‎SONKIN, François ‎
‎LA DAME ‎

‎Paris René Julliard 1964 in 8 (20x11,5) 1 volume broché, 167 pages [2]. Collection '' Les lettres nouvelles ''. Exemplaire de service de presse. René Julliard, Genève 1900 - Paris 1962, éditeur français, fondateur des Editions Julliard. Envoi autographe signé par l'auteur à son éditrice Madame René Julliard. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request ) ‎

Reference : 50632


‎Très bon Signé par l'auteur Ed. originale ‎

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Reference : 3187

(1786)

‎Mémoire pour Madame de Gravier contre le sieur Bérenger, curé et le sieur Cheynet, bourgeois de Loriol. [Et :] Observations pour la dame de Gravier contre les sieurs Cheynet et Bérenger‎

‎Grenoble, Cuchet, 1786. 75 g 2 volumes petits in-4 brochés en feuilles, 24, 13 pp.. Litige concernant l'usage des eaux de la source abreuvant le bourg de Loriol. Le dame de Gravier possédait l'hôtellerie du Charriot d'or, elle se nommait Marie Bessonnet, et était veuve de noble Jean de Gravier, trésorier de France en la Généralité de Bourgogne. La famille Bessonnet était protestante. Très rares mémoires. . (Catégories : Dauphiné, Eau, )‎


Phone number : 06 17 93 27 81

EUR120.00 (€120.00 )

Reference : 41766

(1696)

‎[Nantes. Graduel. Chapelle Notre-Dame-de-Bonsecours. 1696]. Graduel pour toutes les Fêtes de La Vierge ensuitte le Propre des Saincts Apostres Martyrs Confesseurs et Vierges. À l'usage de La Chapelle Nostre Dame de Bon Secours à Nantes.‎

‎Nantes, , 1696. Grand in-folio manuscrit (56 x 37 cm) de (2)-220-(6) pp. sur parchemin, index, 8 portées par page à l’encre rouge soulignées par le texte latin à l’encre brune, nombreuses initiales peintes à l’encre rouge, bleue ou dorée, 5 lettrines enluminées, veau brun sur ais de bois, dos à sept nerfs, deux cabochons au centre et quatre pièces d’angle de cuivre, ornés, ciselés et cloués sur chaque plat, traces de fermoirs (reliure de l’époque). ‎


