Paris René Julliard 1959 in 12 (18,5x12) 1 volume broché, 205 pages [1]. Exemplaire de service de presse. René Julliard, Genève 1900 - Paris 1962, éditeur français, fondateur des Editions Julliard. Envoi autographe signé par l'auteur à son éditeur René Julliard. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Reference : 50628
Très bon Signé par l'auteur Ed. originale
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The Leicester Galleries 0 In-16 Agrafé
Catalogue de cette expositions des oeuvres de Firmin Aguayo, Manolis Calliyannis, Sergio de Castro et Antonio Lago Rivera, organisée en juin juillet 1962. Préface de Denys Sutton. Photos des 4 artistes avec leur biographie, et 8 reproductions en noir. Liste des 42 oeuvres exposées. 32 pp. Très bon 0
1975 1975. R.V. Karanoff: la corde pour les traitres/ Gerfaut 1975 . R.V. Karanoff: la corde pour les traitres/ Gerfaut 1975
Etat correct
Paris, Editeurs Français Réunis,. 1952. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 1952, in 12, broché, 94 pp.. . . . Classification Dewey : 949-Autres pays d'Europe
AP-001 - Lieu d'édition : Paris Classification Dewey : 949-Autres pays d'Europe
1933 Brunoy. Nouvelles éditions nationales. 1933. 1 volume in-12, brochage fatigué, avec petit manque au dos, non coupé. 118 pp.
Exemplaire de Léon Daudet, comprenant un envoi autographe : "A Monsieur Léon Daudet, l'auteur de L'avant-guerre, ce prophétique ouvrage dont "Les espions et les traitres" voudraient être une suite ... très médiocre. Avec l'hommage de l'auteur. Fergus". Peites déchirures sans manque en fin d'ouvrage.
1 placard format 26 x 20 cm, s.d. [ 1815 ]. Rappel du titre complet : Lettre des sous-officiers et soldats en congés limité et illimité de la ville d'Amiens, à son Excellence le Ministre de la Guerre. Monseigneur, La fausse interprétation de nos sentimens dans l'appel que vous venez de nous faire, exige de nous une réponse qui confonde notre imposture. Quel délire a pu vos faire dire que nous avons désiré le retour de Napoléon, lorsque, rentrés dans nos foyers par la clémence d'un bon Roi, nous n'avions d'autre but que d'y rester ? Nous sommes tous au milieude ce que nous avons de plus cher ; nous ne nous en séparerons que pour frapper, terrasser les traîtres, qui ont osé favoriser le retour du tyran usurpateur. Malheur aux vils satellites, qui oseroient porter les mains sur nous ou sur nos parens, pour les priver de la liberté ! Nous ne voulons point obéir à l'appel qui nous est fait : nous ne reconnoissons que celui du Roi, en date du 9 mars dernier ; et c'est pour sa défense que nous prendrons les armes. Dans quel avilissement les autorités sont tombées ! Naguère les premiers magistrats de cette ville nous engagoient à repousser et à anéantir le Corse, qui vient encore désoler nos familles, et apporter parmi nous tous les fléaux [... ] Braves camarades, gardons-nous de méconnoitre notre Roi légitime ; rallions-nous, et ne souffrons pas que qui que ce soit porte une main téméraire sur un seul d'entre nous, pour nous forcer de servir une cause que nous abhorrons ! (Copié sur un exemplaire envoyé par un des officiers d'Amiens à sa famille, à Paris,...... dans une lettre par la Poste)
Rare placard publié pendant les Cent Jours, et s'opposant au retour de Napoléon revenu de l'île d'Elbe.