Editions d'art H. Piazza, Paris, 1937. 2 volumes in/8 (21 x 16 cm) broché, couverture rempliée, sous étui cartonné, illustrations couleurs de Henri Vallette : 70 compositions en couleurs dont 10 hors-texte, 278 p. & 350 pages. Tiré à 335 exemplaires.
Reference : 26284
Monod notice 6723.
Librairie ancienne Philippe Lucas
M. Philippe Lucas
9 Quai de la Pêcherie
69001 Lyon
France
04 78 30 94 84
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<meta charset="utf-8"><span data-mce-fragment="1">On ne sait pas toujours que Jean de la Fontaine doit aussi une partie de son inspiration à Ibn al-Muqaffa’, iranien du VIIIème siècle et à ses fables animalières de Kalila et Dimna, elles-mêmes issues du livre indien du Panchatantra. L’Orient utilisait les fables pour rendre évidente cette morale humaine que La Fontaine a portée à son pinacle. Au XIXème siècle, le diplomate français Félix Sébastien Feuillet de Conches rêve d’un projet fou : il envoie à ses correspondants des recueils des Fables de La Fontaine pour les faire illustrer par les artistes locaux. Il reçoit des peintures typiques d’Égypte, de Perse, d’Abyssinie, de Chine, d’Inde, du Japon… Un trésor d’illustrations conservé au musée Jean de la Fontaine à ChâteauThierry et qui n’avait jamais été publié ni révélé au grand public.</span> 2022 Orients éditions 383 p., illustrations couleur, cartonnage éditeur sous jaquette. 16 x 24,5
Neuf
DE LA FONTAINE Jean, FEUILLET DE CONCHES Felix et MIQUEL André.
Reference : 26116
ISBN : 9791093315348
<meta charset="utf-8"><span data-mce-fragment="1">On ne sait pas toujours que Jean de la Fontaine doit aussi une partie de son inspiration à Ibn al-Muqaffa’, iranien du VIIIème siècle et à ses fables animalières de Kalila et Dimna, elles-mêmes issues du livre indien du Panchatantra. L’Orient utilisait les fables pour rendre évidente cette morale humaine que La Fontaine a portée à son pinacle. Au XIXème siècle, le diplomate français Félix Sébastien Feuillet de Conches rêve d’un projet fou : il envoie à ses correspondants des recueils des Fables de La Fontaine pour les faire illustrer par les artistes locaux. Il reçoit des peintures typiques d’Égypte, de Perse, d’Abyssinie, de Chine, d’Inde, du Japon… Un trésor d’illustrations conservé au musée Jean de la Fontaine à ChâteauThierry et qui n’avait jamais été publié ni révélé au grand public.</span> Paris, 2022 Orients éditions 381 p., nombreuses illustrations couleur, cartonné. 16 x 24
Neuf
<meta charset="utf-8"><span data-mce-fragment="1">On ne sait pas toujours que Jean de la Fontaine doit aussi une partie de son inspiration à Ibn al-Muqaffa’, iranien du VIIIème siècle et à ses fables animalières de Kalila et Dimna, elles-mêmes issues du livre indien du Panchatantra. L’Orient utilisait les fables pour rendre évidente cette morale humaine que La Fontaine a portée à son pinacle. Au XIXème siècle, le diplomate français Félix Sébastien Feuillet de Conches rêve d’un projet fou : il envoie à ses correspondants des recueils des Fables de La Fontaine pour les faire illustrer par les artistes locaux. Il reçoit des peintures typiques d’Égypte, de Perse, d’Abyssinie, de Chine, d’Inde, du Japon… Un trésor d’illustrations conservé au musée Jean de la Fontaine à ChâteauThierry et qui n’avait jamais été publié ni révélé au grand public.</span> 2021 Orients éditions 383 p., cartonnage éditeur. 16 x 24,5
Neuf
<p>« Une de mes plus tenaces ambitions d’éditeur avait été de publier les Fables de La Fontaine dignement illustrées. C’est au peintre russe Marc Chagall que je demandai l’illustration du livre. On ne comprit pas ce choix d’un peintre russe pour interpréter le plus français de nos poètes. Or c’est précisément en raison des sources orientales du fabuliste, que j’avais songé à un artiste à qui ses origines et sa culture rendaient familier ce prestigieux Orient. Mes espérances ne furent pas déçues : Chagall fit une centaine de gouaches éblouissantes . Ainsi se souvient Ambroise Vollard, le célèbre marchand d’art qui, en 1925, confie à Marc Chagall ce projet. L’artiste réalise une centaine de gouaches en couleurs pour préparer le travail de gravure en noir et blanc, s’inspirant de sa culture russe et de la richesse des paysages français. Bien plus qu’un projet éditorial, cette commande est pour Marc Chagall un passeport vers la France, qui l’inscrit et l’enracine dans les pas des artistes et des écrivains français. Pendant la création des gouaches, sa femme Bella lui lit à haute voix les Fables, parlant à son imaginaire et à son inspiration. Le décès d’Ambroise Vollard en 1937 interrompt la publication de l’ouvrage, qui ne paraîtra qu’en 1952, à l’initiative de Tériade. Ce coffret célèbre ce dialogue entre deux artistes exceptionnels, La Fontaine, d’une part, aujourd’hui le plus connu des poètes français du xviie siècle, styliste éblouissant et moraliste de la nature humaine ; et Marc Chagall, d’autre part, qui livre sa vision onirique et personnelle des Fables, nourrie par les paysages enneigés de Vitebsk et par un animisme hérité des traditions hassidiques d’Europe de l’Est, ponctuée des couleurs et des atmosphères de la Bretagne, de l’Auvergne et du midi de la France. Réalisé en collaboration avec le Comité Marc Chagall, ce coffret rend hommage à cette rencontre artistique originale, à travers une soixantaine de gouaches magnifiques, accompagnées pour la première fois de leurs gravures. Il est complété d’un livret explicatif qui relate la genèse et le sens de ce dialogue entre les deux artistes.</p> Paris, 2019 Hazan 220 p., 1 fascicule broché, relié sous emboitage. 18,5 x 23
Neuf
Jules Tallandier éditeur, Paris, s.d (1906). In folio en percaline éditeur illustrée, doré sur tête, 310 illustrations de B. Rabier dont 85 en couleurs, 315 pages. Coiffes et coins amortis et usés
Benjamin Rabier né le 30 décembre 1864 à La Roche-sur-Yon, mort le 10 octobre 1939 à Faverolles (Indre), illustrateur et auteur de bande dessinée français, qui s’est notamment rendu célèbre pour le dessin de La vache qui rit, et pour le personnage du canard Gédéon.