C. Van de Waele, Bruxelles 1919, 18x23cm, broché.
Reference : 23155
Edition originale, un des 145 exemplaires numérotés à la presse, seul tirage avec 5 Arches. Agréable et rare exemplaire du premier ouvrage de l'auteur. Envoi autographe signé de Paul Desmeth à ses amis Lucien et Jérome Becker. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Robert Laffont. 10 mai 1982. In-8. Relié. Très bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 353 pages augmentées de quelques photos en noir et blanc hors texte.. . . . Classification Dewey : 133-Parapsychologie, occultisme et alchimie
Collection Rites et traditions mystérieuses. Sommaire: La pré humanité, Les rites de métamorphose, Les rites morphologiques, Le monde totémique... Classification Dewey : 133-Parapsychologie, occultisme et alchimie
France Loisirs, 1979, in-8°, 346 pp, biblio, cart. éditeur, jaquette illustrée, bon état
Sacrifices humains, immolations symboliques, nécromancie, cannibalisme, etc. La barbarie rituelle à travers les âges et les sociétés. Une fascinante évocation des rites primitifs qui ont inspiré certains usages de la civilisation moderne. — Les rites étranges, ce sont les rites de la mort. Ils concernent aussi bien les funérailles des défunts que la nécromancie, les sacrifices humains que l'immolation symbolique d'une divinité, le cannibalisme que le culte des reliques. Ces rites étranges ne s'expliquent pas par la cruauté ou la superstition. Ils ont eu à l'origine une raison profonde. Laquelle ? C'est à cette question que répond ce livre, qui démontre l'origine psychique de l'homme. Rien de plus fascinant que ces rites qui ont engendré dans le monde une floraison d'usages, de mœurs et d'institutions, de traditions et de cérémonies, de légendes et d'allégories, de symboles et d'idées, par exemple les rois et les reines de carnaval, les voiles noirs de la veuve, le coq du clocher, les feux de joie, la crémaillère, la coupe ou la bouteille brisée (aux inaugurations), etc. Ce livre montre par quels détours imprévus les rites étranges des primitifs ont conduit le monde à la civilisation.
Paris Robert Laffont 1981 Grand In 8 Reliure en skyvertex décoré . Collection " Rites et traditions mystérieuses " . Au sommaire : La pré-humanité - Les rites de métamorphose - Les rites métamorphiques - Le monde totémique - Les cultes sexuels - Le monde matriarcal - Les rites de la mort - Les rites du cerveau - Le culte . Illustrations en noir et blanc hors-texte . Ethnologie et Anthropologie . - 358 p. , 900 gr.
Couverture rigide Comme neuf 1ère Édition
A Liege, 1716 (Petitpied) & 1714 (Maigrot). 8vo. In a very nice Cambridge-style mirror binding with five raised bands and richly gilt spine. Small paper-label pasted on to top of spine. Back board with scracth with loss of leather. Edge of back board with small tear showing the wooden board. Front free end-paper with a few annotation, otherwise a nice and clean copy. XXI, (1), 539 pp. + folded plate (8), 184 pp.
Highly interesting sammelband consisting of two works, both relating to Jesuit affairs and rarely found in the trade: 1 - The second edition of Jouvency’s ‘Histoire de la Compagnie de Jésus’, which was condemned immediately after its publication in 1710 (here all the condemned parts are included) because of its critique of seqular rulers. 2 - First edition of Maigrot’s critique of Jouvency’s view on Chinese religion namely that of the The Chinese rites controversy (c.1582–1742), which wasc a religious quarrel between different Catholic orders over whether it was permissible for Chinese converts to observe traditional rites and use the Chinese terms tian and shangdi to refer to the Christian God. “Rites Controversy debate was most intense in Fujian province where an active group of Christian literati debated with a combative Catholic bishop named Charles Maigrot de Crissey (1652–1730).European missionaries divided largely on the lines of religious orders and nationalities.The Jesuits largely supported the Chinese while the Iberian mendicants (Dominicans and Franciscans) and secular priests were less accommodating. Bishop Maigrot was born and educated in Paris and joined the Society of Foreign Missions of Paris whose missionaries competed with the Jesuits in East Asia.Although Maigrot was resistant to any change in European Christianity,he realized the practical need to study the Chinese language and culture with the assistance of two low-level Chinese literati.Although his linguistic facility remained quite limited,it gave him a false confidence in his knowledge that would eventually cause him great embarrassment. In his interpretation of the Chinese rites,Maigrot relied on the writings of a treatise written by the Dominican missionary Francisco Varo in 1672.Varo took a hard line in prohibiting Chinese Christians from performing ceremonies in honor of their ancestors and Confucius.The Christian literatus Yan Mo (baptized Paul) responded with an essay “Distinguishing Different Forms of Sacrifice” (Bianji) that defended the practice of Christians honoring their ancestors and Confucius.Yan argued that the word for sacrifice (ji) was ambiguous and that it meant different things when it was applied to sacrifices for ancestors, the ancient sages,primary teachers,and the Christian God.He emphasized that one needed to carefully distinguish the internal meaning from the outward ritual because the meaning of “sacrifice”varied with each case.” (Mungello, The Great Encounter of China and the West, 1500-1800)
<p>Rites funéraires catholiques présente et décrit les rites religieux, para religieux et coutumiers dans l'Europe catholique qui se répandent ensuite dans le monde à la faveur de l'évangélisation. Les funérailles, impliquant la communauté, accompagnent les défunts, estompent l'angoisse de la mort, apaisant les survivants. Les rites funèbres se sont structurés, enrichis et adaptés à chaque époque. Au cours des siècles, on assiste à la démocratisation des pratiques mortuaires. Le mort est de moins en moins anonyme, passant de la fosse commune à la tombe personnelle alors que la liturgie s'uniformise. La vie moderne du dernier demi-siècle a imposé des simplifications drastiques et grands nombres de rites et usages encore vivants dans l'Europe rurale de l'après-guerre (1945) ont disparu. Bernard Berthod est né en 1952. Docteur ès Lettres et conservateur du Musée d'art religieux de Fourvière à Lyon, il est membre de l'ICOM Costume depuis 1991, et vice président depuis 2013. Il est historien et spécialiste de l'art liturgique depuis la soutenance de sa thèse sur l'orfèvre lyonnais Armand-Calliat en 1984.</p> Paris, 2019 Fage 96 p., broché. 11,5 x 16,5
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