Gallimard, 2022. In/8 broché, couverture imprimée, 183 pages. Établie par Pascal Fouché, avant-propos de François Gibault.
Reference : 33979
ISBN : 9782072983221
"Parmi les manuscrits de Louis-Ferdinand Céline récemment retrouvés figurait une liasse de deux cent cinquante feuillets révélant un roman dont l'action se situe dans les Flandres durant la Grande Guerre. Avec la transcription de ce manuscrit de premier jet, écrit quelque deux ans après la parution de Voyage au bout de la nuit (1932), une pièce capitale de l'oeuvre de l'écrivain est mise au jour. Car Céline, entre récit autobiographique et oeuvre d'imagination, y lève le voile sur l'expérience centrale de son existence : le traumatisme physique et moral du front, dans l'"abattoir international en folie". On y suit la convalescence du brigadier Ferdinand depuis le moment où, gravement blessé, il reprend conscience sur le champ de bataille jusqu'à son départ pour Londres. À l'hôpital de Peurdu-sur-la-lys, objet de toutes les attentions d'une infirmière entreprenante, Ferdinand, s'étant lié d'amitié au souteneur Bébert, trompe la mort et s'affranchit du destin qui lui était jusqu'alors promis. Ce temps brutal de la désillusion et de la prise de conscience, que l'auteur n'avait jamais abordé sous la forme d'un récit littéraire autonome, apparaît ici dans sa lumière la plus crue. Vingt ans après 14, le passé, "toujours saoul d'oubli", prend des "petites mélodies en route qu'on lui demandait pas". Mais il reste vivant, à jamais inoubliable, et Guerre en témoigne tout autant que la suite de l'oeuvre de Céline." Fermeture de la Librairie du 30/12/2025 au 11/01/2026
Librairie ancienne Philippe Lucas
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Fayard 1983 663 pages in8. 1983. Broché. 663 pages. un tampon La guerre dit Alain naît des passions. Assurément celle de 14-18 ne peut se réduire à un jeu de causalités politiques ou économiques. Aujourd'hui encore elle n'a pas fini de susciter des réactions passionnelles que l'on parle des mutineries françaises ou des crimes de guerres allemands. On ne met pas impunément en ligne des millions d'hommes sans que dans toute l'Europe les traces n'en soient profondément inscrites dans plusieurs générations.La grande guerre était déjà totale et doit être envisagée aujourd'hui comme telle. Elle a eu dans l'horreur un rôle pionnier. Les innovations scientifiques de la civilisation industrielle ont permis d'envoyer sans crier gare de nombreuses victimes au fond de l'Océan dans les hôpitaux des gazés par milliers dans les camps de concentration les premiers déportés et les populations déplacées sans oublier le génocide des Arméniens. De ce point de vue la Grande Guerre n'est pas du XIXème siècle elle est bien du nôtre de l'atroce XXème siècle.On l'appelle aussi Première Guerre mondiale . Elle le mérite à plus d'un titre. D'abord parce qu'elle a justifié en partie la prédiction de Lénine : elle a bien engendré la révolution - dans un seul pays il est vrai. Ensuite parce qu'elle a fait franchir l'océan à près de deux millions d'Américains ce qui pour les adeptes de la doctrine de Monroë constituait une première.Le propre de cette guerre est d'avoir confronté plus que rapproché dans la mort des peuples jusque-là dominés par des empires ou des alliances plus ou moins inégales. Ce que l'on appelle d'un mot peu clair l'impérialisme tenait en 1914 les peuples d'Europe et du Moyen-Orient dans un carcan serré de contraintes. Le carcan avec la guerre a volé en éclats.La Grande Guerre a éveillé contre les rapports inégaux de peuples inégaux un formidable désir de liberté. De ce point de vue aussi elle est résolument moderne. Ajoutons que pour nous elle reste par excellence une guerre française. Notre peuple a participé jusqu'à l'épuisement avec un étonnant esprit de sacrifice mais aussi avec une efficacité cardinale à un grand mouvement de l'Histoire
Bon Etat dos un peu creusé intérieur propre
Maurice CAUWE, Ingénieur commercial U.L.B., Président honoraire de GB-INNO-BM.
