‎GARCIA LORCA Federico‎
‎3 conférences‎

‎P. Seghers, Paris 1947, 12x19cm, broché.‎

Reference : 19547


‎Edition originale de la traduction française, un des 50 exemplaires numérotés et justifiés par l'éditeur sur Johannot, tirage de tête. Rare et agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

€280.00
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‎LINTILHAC (Eugène).‎

Reference : 62036

(1898)

‎Conférences dramatiques. Odéon (1888-1898). Avec des observations techniques sur l'art de la parole à l'usage des conférenciers et professeurs.‎

‎Paris Ollendorff 1898 1 vol. broché in-12, broché, XII + 402 pp. Edition originale de ce recueil de conférences sur la dramaturgie classique. Un des 25 exemplaires numérotés sur Hollande, seul grand papier, celui-ci portant le n° 2. Petits manques marginaux à la couverture défraîchie. Intérieur propre. Assez bon état.‎


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Phone number : 05 55 14 44 53

EUR30.00 (€30.00 )

‎[Ecole Polytechnique ] - ‎ ‎Collectif ; Ecole Polytechnique‎

Reference : 47724

(1913)

‎Cours d'Art Militaire. Ecole Polytechnique Instruction Militaire. Année 1913-1914 : Génie. Travaux de Campagne. 2 Conférences. Août 1913 [ Capitaine Piquet ] - Aéronautique. Août 1913 [Capitaine Barré ] - Administration. 2 Conférences. Novembre 1913 [ Capitaine Pesseaud ] - Service des Armées en Campagne. 2 Conférences, Novembre 1913 [ Capitaine Morellet ] - Cours d'Artillerie. 3e Partie 3 Conférences, Août 1913 [ Capitaine Morellet ] - L'Officier dans la Nation Armée. Décembre 1913 [ Capitaine Cattin ] - Conférence d'Education Physique. Avril 1914 [ Capitaine Menjaud ] - Conférences à l'Ecole Polytechnique destinées à mettre en évidence les relations qui existent entre la théorie et les application [ Sur les Sous-Marins, avec 2 grandes planches dépliantes ] et 8 planches puis 11 planches dépliantes‎

‎1 vol. grand in-4 reliure demi-basane rouge, Cours d'Art Militaire. Ecole Polytechnique Instruction Militaire. Année 1913-1914 : Génie. Travaux de Campagne. 2 Conférences. Août 1913, 89 pp. [ Capitaine Piquet ] - Aéronautique. Août 1913, 69 pp. [Capitaine Barré ] - Administration. 2 Conférences. Novembre 1913 [ Capitaine Pesseaud ], 43 pp. - Service des Armées en Campagne. 2 Conférences, Novembre 1913, 43 pp. [ Capitaine Morellet ] - Cours d'Artillerie. 3e Partie 3 Conférences, Août 1913, 28-29-42 pp. [ Capitaine Morellet ] - L'Officier dans la Nation Armée. Décembre 1913, 55 pp. [ Capitaine Cattin ] - Conférence d'Education Physique. Avril 1914, 20 pp. [ Capitaine Menjaud ] - Conférences à l'Ecole Polytechnique destinées à mettre en évidence les relations qui existent entre la théorie et les application, 14-30-19-19-29-40 pp. [ Sur les Sous-Marins, avec 2 grandes planches dépliantes ] et 8 planches puis 11 planches dépliantes [ Soit pour l'ensemble de l'ouvrage 21 planches dépliantes ]‎


‎Beau recueil des cours d'Art Militaire donnés à l'Ecole Polytechnique pour l'année 1913-1914. L'ouvrage en bel état a l'intérêt de proposer les cours donnés en matière d'instruction militaire à l'Ecole Polytechnique la veille du premier conflit mondial ; les noms des enseignants ont été rajoutés à l'encre par le Polytechnicien André Boucher. Les "conférences d'applications" qui terminent l'ouvrage sont consacrés à tous les aspects techniques des submersibles‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR390.00 (€390.00 )

‎SOUBIRAN, Yvonne‎

Reference : 54723

(1928)

‎Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎

‎3 cahiers manuscrits dont deux brochés (l'un oblong), 1928, 40 ff. et 1943, 36 ff. et l'autre cartonné (recueil de citations). Rappel du titre complet : Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎


‎Très remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR590.00 (€590.00 )

‎[Librairie Vve Poussielgue-Rusand] - ‎ ‎LACORDAIRE, R.P. Henri-Dominique‎

Reference : 64093

(1860)

