L. Toinon & Cie, Saint Germain en Laye vendredi 26 mai 1871, 28 x 43 cm, 6 pages en feuilles.
Reference : 26886
Léonce Détroyat, directeur politique gérant et Jehan Valter, secrétaire de la rédaction. Nouvelles du jour : La Commune jette son dernier cri à l'Hôtel de Ville ; Le Spectre rouge ; Les Criminels de Lèse-liberté ; La Journée du 23 mai : Félix Pyat et Paschal Grousset en Belgique ; Les Barbares ; La Journée du 24 mai : les Tuileries en feu, la maison d'Émile de Girardin cernée, les Fédérés se réfugient aux Halles ; Nos correspondances : souscription alsacienne en faveur de Gambetta ; Dernière heure : le fort de Montrouge au pouvoir de l'armée ; la Préfecture de Police incendiée. En supplément : Compte-rendu analytique de la séance du 24 mai de l'Assemblée nationale : M. Thiers déclare l'insurrection vaincue ; Lettres d'un insurgé malgré lui (Émile Cruzél). ; L'insurrection en Kabylie. Petites déchirures marginales sans atteinte au texte, sinon bon état de conservation. S'ajoutant aux titres déjà existants, plus de 70 journaux sont créés pendant les 70 jours de la Commune. Mais la liberté de la presse est restreinte dès le 18 avril, et le 18 mai le Comité de Salut public interdit les journaux favorables au gouvernement Thiers. Les journaux les plus influents alors sont 'Le Cri du Peuple' de Jules Vallès, 'Le Mot d'ordre' d'Henri Rochefort, 'L'Affranchi' de Paschal Grousset, 'Le Père Duchesne' de Versmersch, 'La Sociale' avec madame André Léo, 'Le vengeur' de Félix Pyat, 'La Commune'. C'est surtout en mai que la lutte contre la presse pro-versaillaise prend de la vigueur : ainsi, entre le 5 et le 18 mai, 21 journaux sont supprimés. Il est bien évident que la presse parisienne pro-communarde ne peut être diffusée en province du fait de la vigilance du gouvernement Thiers. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Le Feu Follet
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L. Toinon & Cie, Saint Germain en Laye vendredi 26 mai 1871, 28 x 43 cm, 6 pages en feuilles.
Léonce Détroyat, directeur politique gérant et Jehan Valter, secrétaire de la rédaction. Contributions de F. Ducuing, Albert d'Englos. Nouvelles du jour : Paris en feu ; Les Opérations militaires : Incendie du Palais des Tuileries ; Les Télégrammes ; A M. Emile de Girardin ; L'Expiation à propos du discours de Thiers "l'expiation par les lois, au nom des lois" ; Les Nouvelles du jour : Prise de Montmartre ; Versailles ; Nouvelles générales ; Dernière heure : Destruction des Tuileries, du Palais-Royal, du Louvre et du ministère des Finances. Supplément dédié au Systèmes militaires de France et de Prusse ; Nouvelles d'Algérie et d'Alsace ; Lettre de Gambetta à Jules Favre. Petites déchirures marginales sans atteinte au texte, légères rousseurs, sinon bon état de conservation. S'ajoutant aux titres déjà existants, plus de 70 journaux sont créés pendant les 70 jours de la Commune. Mais la liberté de la presse est restreinte dès le 18 avril, et le 18 mai le Comité de Salut public interdit les journaux favorables au gouvernement Thiers. Les journaux les plus influents alors sont 'Le Cri du Peuple' de Jules Vallès, 'Le Mot d'ordre' d'Henri Rochefort, 'L'Affranchi' de Paschal Grousset, 'Le Père Duchesne' de Versmersch, 'La Sociale' avec madame André Léo, 'Le vengeur' de Félix Pyat, 'La Commune'. C'est surtout en mai que la lutte contre la presse pro-versaillaise prend de la vigueur : ainsi, entre le 5 et le 18 mai, 21 journaux sont supprimés. Il est bien évident que la presse parisienne pro-communarde ne peut être diffusée en province du fait de la vigilance du gouvernement Thiers. - Photos sur www.Edition-originale.com -