‎Ce graduel sur parchemin, réalisé à la fin du XVIIe siècle pour la chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours de Nantes, est un manuscrit liturgique d'une grande valeur historique. Sa confection est documentée par une inscription mentionnant les prévôts de la Vénérable Confrérie de Notre-Dame-de-Bon-Secours, Michel Thevenin et Julien Renard, sous la supervision desquels le manuscrit fut exécuté :« À Nantes ce présent livre dit Graduel a été fait par les soins de Messieurs Michel Thevenin et Julien Renard, étant alors Prévosts de la Vénérable Confrérie de Notre Dame de Bon Secours sur les Ponts. Escrit et notté par Estienne Sallé voiturier par eau d’Orléans 1696. »Description et contexte.Ce livre de chœur, destiné aux offices de la messe, rend hommage à Notre-Dame-de-Bon-Secours, une figure de dévotion importante à Nantes depuis le XVe siècle. Il contient, outre les graduels, des chants liturgiques comme les introïts et les communions. Les lettrines peintes marquent le début des textes des principales fêtes liturgiques, notamment celles dédiées au Christ, à la Vierge et aux Apôtres. La neuvaine en l’honneur de Notre-Dame-de-Bon-Secours, qui culminait le 21 novembre, constituait le point d’orgue de ce calendrier.Le manuscrit se distingue par ses ornements : deux titres richement encadrés à l’encre bleue, rouge et dorée, dont l’un, en latin, précise sa fonction :« Graduale Pro Omnibus Festivitatibus Beatae Mariae Virginis ad usum Sacelli Beatae Mariae Auxiliatricis. A Nantes, Ce présent livre a été donné par les Sieurs Prevosts de la Vénérable Confrérie de Nostre Dame de Bon Secours en l’an de grâce 1696. Ex scripturaire Stephani Sallé Nature Aurelianensis. »Le scribe Étienne Sallé.L’auteur de ce manuscrit, Étienne Sallé, était un voiturier par eau d’Orléans et un scribe professionnel. Une dédicace en vers, placée en fin d’ouvrage, souligne son rôle :« Ce livre fait par les soins de Messieurs les Prévôts / De cette Confrérie de Bon Secours la Dame / Vous la prierez pour eux par un zèle de flamme (…) POUR ÉTIENNE SALLÉ QUI A ÉCRIT CE LIVRE (…) 1696. »Outre ce graduel, Étienne Sallé est connu pour un journal manuscrit enluminé où il consigna, en 1710, des prières et hymnes religieux. Ce témoignage, publié en 1898 sous le titre Livre de Sallé, charpentier en bateaux et voiturier par eau, éclaire la vie d’un homme pieux marqué par des épreuves personnelles qu’il qualifia de « disgrâces ».La Confrérie et la chapelle/La Vénérable Confrérie de Notre-Dame-de-Bon-Secours, fondée au XIVe siècle par Charles de Blois, avait pour mission de soigner les malades et d’héberger les voyageurs pauvres dans son aumônerie située sur un bras de la Loire, près de Nantes. Elle disparut en 1768, et ses bâtiments furent vendus en 1790 avant leur démolition en 1846.La chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours, construite en 1443-1444 par les pêcheurs de l’île de la Saulzaie, fut intégralement reconstruite entre 1776 et 1780 dans un style classique. Bien que confisquée comme bien national en 1796, elle conserva jusqu’alors une activité religieuse, notamment grâce à des prêtres irlandais en exil. Malgré sa désaffectation, l’édifice garde des traces de son architecture originelle.Sous l’Ancien Régime, le sanctuaire jouissait d’un soutien royal : Louis XIII à Louis XVI favorisèrent son entretien, notamment par la restauration de la statue de Notre-Dame-de-Bon-Secours. Ce dynamisme cultuel est attesté par des indulgences plénières (1664) et des rapports mentionnant une « foule extraordinaire » lors des pèlerinages, comme en 1721.Conclusion.Le graduel de 1696 témoigne de l’importance du culte marial à Nantes et de la vitalité de la Confrérie de Notre-Dame-de-Bon-Secours à la fin du XVIIe siècle. Cet ouvrage illustre également l’artisanat liturgique et la piété qui animaient des figures comme Étienne Sallé, dont l’héritage religieux et culturel demeure un précieux témoin de son époque.Ex-libris manuscrits anciens « R.J. Uriner chapelain de Notre Dame, de Bon Secours de la Ville de Nantes et Ch[anoi]ne de l’église Royale et Collégiale de Notre Dame de Nantes, 1788 » (premier contreplat) ; « Guillaume Boleyn » (?) en regard du titre ; « François Pépin » et « Mathurin de la Valade » (colophon). Mors fendus, coiffes manquantes, quelques pâles mouillures et salissures marginales.Exceptionnel graduel manuscrit XVIIe conservé dans sa première reliure ornée, archive rare et précieuse pour l’histoire de Nantes. ‎

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‎[Alain CHARTIER]‎

Reference : 30425

(1529)

‎La Belle Dame sans mercy.‎

‎ Seul exemplaire connu de cette édition. Des collections Fairfax-Murray et Bourdel. [Paris, J. Hubert, c. 1529]. 1 vol. (80 x 120 mm) de [32] p. [A-B8]. Maroquin rouge, triple filet d'encadrement sur les plats, écoinçons aux petits fers et médaillon central orné d'une rose, dos à nerfs orné, titre doré, filet sur les coupes, tranches dorées, dentelle intérieure (reliure signée de Bauzonnet-Trautz). L’une des pièces les plus emblématiques de l’amour courtois. Le terme de rareté proverbiale n’est ici pas usurpé : il s’agit ni plus ni moins du seul exemplaire connu de cette rare édition - autrefois propriété de la collection Fairfax-Murray. Ce délice d’exemplaire a été soigneusement établi au XIXe siècle par Bauzonnet. ‎


