L. Toinon & Cie, Saint Germain en Laye mercredi 25 avril 1871, 28 x 48 cm, 6 pages en feuilles.
Reference : 26907
Directeur politique gérant : Léonce Détroyat, et Jehan Valter, secrétaire de la rédaction. Nouvelles du jour : L'Armée suffit : la guerre civile comme despotisme ; La Loi sur la presse ; la Liberté électorale ; Les Volontaires de la Seine commandés par le colonel Valette ; Les Approvisionnements dans Paris ; Les Nouvelles du jour : l'action de l'armée reportée ; Lettres d'un insurgé malgré lui ; Nouvelles générales ; Dernière heure :Rationnement des denrées alimentaires, la Prusse menace d'occuper la capitale si l'insurrection n'est pas vaincue au 1er mai. Supplément : Paris révolutionnaire : M. Rochefort attaque M. Vésinier dans le journal le 'Mot d'ordre ; Fragments de la séance de la Commune de Paris du 22 avril : l'arrestation de Félix Pyat est demandée après sa démission ; Journal officiel de l'insurrection ; Arrestations et perquisitions ; Les Démolitions. Petites déchirures marginales sans atteinte au texte, sinon bon état de conservation. S'ajoutant aux titres déjà existants, plus de 70 journaux sont créés pendant les 70 jours de la Commune. Mais la liberté de la presse est restreinte dès le 18 avril, et le 18 mai le Comité de Salut public interdit les journaux favorables au gouvernement Thiers. Les journaux les plus influents alors sont 'Le Cri du Peuple' de Jules Vallès, 'Le Mot d'ordre' d'Henri Rochefort, 'L'Affranchi' de Paschal Grousset, 'Le Père Duchesne' de Versmersch, 'La Sociale' avec madame André Léo, 'Le vengeur' de Félix Pyat, 'La Commune'. C'est surtout en mai que la lutte contre la presse pro-versaillaise prend de la vigueur : ainsi, entre le 5 et le 18 mai, 21 journaux sont supprimés. Il est bien évident que la presse parisienne pro-communarde ne peut être diffusée en province du fait de la vigilance du gouvernement Thiers. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Le Feu Follet
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L. Toinon & Cie, Saint Germain en Laye mardi 25 avril 1871, 28 x 48 cm, 4 pages en feuilles.
Directeur politique gérant : Léonce Détroyat, et Jehan Valter, secrétaire de la rédaction. Nouvelles du jour : Pourquoi faire ? : M. Thiers se sépare de trois ministres MM. Ernest Picard, Jules Favre et Jules Simon ; La Journée d'hier : Résistance de la Commune dans les forts d'Issy et de Vanves ; Échos parlementaires ; Les Nouvelles du jour : Jules Vallès nommé membre de la commission de l'enseignement par la Commune, grande barricade de sacs de terre place de la Concorde ; Lettres d'un insurgé malgré lui ; Nouvelles générales ; La Commune et les démissions : Lettre de Félix Pyat et du citoyen Briosne ; Paris révolutionnaire ; Faits divers. Petites déchirures marginales sans atteinte au texte, sinon bon état de conservation. S'ajoutant aux titres déjà existants, plus de 70 journaux sont créés pendant les 70 jours de la Commune. Mais la liberté de la presse est restreinte dès le 18 avril, et le 18 mai le Comité de Salut public interdit les journaux favorables au gouvernement Thiers. Les journaux les plus influents alors sont 'Le Cri du Peuple' de Jules Vallès, 'Le Mot d'ordre' d'Henri Rochefort, 'L'Affranchi' de Paschal Grousset, 'Le Père Duchesne' de Versmersch, 'La Sociale' avec madame André Léo, 'Le vengeur' de Félix Pyat, 'La Commune'. C'est surtout en mai que la lutte contre la presse pro-versaillaise prend de la vigueur : ainsi, entre le 5 et le 18 mai, 21 journaux sont supprimés. Il est bien évident que la presse parisienne pro-communarde ne peut être diffusée en province du fait de la vigilance du gouvernement Thiers. - Photos sur www.Edition-originale.com -