Reference : 81230
(1982)
Paris, 1982, in-4, broché, 326 & 430p. La création des hypermarchés en Belgique est l'œuvre de Maurice Cauwe (1905-1985).Texte ronéotypé. INEDIT. Exceptionnel document historique sur l'évolution chronologique de la grande distribution en Belgique. Maurice Cauwe retrace jour après jour l'avènement du Grand Bazar d'Anvers et l'histoire des premiers hypermarchés en Belgique à travers l'impact des évènements historiques, politiques et économiques. Il rend compte de façon exhaustive de toutes les actions, motivations, tâtonnements, expériences, raisonnements et des résultats économiques du groupe. Le 1er chapitre est consacré au récit de la naissance du Grand Magasin en 1882, ainsi qu'à ceux ouverts parallèlement en France par Boucicaut. Suivent l'historique du GBA et du Bon Marché dans les années 30 (émergence et influence du modèle américain de la vente en self-service), les répercussions de la Seconde Guerre Mondiale sur le ravitaillement et l'évolution des stocks, le voyage déterminant en 1948 aux Etats-Unis (il y retournera 33 fois jusqu'en 1981 !). Chaque fait est minutieusement relaté, de la prospection en camion dans les campagnes en 1939, des études de marché, de la publicité, à la nécessité de développer des emballages pour la vente à prix fixe dans les années après guerre, en passant par les premières ventes de postes de télevision en juin 1950 à des clients belges qui ne captent que les chaînes hollandaises, la télévision belge n'existant pas encore... ou le 68e aniversaire du GB : "distribution de tartelettes toutes les 68 minutes" ! M. Cauwe n'omet aucune information, d'où la densité et la richesse du document. Le 28 juin 1971 il fonde la pemière chaîne de fast-food belge: GB Quick au GB center de Schoten, "première entreprise belge à adopter cette formule de restauration. Il faudra plusieurs années pour qu'elle porte ses fruits". On joint l'ouvrage de Jacques Dopchie (neveu de M. Cauwe, ingénieur commercial qui rejoint le GB en avril 1953, il deviendra directeur des ventes, dir. général du Supermarché GB et de Superbazar) qui reprend le titre de M. Cauwe "GB La rage de grandir", paru aux Editions Racine en 2004. Il y retrace dans une présentation plus thématique, l'évolution de la grande distribution du GB. TABLE DES MATIERES : 1ere partie. Avant-propos et justification - Hommages et remerciements - Synthèse par période - résultats - Carrière de Maurice CAUWE Chapitre I NAISSANCE DU GRAND MAGASIN : LE BON MARCHE DE PARIS - 1852 Chapitre II L'AFFAIRE FAMILIALE : LA MAISON UNIVERSELLE A GAND (1882) -LE GRAND BAZAR DU BON MARCHE A ANVERS (1884) 27 Chapitre III 1920 - 1931 LA SOCIETE ANONYME : LES GRANDS BAZARS REUNIS ANVERS ET GAND Chapitre IV 1932 - 1939 L'AVANT-GUERRE : LES GALERIES DU BON MARCHE (NOUVELLE RAISON SOCIALE) LUTTENT POUR LEUR REDRESSEMENT Chapitre V 1940 - 1945 LA DEUXIEME GUERRE MONDIALE : LE GRAND BAZAR D'ANVERS (NOUVELLE RAISON SOCIALE) LUTTE POUR LE RAVITAILLEMENT DE SA CLIENTELE 2ème partie. 1946-1962 LA DECOUVERTE DE L'AMERIQUE - LA REVOLUTION DANS LA DISTRIBUTION Chapitre VI 1946-1951 L'APRES-GUERRE LA DECOUVERTE DE L'AMERIQUE 5 Chapitre VII 1952-1957 A LA POURSUITE DU MILLIARD Chapitre VIII 1958-1962 LA REVOLUTION DANS LA DISTRIBUTION.
