. John Speke avait découvert le lac Tanganika lors d'une expédition en 1858, ainsi qu'un grand lac (le lac Nyanza) qu'il baptise du nom de Victoria. Il repart en Afrique en 1860 pour tenter de confirmer sa découverte, accompagné du capitaine Augustus Grant, auteur des dessins qui illustrent le présent livre. En juillet 1862 ils atteignent enfin les chutes de Ripon où le Nil blanc sort du lac Victoria. Speke connait un grand succès à son retour à Londres, mais sa découverte est contestée. Il publie en 1863 le journal de son voyage, traduit l'année suivante en français.
Milan - Paris, Officina libraria - Musee du Louvre, 2010 ; in-4, broché. 287pp. 363 illustrations noir et couleurs in-texte. Couverture illustrée en couleurs. 1 léger pli au dos. Très bon état.
Ouvrage publié à l'occasion de l'exposition "Mémoré, un empire sur le Nil", présentée au Petit Palais à Paris en mars-septembre 2010. L'empire de Méroé s'est développé sur les rives du Nil, dans l'actuel Soudan entre le IIIe siècle avant notre ère jusqu'au IVe siècle après JC. L'ouvrage retrace l'histoire des découvertes archéologiques de l'antique citée depuis de XIXe siècle jusqu'aux fouilles récentes du XXIe.
Didot | Paris 1803 | 40 x 54 cm | une feuille
Gravure originale in folio, extraite du Voyage dans la Basse et la Haute Egypte de Vivant Denon. Planche composée de 3 vues ainsi décrites par l'auteur : N° 1. L'entrée du Nil dans l'Egypte ; cette vue est une espece de carte qui présente tout à la fois l'aspect d'un site extraordinaire, dans lequel on voit la situation de nombre de points intéressants. Le Nil, après avoir traversé les cataractes, courant du sud-est au nord-ouest, tourne tout-à-coup au nord en traversant un banc de granit, dont il déchausse les roches, et dont son cours est déchiré : diverses oppositions rendent ce paysage aussi varié qu'étrange ; les deux chaînes libyque et arabique, nues, jaunes, brûlées, et sablonneuses, contrastent merveilleusement avec les aiguilles noires et aiguës des roches de granit ; ces rochers, baignés par le courant du fleuve, formant des isles que les alluvions arrosent perpétuellement, se couvrent alternativement de grands arbres et de champs de verdure, à travers desquels on apperçoit des ruines de tous les temps. Ce que l'on voit à droite de l'estampe, sur le premier plan, est ce qui reste d'un monastere des premiers siecles de la catholicité ; au-dessus est la vedette dite des quatre vents, d'où j'ai fait cette vue. C'est au bas de ce premier plan qu'étoit l'antique Contra-Syene, à présent Garbi-Assuan ou Essuen-occidentale ; la grande isle, au milieu du Nil, est l'Éléphantine, aujourd'hui Geziret-él-Sag, l'isle Fleurie ; au milieu, le village moderne ; la partie supérieure de l'isle couverte des ruines des monuments égyptiens ; sur la rive droite du Nil un monument romain qui arrive jusque dans le fleuve, et a résisté à son courant ; c'étoient des thermes, et nous en avions fait une batterie: sur les rochers, au-dessus de ce monument, sont les ruines de la ville arabe du temps des kalifes ; dans le lointain des châteaux, sur des pointes de rochers ; sur la plus grande plate-forme le fort que nous avons construit ; dans la petite vallée et à travers des tombeaux, l'on voit les restes de la route antique qui passoit de Syene au-delà des cataractes, et servoit de communication pour le transport des marchandises de l'Égypte en Éthiopie ; au-devant de tout cela Assuan ou la Syene moderne, ses jardins, et son mauvais château turc. N° 2. La vue pittoresque et perspective du pays, dont le n° i est la carte : le Nil traversant les rochers de granit ; à droite, l'isle d'Éléphantine ; à gauche, la ville arabe ; au-dessous les thermes romains, servant de môles pour le petit port d'Assuan. N° 3. Autre vue, prise du pied des rochers, sur lesquels sont perchées les ruines de l'ancienne ville fortifiée des Arabes au temps des kalifes, où l'on voit encore des inscriptions égyptiennes sur les mamelons de granit qui servoient de base à cette ville ; à gauche de l'estampe le profil de l'isle Eléphantine, les rochers et les revêtissements antiques qui défendent la partie sud des efforts du courant du Nil, et du poids de la masse de ses eaux au temps de l'inondation ; les mamelons de granit couverts d'hiéroglyphes ; une portion de quai, portant les restes d'une galerie ouverte donnant sur le fleuve ; au niveau des eaux du fleuve une porte ouvrant sur un escalier en granit, qui a pu servir de nilometre ; au-dessus une suite de ruines de monuments égyptiens, composés de couloirs ; de petites chambres ornées de sculptures hiéroglyphiques très soignées ; cette continuité de ruines semble aller joindre et arriver aux fabriques qui environnoient un temple, dont on peut voir la vue plus en grand , planche LXVI, n° 3 : les deux pointes qui dominent le tout sont les deux montants d'une superbe porte de granit (voyez planche LXV, n° 1) ; tout-à-fait à droite de l'estampe, parmi les palmiers, une chaîne à pot pour monter l'eau, posée sur une construction contre laquelle est incrusté un bas-relief en marbre blanc, ouvrage romain, représentant la figure du Nil dans la même attitude de celle de la statue de ce fleuve qui est an belvédere à Rome. Quelques rouss
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