‎Pourquoi, alors qu'il traitait d'un sujet familier des poètes lyriques depuis le XIIIe siècle - une femme vertueuse, belle mais inaccessible, indifférente à celui qui se meurt pour elle, le poème d'Alain Chartier eut un tel succès à la fois immédiat et durable ? « C'était tout simplement la première fois qu'on entendait parler si finement d'amour », nous dit Pierre Champion (Histoire poétique du quinzième siècle, Paris, É. Champion, 1923, t. I, p. 69), sans allusion linguistique ou politique telle qu'on pouvait en découvrir dans les autres oeuvres du genre, y compris chez Chaucer ou dans le Roman de la rose. L'exégèse autour de La Belle Dame sans mercy est bel et bien unanime : bien au-delà du simple badinage, la pièce possède un style et une originalité unique, « notamment, les vers incisifs et concis que s'y renvoient l'Amant et sa Dame » n'ont d'égal que le sujet de ce long poème « où, pour la première fois peut-être, les droits de la femme en matière d'amour ont été vigoureusement défendus. » (A. Pagès, Romania, 1936, p. 481). « Naguères chevauchant pensoye » : c'est par ces vers célèbres que débute le poème où se joue le drame de l'amant éconduit par une femme peu familière de l'amour courtois. Pour ces raisons et tout au long du XVe siècle le texte déclencha une vive polémique ; une jeune femme ne pouvait être libre de toute passion et devenir « sans Mercy ». Les femmes de la Cour, qui furent ses premières lectrices, ne semblèrent pas avoir été sensibles au sujet, au vu de la Lettre des Dames qu'elles adressèrent au poète, où elles lui promettent d'être « mort ou pris » : un scandale qui appela une réponse immédiate de sa part, sous la forme de deux autres poèmes, La Belle Dame qui eut mercy, puis La Complainte contre la mort de sa dame. D'Alain Chartier, l'on sait peu de choses. Né à Bayeux aux alentours de 1385, il partit à la capitale pour étudier à l'Université de Paris où il n'obtint qu'un titre Maître ès-Arts et non de Docteur ; quant à sa prêtrise, elle eut peut-être lieu alors qu'il avait passé la quarantaine « pour des raisons où la vocation semble avoir eu peu de part [...]. La précision a son importance, car elle permet de voir dans les poésies amoureuses de notre auteur autre chose qu'un dévergondage de personne ecclésiastique. » (R. Garapon, in Annales de Normandie, 1959). Il est admis que Chartier a composé son poème à la fin de l'année 1424. Constitué de cent huitains de vers octosyllabiques, sur trois rimes, il représente après Le Livre des quatre dames, écrit au lendemain de la bataille d'Azincourt en 1416, le plus long des poèmes d'Alain Chartier et appartient à la quinzaine de pièces qu'il donne en français, laissant à la langue latine ses productions plus politiques, écrites lors- qu'il participait à d'importantes missions diplomatiques ou lorsqu'il était l'influent secrétaire du Dauphin, le futur Charles VII. Sa Belle Dame sans mercy demeure sans conteste le poème courtois le plus célèbre du Moyen-Âge après l'incontournable Roman de la Rose ; et quelle qu'ait pu être la valeur de ses écrits latins et français en prose, ce fut La Belle Dame qui assura à Alain Chartier sa postérité comme auteur et poète de l'amour courtois ; avec Jean de Meung et François Villon, il reste l'un des rares auteurs médiévaux dont la renommée ait survécu jusqu'au milieu du XVIe siècle. La renommée du texte dépassa même les frontières, puisque apparaissent vers 1450 des copies du texte traduit en anglais par Richard Ros, l'un des plus proches courtisans du roi Henri VI d'Angleterre, à la fois chevalier et poète : un sublime outrage, la plaie d'Azincourt n'étant pas refermée. Copié et recopié tout au long des XVe et XVIe siècles, le poème fut contredit, désapprouvé, condamné, mais aussi parfois salué, ou à tout le moins cité et débattu : on en connaît ainsi une cinquantaine de manuscrits qui ont permis sa transmission jusqu'à sa première impression en 1488. Dix ans plus tard, elle est intégrée dans l'édition des Fais d'Alain Chartier, imprimée pour Antoine Vérard en 1498. Individuellement, la pièce connaîtra seulement cinq autres éditions au XVIe siècle. Devant leur rareté, Tchemerzine ne peut même en décrire que quatre, là où Bechtel et l'Universal Short Title Catalogue (USTC)* en donnent six, publiées entre 1489 et 1530. Les cinq éditions du XVIe siècle ne se distinguent que par le nombre de pages ou la gravure qui figure sur la page de titre. Le début d'un long cheminement, et ce jusqu'à l'époque moderne : un peu moins de quatre siècles plus tard, en plein romantisme, cette traduction, qui avait conservé son titre original en français, inspira John Keats dans l'écriture de sa fameuse ballade de 1819 The Beautiful Lady without Mercy. «I saw pale kings and princes too, Pale warriors, death-pale were they all; They cried-La Belle Dame sans Merci Thee hath in thrall» [Les rois, les princes, les guerriers, tous pâles comme la mort lui crient : la belle dame sans merci te tient en esclavage.] À ce titre, La Belle Dame sans mercy inspira les peintres les plus célèbres de la confrérie préraphaélite, les figures féminines fortes étant les sujets de presque toutes leurs oeuvres. Tout autant que les Salomé, Judith, Lilith et autres femmes castratrices, lesquelles ont toujours été à la fois attirantes et monstrueuses pour nombre d'artistes. Lointaine parente des sirènes d'Homère, elle se retrouve évidemment dans la Loreley de Heine (1824), inspirant celle d'Apollinaire (« Loreley », dans Alcools, en 1913). Jusqu'aux chanteurs modernes, puisque le poème de Keats a été repris notamment par Marianne Faithfull et Sting, et que Patti Smith a vu souvent son nom accolé au terme de Belle dame sans merci pour souligner son indépendance et sa liberté. Cinq siècles avant nous, Chartier ose affirmer que le pouvoir et la liberté - sinon la peur - « changent de camp », ou tout le moins que ces attributs peuvent être légitimement assumés par les femmes. Cette édition n'est connue que par l'exemplaire que nous présentons. Renouard et Bechtel - les deux bibliographies de référence - ne citent l'édition que par cet exemplaire ; l'USTC ne peut en citer qu'un seul, dont il avait perdu la trace et donné d'après Renouard : c'est probablement celui-ci. L'impression (du bois, des fleurons et du texte, en caractères gothiques) est celle de l'imprimeur parisien Julien Hubert : un délicieux bois gravé qui représente un homme et une femme dialoguant forme la page de titre. On ne connaît, de ce bois et de ce livre, que cette seule version, avec un privilège, daté du 27 août 1529. Les autres éditions recensées par l'USTC sont les suivantes : Lyon, 1488, trois exemplaires (BnF ; Bibliothèque Mazarine ; British Library) ; Paris, 1500, aucun exemplaire connu, cité par Brunet, I, p. 751 ; Rouen, 1505, deux exemplaires (BnF ; Harvard : Houghton Library) ; Lyon, 1515, un seul exemplaire (Yale University : Beinecke Library) ; Paris, 1530, un seul exemplaire (collection privée). Des bibliothèques Fairfax-Murray (Vente, Early French Books, Londres, 1961, n° 633, et étiquette d'inventaire), puis Jean Bourdel (Vente I, Paris, 2024, et ex-libris). Bechtel, Catalogue des gothiques français 1476-1560, C-263 ; H. W. Davies, Catalogue of a collection of Early French Books in the Library of C. Fairfax Murray, Londres, 1961, t. II, p. 967-972, n° 633 (cet exemplaire) ; Renouard, Brigitte Moreau, Inventaire chronologique des éditions parisiennes du XVIe siècle, 1697 ; idem, pour le bois gravé d'Herbert, 105880 ; Tchemerzine-Scheler, II-314 ; USTC, 73209 ; Pettegree, Walsby and Wilkinson, French Vernacular Books, Books published in the French language before 1601, 12833 ; Piaget, La Belle Dame sans mercy et les poésies lyriques, Droz, 1949. * L'USTC (Universal Short Title Catalogue) est une bibliographie de toutes les éditions imprimées publiées au cours du premier âge de l'imprimerie, en Angleterre, en France, en Italie et dans toute autre partie du monde où l'impression à l'aide de caractères mobiles est connue. Développé au cours de plus de vingt-cinq années de recherche et d'analyse à l'université de St Andrews, l'USTC contient aujourd'hui des informations sur l'emplacement de plus de 6 millions d'exemplaires imprimés entre 1450 et 1700 : des références puisées dans plus de 9 000 bibliothèques dans le monde, mais aussi dans des musées, des archives et des collections privées. Une grande partie de ce matériel est fabuleusement rare : près d'un tiers de tous les documents répertoriés dans l'USTC ne subsistent aujourd'hui qu'en un ou deux exemplaires. ‎

