Calmann-Lévy | Paris 1878 | 15 x 20 cm | broché
Reference : 16175
Edition originale, un des rares exemplaires sur Chine dont il n'est fait nulle mention ni dans le 'Talvart', ni dans le 'Carteret' et ni dans le 'Clouzot'. Dos fendillé, une pâle mouillure affectant marginalement les témoins. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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STOCK. NON DATE. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 64 pages augmentées de nombreuses illustrations et photos en noir et blanc dans et hors texte. . . . Classification Dewey : 305.4-La femme
REVUE BIMESTRIELLE - Sommaire : Maisons - bureaux - métros / Allées et venues / Fugues / La Rue comme ça / journal d'une femme d'intérieur / Hammam / vous ne passerez pas / Isabelle Eberhart, nomade / une libido géographique / des marques et des traces / la prison de verre... Classification Dewey : 305.4-La femme
Le Journal de la femme. 1939. In-Folio. En feuillets. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Papier jauni. 16 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc dans le texte. Texte sur plusieurs colonnes. Journal légèrement déchiré au niveau du dos.. . . . Classification Dewey : 70.1-Journaux
Aux frontières de l'empire, deux femmes chez les Muong - Le mystère des masques - Silence, on tourne, Quand le cercle polaire passe à Joinville le Pont - Les conseillers de la femmes... Classification Dewey : 70.1-Journaux
Le Journal de la femme. 1939. In-Folio. En feuillets. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Papier jauni. 16 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc dans le texte. Texte sur plusieurs colonnes. Page 3, un article a été découpé en bas de page.. . . . Classification Dewey : 70.1-Journaux
Tricots d'été, robes de lin et de soie - Les drames de la vie - Et le rêve devient réalité.. - Divorcée sans le savoir. Classification Dewey : 70.1-Journaux
Paris, Javal et Bourdeaux, (1926). Un vol. au format in-4 (333 x 258 mm) de 309 pp., broché, sous couverture à rabats rempliés.
Tirage unique à 195 exemplaires. Il s'agrémente de 20 superbes eaux-fortes originales de Lobel-Riche, tirées par ses soins. Chacune se trouve ici en un seul et unique état (le colophon en mentionne trois) et est pourvue de larges remarques. ''Le 14 septembre 1898, Célestine R. prend sa nouvelle place au Mesnil-Roy, en Normandie, et décide de tenir son journal. « Mon intention, écrit-elle, est de n’employer aucune réticence, pas plus visà- vis de moi-même que vis-à-vis des autres » : les turpitudes de ses maîtres seront donc férocement montrées. D’abord conçu comme une étude de la condition domestique et une satire des moeurs bourgeoises, Le Journal d’une femme de chambre que Mirbeau s’est élargi en une dénonciation de l’intolérance qui a conduit à la condamnation de Dreyfus, et la satire bascule du côté de la diatribe. Au moment de sa parution, l’emportement impudique qui traverse le roman scandalise la critique, qui en dénonce les ignominies et n’en rend compte qu’à regret. Mais aujourd’hui, nous pouvons regarder sans moralisme la fureur dévastatrice du livre et son esthétique du monstrueux, et y voir la preuve, bien plutôt, de l’éclatante puissance littéraire de Mirbeau.'' ''Les compositions de Lobel-Riche, d'où émanent froideur et cruauté, nous livrent des figures féminines au dessin irréprochable, somptueusement mises à la dernière mode du temps, dans la mouvance de Rops, mais qui font davantage songer au demi-monde qu'à la bonne société décrite par Barbey.'' (in Centorame). ''Ce texte n'a jamais cessé de m'inspirer la plus motivée, la plus vive admiration et m'a toujours suggéré une source d'images puissamment humaines et parfaitement en accord avec mon tempérament de compositieur''. (Lobel-Riche, cité in Centorame). «Lobel-Riche fut toujours un artiste profondément attiré par les disciplines éprises de calme et d'équilibre, que la beauté féminine domine quand elle a dépassé les créations un peu faciles de la galanterie. Dans le monde de ses dessins classiques et savants dans leur classicisme, la lumière originelle est celle de la beauté conçue dans les mythologies esthétiques.» (Pierre Mac-Orlan). ''Bien que son oeuvre soit suffisamment variée puisqu'elle comporte des scènes de la guerre de 1914 et des aspects du Maroc, Lobel-Riche est surtout connu du grand public pour ses études sur le monde de la galanterie ; les bibliophiles ont aussi fait cas de ses nombreuses illustrations.'' (in Benezit). Monod II, Manuel de l'amateur de livres illustrés modernes, 8207 - Bénézit VI, Dictionnaire des peintres - Osterwalder II, Dictionnaire des illustrateurs, p. 718. Premiers cahiers légèrement déréglés. Quelques rousseurs dans le corps d'ouvrage ; davantage marquées aux feuillets liminaires ainsi que sur quelques planches.
Édition originale. Un des 20 premiers exemplaires réimposés sur chine. Reliure signée de Marius Michel. Paris, Fasquelle, 1900. 1 vol. (165 x 255 mm) de 1 f., [4] et 519 p. Maroquin brun, dos à nerfs orné de filets à froid, tranches dorées sur témoins, filets à froid sur les coupes, contreplat à encadrement orné d'un jeu de sept filets, couverture conservées (reliure signée de Marius Michel). Édition originale. Un des 20 premiers exemplaires réimposés sur chine (n° 18).
Une première version du Journal d’une femme de chambre avait paru en feuilleton, dans L’Écho de Paris du 20 octobre 1891 au 26 avril 1892. Une deuxième version, fortement remaniée, reparaît dans la dreyfusarde Revue blanche au cours de l’hiver 1899-1900 ; et c’est à partir d’elle que sera établie l’édition en volume chez Charpentier-Fasquelle en juillet 1900. Le Journal est dédié à Jules Huret, qui avait publié dans son Enquête sur l’évolution littéraire (1891) le récit d’une conversation qu’il avait eu avec Octave Mirbeau quelque temps avant la publication en feuilleton. Dix ans plus tard, l’écrivain lui offrira un exemplaire sur chine du roman publié, « un violent réquisitoire contre les maux dont souffre la société moderne [qui] unit la satire des mœurs familiales à une assez trouble sensualité » (Dictionnaire des Œuvres, III, 854). Quatre adaptations en ont été faites au cinéma – dont celle, célèbre, de Bunuel, et plusieurs dizaines d’adaptations au théâtre, en France et à l’étranger. Signalons qu’il existe quelques exemplaires imprimés sur papier jonquille, au moins deux (exemplaire Pierre Bergé, sans provenance, et exemplaire Sicklès/Heilbronn, pour Jean Richepin). Mirbeau possédait, pour lui et son épouse, des exemplaires sur chine. De la bibliothèque Raoul Simonson, avec ex-libris.