"AVANT-PROPOS ET JUSTIFICATION Une chronique, dit le Larousse, est l'histoire dans laquelle les faits sont enregistrés dans l'ordre de leur succession. Pourquoi cette chronique, m'a-t-on demandé ? Qui va-t-elle intéresser ? Il existe déjà un HISTORIQUE DU GRAND BAZAR D'ANVERS par Auguste-Pierre DESLANDES (A.P. DESLANDES, président honoraire de la s.a. LE GRAND BAZAR D'ANVERS : HISTORIQUE DU GRAND BAZAR D'ANVERS 1885 - 1968. Anvers, 1972. ). C'est vrai, mais c'est que j'ai vécu, je pense, une histoire assez fantastique. Une petite entreprise provinciale, sur le point de déposer son bilan, occupant 800 personnes et réalisant 58 millions de chiffre d'affaires en 1932, est devenue, en 1974, la première entreprise de distribution belge, avec un chiffre d'affaires de 30,8 milliards et occupant 13.000 personnes. Ce furent quarante-deux années de travail opiniâtre, de labeur incessant, de petites tâches, de petits événements, aux objectifs limités comme dans les années 1932 à 1939; puis il y eut le choc de la guerre 1940-45, une rupture avec les règles traditionnelles, des risques encourus et exaltants, le jeu du chat et de la souris, bien que souvent l'angoisse serrait le coeur. Après la tourmente, il y eut en 1948, un voyage d'études extraordinaire aux Etats-Unis et la découverte du Nouveau Monde, qui déclencha en moi un mécanisme créateur. J'ai vu à ce moment, avec enthousiasme, la merveilleuse possibilité d'introduire en Belgique les méthodes nouvelles découlant notamment de la révolution commerciale née du libre-service et du développement de l'automobile. Ce voyage fut suivi de plus de trente autres voyages aux Etats-Unis et de bien d'autres pour les cadres de la société. J'ai oeuvré avec obstination pour que le GRAND BAZAR D'ANVERS soit le premier ou parmi les premiers à réaliser ce que je voyais d'étonnant dans le monde. Un travail de pionnier dans divers domaines et sans idée préconçue devait nous permettre de réussir. J'ai eu la chance, par la parole et par l'écrit, d'arriver à convaincre ceux qui devaient jouer un rôle et participer à cette grande épopée : conseils d'administration, actionnaires, directeurs, cadres, collaborateurs, financiers, fournisseurs, car la réussite est un travail d'équipe. De 1948 à 1960, alors que le GRAND BAZAR D'ANVERS sortait de la stagnation, ce sont les expériences et les premiers pas dans divers domaines, puis, avec la liberté commerciale retrouvée grâce à l'abolition de la loi de cadenas, c'est, à partir de 1960, la perspective de conquérir par des diversifications, un marché national. Avec une hâte fébrile, nous allons lancer les formules extraordinaires du libre-service, du supermarché et, les premiers en Europe, de l'hypermarché. Toutes les équipes constituées au fur et à mesure de la croissance de l'entreprise concourent avec foi et diligence à la réalisation des objectifs successifs. Trois années de lutte, de 1961 à 1964, sont nécessaires pour surmonter, jour après jour, les difficultés que l'on rencontre en lançant des formules nouvelles aux résultats quelquefois négatifs. Mais ensuite, avec la percée réussie, c'est l'exploitation du succès et la victoire exaltante -nous devenons la première'entreprise de distribution du pays. Viendront alors des menaces de restriction