Edition de la nouvelle revue, Paris, 1924. Petit in/8 broché, frontispice et autographe, 77 pages.
Reference : 12478
Maurice Barrès, né le 19 août 1862 à Charmes (Vosges) et mort le 4 décembre 1923 à Neuilly-sur-Seine (Seine), est un écrivain et homme politique français, figure de proue du nationalisme français.
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Nancy, Université de Nancy, 1963 ; grand in-8, 334 pp. + frontispice, broché. Maurice Barrès est né en 1862 à Charmes (Vosges) et mort le 4 décembre 1923 à Neuilly-sur-Seine (Seine), est un écrivain et homme politique français, figure de proue du nationalisme français. Le premier axe de sa pensée est « le culte du Moi ». Il affirme que notre premier devoir est de défendre notre moi contre les « Barbares », c'est-à-dire contre tout ce qui risque de l'affaiblir dans l'épanouissement de sa propre sensibilité. Le second axe est résumé par l'expression « la terre et les morts » qui témoignent de l'évolution de Maurice Barrès vers le nationalisme républicain et le traditionalisme, l'attachement aux racines, à la famille, à l'armée et à la terre natale. Il est resté l'un des maîtres à penser de la droite nationaliste durant l'entre-deux-guerres. Publié par la Faculté des Lettres et des Sciences humaines de l'Université de Nancy. Actes du colloque organisé par la Faculté des lettres et des sciences humaines de l'Université de Nancy (Nancy, 22-25 octobre 1962). Sommaire: Jean SCHNEIDER: Liminaire, p.5. Paul MOREAU: Maurice Barrès, ou l'Homme libre, p. 9. Paul DIMOFF: Une amitié lorraine de Maurice Barrès: Albert Collignon, p. 19. Maurice DAVANTURE: Barrès, Burdeau et Bouteiller, p. 33. Jean GAULMIER: Barrès et Moréas en 1888, p. 45. Pierre-Georges CASTEX: Barrès, collaborateur du 'Voltaire' (1886-1888), p. 51. Thérèse CHARPENTIER: Barrès et l'art lorrain de son temps, p. 63. Guy BORRELI: Barrès et la psychologie de l'art, p. 85. Monique PARENT: Quelques remarques sur l'imagination de Barrès, d'après 'Le culte du Moi', p. 95. Paul IMBS: Le langage, monnaie de la pensée chez Maurice Barrès, p. 106. Hélène NAÏS: Le bestiaire de Barrès, p. 125. René TAVENEAUX: Barrès et la Lorraine, p. 137. Pierre BARRAL: Barrès parlementaire, p. 149. Jean TOUCHARD: Le nationalisme de Barrès, p. 161. Pierre GRAPPIN: Colette Baudoche, Iphigénie et la Lorelei, p. 175. Joseph BARBIER: 'La Colline inspirée', roman historique ou poème symphonique?, p. 187. Jean LEVAILLANT: Barrès et la rêverie, p. 197. Guy TOSI: Maurice Barrès regarde d'Annunzio, p. 207. Jean MOUROT: Barrès et Chateaubriand, p. 231. Jean GODFRIN: Rencontres avec Barrès, p. 239. Georges TRONQUART: Barrès et l'Université, p. 251. Enzo CARAMASCHI: Maurice Barrès et Venise, p. 265. Ida-Marie FRANDON: Barrès et la maîtrise de la création poétique, p. 258. Marius-François GUYARD: Les dettes barrésiennes de la génération de 1895, p. 299. H GOUHIER: Pascal et Barrès, p. 331.
Sion, S.e. (chez l'auteur ?), 1915 ; in-8, 55 pp., broché. Maurice Barrès est né en 1862 à Charmes (Vosges) et mort le 4 décembre 1923 à Neuilly-sur-Seine (Seine), est un écrivain et homme politique français, figure de proue du nationalisme français. Le premier axe de sa pensée est « le culte du Moi ». Il affirme que notre premier devoir est de défendre notre moi contre les « Barbares », c'est-à-dire contre tout ce qui risque de l'affaiblir dans l'épanouissement de sa propre sensibilité. Le second axe est résumé par l'expression « la terre et les morts » qui témoignent de l'évolution de Maurice Barrès vers le nationalisme républicain et le traditionalisme, l'attachement aux racines, à la famille, à l'armée et à la terre natale. Il est resté l'un des maîtres à penser de la droite nationaliste durant l'entre-deux-guerres. Très bon état.
Paris, Maison du Livre Français, 1926 ; petit in-12 (102 x 146 mm), 64 pp., broché. Maurice Barrès est né en 1862 à Charmes (Vosges) et mort le 4 décembre 1923 à Neuilly-sur-Seine (Seine), est un écrivain et homme politique français, figure de proue du nationalisme français. Le premier axe de sa pensée est « le culte du Moi ». Il affirme que notre premier devoir est de défendre notre moi contre les « Barbares », c'est-à-dire contre tout ce qui risque de l'affaiblir dans l'épanouissement de sa propre sensibilité. Le second axe est résumé par l'expression « la terre et les morts » qui témoignent de l'évolution de Maurice Barrès vers le nationalisme républicain et le traditionalisme, l'attachement aux racines, à la famille, à l'armée et à la terre natale. Il est resté l'un des maîtres à penser de la droite nationaliste durant l'entre-deux-guerres. Collection «Jeux et Travaux», N° 9. Dédicace de l'auteur. Portrait par J. Lombard, ornements de Ph. Burnot.
Numéro spécial de la revue "La Plume" n° 47 1891 1 vol. broché in-8, en feuilles, p. 119 à 136. Texte sur double colonne et une illustration inédite de A.-F. Cazals. Au sommaire : Maurice Barrès (La littérature du " Moi "), Anatole France (Le Jardin de Bérénice), Charles Maurras (Une réponse de Lazare le réssucité à Sénèque le Philosophe), Léon Deschamps (Les théories de Maurice Barrès appréciées par M. Ernest Lavisse), Léon Dequillebecq (Le Bonheur de mourir), etc. Couverture très légèrement passée (comme toujours, sinon intérieur très correct. Ex-libris.
[Librairie Plon, Plon-Nourrit et Cie] - BARRES, Jean-Baptiste ; (BARRES, Maurice)
Reference : 68131
(1923)
Edition originale sur papier de fil, 1 vol. on-12 reliure plein maroquin noir, dos à 5 nerfs, couvertures conservées, Librairie Plon, Plon-Nourrit et Cie, Paris, s.d. [ 1923 ], XIX-331 pp.
Bel exemplaire. "Maurice Barrès a bien mis en lumière dans sa préface ce qu'il y a de naïf et de savoureux dans ces souvenirs de son grand-père, vélite de la Garde. On lira avec amusement le récit du sacre, celui d'Austerlitz et sa célèbre veillée, l'entrevue de Tilsit, la nomination au grade de sous-lieutenant, le Portugal en 1810, la campagne d'Allemagne [ ...]" (Tulard, 45).