Librairie Walden - Orléans
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EUR25,000.00 (€25,000.00 )

‎DUCLOS Jean ‎

Reference : 620

‎ TABLEAU DE LA MIRACULEUSE CHAPELLE DE NOSTRE-DAME DE CAHUSAC PRES LA VILLE DE GIMONT ‎

‎Toulouse Chez Pierre Robert 1741 1 vol. ( 15 x 9 cm ) ( 7 ) ff. n. ch. ( dont grav. , t. ) , de 5 à 146 pp. . Armoiries de Mechior de Polignac , archevêque d' Auch , en lieu et place du fx. t. . Une figure sur bois au verso du titre représentant la Piéta de Cahuzac . Comprend : A l' honneur de la Sanctissime Trinité ... articles et statuts ; Le Tableau de la miraculeuse chapelle de Notre Dame de Cahusac en XII chapitres ; Règlement de vie et exercice de dévotion du chrestien en XLV chapitres avec in fine Examen de conscience et Abrégé des règles principales par les confrères de Notre Dame de Pitié & des Agonisans de Cahusac . Bandeaux , lettrines . Pleine basane de l' époque . Dos à 5 nerfs , orné , doré , pièce de titre . Toutes tranches jaspées rouges . Reliure usée , quoique solide . Mors fendus avec manques , coiffes envolées . Une partie du dos et du plat sup. plus foncée que le reste ( colle ? ) . Pp. 132-136 ( i. e. 135 ) intercalées entre les pp. 122 et 124 ( i. e. 123 ) . Papier jauni surtout vers la fin . Mouillure p. 75 à 93 . ( Collat. complet . ) ‎