‎Oeuvres du R.P. Henri-Dominique Lacordaire de l'ordre des Frères Prêcheurs (6 Tomes - Complet) Tome I : Vie de Saint Dominique précédée du Mémoire pour le rétablissement en France de l'ordre des Frères Prêcheurs ; Tome II : Conférences de Notre-Dame de Paris Années 1835-1836-1843-1844 ; Tome III : Conférences de Notre-Dame de Paris Années 1845-1846 ; Tome IV : Conférences de Notre-Dame de Paris Années 1849-1850-1851 ; Tome V : Conférences de Toulouse suivies de divers opuscules ; Tome VI : Mélanges‎

‎Sixième édition (pour les tomes 1 et 2), 6 vol. in-12 reliure de l'époque demi-basane marron, mention "Abbaye de Royaumont" au dos en queue, Librairie Vve Poussielgue-Rusand, Paris, 1860-1857. Rappel du titre complet : Oeuvres du R.P. Henri-Dominique Lacordaire de l'ordre des Frères Prêcheurs (6 Tomes - Complet) Tome I : Vie de Saint Dominique précédée du Mémoire pour le rétablissement en France de l'ordre des Frères Prêcheurs ; Tome II : Conférences de Notre-Dame de Paris Années 1835-1836-1843-1844 ; Tome III : Conférences de Notre-Dame de Paris Années 1845-1846 ; Tome IV : Conférences de Notre-Dame de Paris Années 1849-1850-1851 ; Tome V : Conférences de Toulouse suivies de divers opuscules ; Tome VI : Mélanges‎


‎Etat très satisfaisant (anciens cachets d'institution religieuse, ex-libris de l'Abbaye de Royaumont, qq. rouss., bon état par ailleurs)‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR195.00 (€195.00 )

‎RICHESOURCE, Jean Oudar, dit.‎

Reference : 27463

(1661)

‎La premiere [-quatriesme] partie des Conférences académiques et oratoires, accompagnées de leurs résolutions. Dans lesquelles on voit le plus bel usage des maximes de la Philosophie & des préceptes de l'Eloquence.‎

‎Paris : rue de la Huchette, chez l'auteur, puis à l'Academie des Orateurs, 1661 -1665 Quatre parties en un volume in-4, collation détaillée sur demande. Veau brun de l'époque, dos à nerfs orné.‎


‎Nombreuses erreurs de pagination sans manque. Première édition. Les Conférences académiques et oratoires sont une série de publications imprimées de 1661 à 1665, qui offrent la transcription de discours prononcés lors de réunions hebdomadaires tenues au domicile de leur fondateur, Richesource, à partir de 1654 ou 1655.Ces conférences étaient des séances ouvertes à un public mixte (hommes et femmes de catégories sociales diverses), consacrée à l'examen d'une question sur laquelle trois ou quatre orateurs se prononçaient successivement. Nombre d'entre elles recoupent des sujets traités dans les comédies de Molière.La bibliographie de ces Conférences reste embrouillée et lacunaire. Notre exemplaire, avec 87 conférences, est l’un des plus complets rencontrés - la plupart ne comporte qu’une ou deux parties réunies. Il nous manque cependant 12 feuillets dans la première partie : les cahiers A4 (première conférence), R4 et Gg4, ainsi que le frontispice et feuillet de titre de la seconde partie, en pagination continue avec la première. « Leur fondateur s’appelait de son vrai nom Jean Oudart, patronyme qu’il semble avoir troqué […] contre un titre plus reluisant tel que sieur de La Sourdière ou du Sourdier, avant de prendre le patronyme de Richesource. Compatriote de Théophraste Renaudot, né comme lui, mais quelques trente ans plus tôt à Loudun dans une famille huguenote, il était venu tenter sa chance à Paris, comme professeur d’éloquence et de philosophie. Les Conférences du bureau d’adresse, interrompues depuis 1642, lui donnèrent l’idée de marcher sur les traces du célèbre gazetier et de reprendre ces assemblées, mais de les tourner moins vers les sciences… Gratuites, ces Conférences académiques étaient subventionnées sans doute par le Surintendant Fouquet, sous la protection duquel, dès leur fondation, elles durent être mises et par qui furent assumés probablement les frais entraînés par leur organisation. Quand les discours qui s’y prononçaient purent paraître en fascicules hebdomadaires puis en recueils annuels, entre 1660 et 1666, leur financement fut assuré par la vente au numéro, chez Richesource […]. Lorsque l’étoile de Fouquet déclina, laissant présager une disgrâce prochaine », Richesource, guidé par son flair, profita d’une Assemblée du Clergé qui se tient en 1660 pour s’assurer de nouveaux subsides auprès des évêques, car il avait, prudemment, comme Renaudot, abjuré son protestantisme originel […]. » (J. P. Collinet, "Une institution sous-estimée : les Conférences académiques de Richesource", Travaux de Littérature, L’Ecrivain et ses institutions, 2007) Sgard n° 216.‎

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