émanant des classes moyennes et des pouvoirs publics qui, en 1972, décident d'arrêter l'expansion des grandes surfaces. Nous luttons âprement pour empêcher ce blocage, mais avec un succès limité. Il y eut aussi des demi-réussites et des échecs; nous ne réussissons pas l'expansion par grands magasins en Hollande ni l'introduction des motels en Belgique, nous ne pouvons pas convaincre des partenaires français de réaliser une expansion par hypermarchés en France. Les grands événements politiques et militaires qui ont marqué notre époque sont mentionnés dans la présente chronique parce qu'ils ont eu de l'influence sur l'économie et sur nos propres jugements et comportements. En 1973 et 1974, des initiatives diverses se font jour pour que GB ENTREPRISES envisage un rapprochement avec le groupe INNO-BM-PRIBA. Ce groupe, résultat d'une fusion de trois entreprises de distribution : l'INNOVATION, le BON MARCHE et PRIBA, est animé par le baron François VAXELAIRE. Son chiffre d'affaires en 1973 est de 22,1 milliards de francs et son bénéfice net de 125 millions. Le chiffre d'affaires de GB ENTREPRISES en 1973 est de 28,1 milliards et son bénéfice de 330 millions. La réunion des deux sociétés se réalisera avec effets au 1er janvier 1974 et va conduire à la constitution d'une entité de taille européenne sous le nom GB-INNO-BM au chiffre d'affaires de 50,2 milliards en 1974. Ce chiffre dépassera le cap des 100 milliards en 1980 et de 120 milliards en 1983. Relater ces faits, rechercher les motivations, expliquer les actions, montrer les raisonnements et les résultats, mois par mois, année par année, c'est l'objet de cette chronique dédiée à toutes les equipes des entreprises. C'est un hommage à tous nos collaborateurs. J'ai voulu sauver de l'oubli les mille faits qui ont contribué à l'oeuvre commune. J'ai tenté d'expliquer le pourquoi des décisions et la raison des résultats obtenus, essayé de décrire le cheminement de la pensée, de situer l'action des hommes et de retracer notre environnement. J'ai eu aussi grand plaisir à me remémorer, grâce à quarante ans de documents accumulés, ce qui a fait l'entreprise. Un chirurgien, le docteur COUVELAIRE, disait "C'est tellement amusant pour soi de raconter sa vie", SIMENON, dans ses "dictées", a écrit : "à partir de septante ans, les préoccupations sont différentes, 'Père de la création intense est terminée et on se penche naturellement sur son passé et ainsi on se raconte". L'essai de la présente chronique semble confirmer ces observations. Et si par la persévérance qu'elle montre dans l'effort pour bâtir et réaliser une oeuvre utile, elle peut éclairer et convaincre un lecteur et l'amener, lui aussi, au succès, elle n'aura pas été inutile. L'exposé des événements s'effectue sous la forme d'un historique de 1882 à 1931. A partir de 1932, date de mon entrée au GRAND BAZAR d'Anvers, l'exposé se présente sous la forme d'une chronique, c'est-à-dire selon l'ordre chronologique des faits évoqués (1). Cette chronique, prévue jusqu'en 1982, s'achève fin 1972 par suite du décès de l'auteur en 1985. " Pliure sur le rodhoïd de couverture. Bon état. NB : En ces derniers jours de l'année, les questions et commandes sont traitées dans les 24h et les envois reprendront à partir du 5 janvier. Merci.