‎Rare ouvrage écrit par le chapelain de Notre-Dame de Cahuzac au XVII s. . La Bibliothèque de l' Arsenal à Toulouse possède le même exemplaire , mais commet un erreur au sujet de son auteur qu' elle suppose né au XVIII s. : 17.. ? - 17.. . Dans l' avertissement sur la nouvelle édition de 1853 publiée par les soins du comte de Mauléon ( Toulouse , Augustin Manavit ) , on lit : " On a cru utile de faire réimprimer le Tableau de la miraculeuse chapelle de Cahusac ; ce petit livre publié par Jean Duclos , chapelain , en MDCCXLI est devenu très-difficile à trouver ". Cependant , une édition auscitaine de 1686 est mentionnée dans la Bibliographie de " Maria . Etudes sur la Sainte Vierge " sous la direction d' Hubert Du Manoir S. J. ( T. IV , Paris , Beauchesne et ses fils , 1956 ) . Jean-Marie Cazauran , ordonné en 1869 , professeur au Grand séminaire d' Auch et archiviste diocésain , est beaucoup plus précis : " Durant le cours des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles , il a paru divers travaux sur la dévote chapelle que le V. Léonard de Trapes appelle Notre-Dame de Gimont , en 1624 , désignée sous le nom de Notre-Dame de l' Orme , vers le milieu du siècle suivant , et , enfin , qualifiée Notre - Dame de Cahusac , dans les écrits du XIXe et du XXe siècles . Au fond , ces diverses compositions ne sont qu' un seul et même ouvrage . Les derniers essais , en effet , sont une simple analyse de l' opuscule du chapelain Jean Duclos , qui , en 1686 , fit paraître , chez P. François , imprimeur , à Auch , en un volume in-18 de 152 pages , le Tableau de la miraculeuse chapelle de Notre-Dame de Cahusac , près la ville de Gimont . Le livre renfermait deux parties . Dans la première , douze chapitres sont consacrés à l' histoire du sanctuaire . Les chapitres très courts de la seconde contiennent des réflexions pieuses , sous le titre général Règlement de vie et exercice de dévotion du chrestien pour les confrères de la sainte et miraculeuse chapelle de Notre Dame de Pitié de Cahusac , dans le diocèse d' Auch . Pour plus d' exactitude , il convient de dire que ces deux compositions, généralement reliées en un volume , formaient , en réalité , deux ouvrages distincts imprimés , la même année , 1686 , par P. François , à Auch , dans le format in18 . Le premier avait 54 pages , on en comptait 102 dans le second . ( ... ) Au XVIIIe siècle , il y eut une seconde édition du Tableau de la miraculeuse chapelle de Cahusac , publiée à Toulouse , en un volume in 12 de 146 pages . Elle contient un Examen de conscience ( p.141 143 ) et se termine par un Abrégé des règles de la Confrérie de Notre-Dame de Pitié . " ( ( J.M. Cazauran , " Pélerinage de Notre-Dame de Cahuzac " ( Abbeville , E. Paillart imprimeur-éditeur , 1903 , pp. 5 et 6 ) ‎

Librairie ancienne Tonon - Saint-Hilaire de Lusignan

Phone number : 05 53 48 62 96

EUR80.00 (€80.00 )

‎[POLIGNAC (Melchior)] et BERARDIER de BATAUT (traducteur)‎

Reference : 10646

(1786)

‎L'anti-Lucrèce, en vers françois, par M. l'abbé Bérardier de Bataut, licencié en théologie et prieur de Notre-Dame de Serqueux‎

‎Paris, Chez le traducteur et Charles-Pierre Berton, 1786. 395 g 2 volumes in-16, plein veau, dos lisses ornés, [2] ff., xxxvi-287 pp.; [2] ff., 395 pp., [1] f.. Edition originale de cette traduction. Qurard, VII, 249. Assez rare. Ancienne étiquette de classement sur un dos, frottements. . (Catégories : Poésie, Philosophie, Antimatérialisme, )‎


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