Gallimard / Nrf essais 1995 304 pages in8. 1995. Broché jaquette. 304 pages. La guerre est de retour parmi nous. Nous l'avions presque oubliée bien qu'elle fût le lot commun de tous les siècles. Mais pendant cinquante ans l'assurance de la mort nucléaire pour tous a tenu la guerre en lisière. La peur n'est peut-être plus l'unique antidote contre la guerre. A l'exemple de la construction européenne les pays cherchent la paix en se liant étroitement les uns aux autres par des règles et des intérêts communs. Comme si la guerre pouvait être prise dans les filets de l'intégration par le droit et l'économie. Cet espoir est vain. Au mieux il répondrait aux conflits d'hier pas à ceux de demain. Car désormais les guerres ne naissent pas de la puissance des Etats mais de leur faiblesse. L'enjeu de la paix c'est la légitimité des Etats : dans nombre de pays ils n'incarnent rien ni personne et sont trop faibles pour s'imposer face aux organisations internationales comme l'ONU ou le FMI. Faute d'Etats qui symbolisent l'évidence d'être ensemble les nations se replient sur une identité exacerbée se fragmentent en Etats nouveaux toujours plus petits et plus faibles : en trente ans leur nombre a doublé. Et les règles du droit international comme les bénéfices de l'économie mondiale ne les concernent guère. Notre conception de la guerre forgée au fil de siècles de conflits de souveraineté se révèle déjà inadaptée à ces guerres de légitimité. La multiplication de celles-ci nous imposent une priorité : consolider des Etats légitimes seuls capables de tracer un destin pour ceux qu'ils représentent. A défaut la panne des Etats assurera le bel avenir de la guerre
Bon Etat
Gallimard / Nrf essais 1995 304 pages in8. 1995. Broché jaquette. 304 pages. La guerre est de retour parmi nous. Nous l'avions presque oubliée bien qu'elle fût le lot commun de tous les siècles. Mais pendant cinquante ans l'assurance de la mort nucléaire pour tous a tenu la guerre en lisière. La peur n'est peut-être plus l'unique antidote contre la guerre. A l'exemple de la construction européenne les pays cherchent la paix en se liant étroitement les uns aux autres par des règles et des intérêts communs. Comme si la guerre pouvait être prise dans les filets de l'intégration par le droit et l'économie. Cet espoir est vain. Au mieux il répondrait aux conflits d'hier pas à ceux de demain. Car désormais les guerres ne naissent pas de la puissance des Etats mais de leur faiblesse. L'enjeu de la paix c'est la légitimité des Etats : dans nombre de pays ils n'incarnent rien ni personne et sont trop faibles pour s'imposer face aux organisations internationales comme l'ONU ou le FMI. Faute d'Etats qui symbolisent l'évidence d'être ensemble les nations se replient sur une identité exacerbée se fragmentent en Etats nouveaux toujours plus petits et plus faibles : en trente ans leur nombre a doublé. Et les règles du droit international comme les bénéfices de l'économie mondiale ne les concernent guère. Notre conception de la guerre forgée au fil de siècles de conflits de souveraineté se révèle déjà inadaptée à ces guerres de légitimité. La multiplication de celles-ci nous imposent une priorité : consolider des Etats légitimes seuls capables de tracer un destin pour ceux qu'ils représentent. A défaut la panne des Etats assurera le bel avenir de la guerre
Bon Etat tranche inférieure salie
Editions de La Martinière 2000 179 pages in8. 2000. Relié. 179 pages. Isabel Ellsen a d'abord été journaliste de presse écrite au magazine Elle puis au Journal du dimanche. Des années de train-train quotidien. "Un jour j'ai tout quitté pour devenir photographe photographe de guerre." Un choix singulier autant par goût que par curiosité dans l'enthousiasme l'excitation l'appréhension aussi."On va à sa première guerre comme à un premier rendez-vous amoureux." Isabel Ellsen a voulu voir la guerre. Elle a vu. Elle a couvert les conflits au Liban en Afghanistan en Israël en Chine au Nicaragua en Yougoslavie trimbalant avec elle son barda de photographe grand reporter "la peur vissée au ventre le boîtier à portée de la main l'index sur le déclencheur...". Accompagné de quelques-unes de ses photographies en noir et blanc Je voulais voir la guerre est le récit personnel de cette expérience de la guerre avec ses horreurs sa violence sa misère toute son absurdité. Une manière pour l'auteur "d'apprendre à aimer la vie. C'est fait". Non sans mal. --Céline Darner
Bon Etat avec jaquette intérieur très frais