Paris Librairie Hachette et Cie 1878 in 12 (18x12) 1 volume reliure demi chagrin vert de l'éditeur, dos à nerfs orné de caissons dorés, plats de percaline assortie avec décor d'encadrement estampé à froid, plat supérieur orné d'un fer doré du Collège Cuvier à Montbélliard, XXXII et 233 pages [1]. précédé d'une notice par M. Emile Gebhart. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Reference : 43602
Très bon Couverture rigide
Librairie Rouchaléou
M. Jean Rouchaléou
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LIBRAIRIE GERMER BAILLIERE. 3 AOUT 1878. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 97 à 120. Lecture en colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Revue des cours littéraires. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Paris, 1841/1844, 8 VOLUMES grand in 8 reliés en demi-chagrin bleu marine, dos richement orné de caissons dorés (reliures de l'époque), (quelques rousseurs), T.1 : 1 PORTRAIT DE BUFFON, (2), 782pp., 5 CARTES EN COULEURS, T.2 : (2), 775pp., T.3 : (2), 726pp., 13 PLANCHES EN COULEURS, T.4 : (2), 784pp., 29 PLANCHES EN COULEURS, T.5 : (2), 653pp., 44 PLANCHES EN COULEURS, T.6 : (2), 730 pp., 30 PLANCHES EN COULEURS, T.7 (Lacépède) : (2), 12pp., 668pp., 24 PLANCHES EN COULEURS, T.8 (Lacépède) : (2), 647pp., 12 PLANCHES EN COULEURS
---- TRES BEL EXEMPLAIRE DES OEUVRES COMPLETES DE BUFFON ILLUSTREES DE MAGNIFIQUES PLANCHES FINEMENT COLORIEES ET GOMMEES ---- Eloge de Buffon par Vicq d'Azyr - Réponse de Saint-Lambert - Eloge historique de Daubenton lu à l'Institut le 5 Avril 1800 par Cuvier - Au Roi - Discours prononcé à l'Académie Française par Buffon le jour de sa réception - Réponses de MM. Watelet, La Condamine... - Théorie de la terre (2 volumes) - Mammifères (2 volumes) - Oiseaux (2 volumes) - Histoire naturelle de Lacépède (2 volumes) : Eloge de Lacépède par Cuvier, cétacées, quadrupèdes ovipares, serpents, poissons**963/A1-B1
SOCIETE SAINT-AUGUSTIN / DESCLEE DE BROUWER & CIE. VERS 1887. In-8. Broché. A relier, Couv. défraîchie, Dos abîmé, Quelques rousseurs. 379 pages. Dos en partie manquant : 5 cahiers désolidarisés entre eux - A relier. Quelques lettrines, bandeaux et culs-de-lampe en noir et blanc. Filets rouges encadrant le texte.. . . . Classification Dewey : 500-SCIENCES DE LA NATURE ET MATHEMATIQUES
Avec une introduction et des Notes par M. Aimé Witz, professeur à la faculté catholique des sciences de Lille. SOMMAIRE : Eloge de Newton en 1727, Réaumur en 1757, Fontaine en 1771, Buffon en 1788, Laplace en 1829 , etc. Classification Dewey : 500-SCIENCES DE LA NATURE ET MATHEMATIQUES
Paris, Solvet, An IX In-8 de XII, 136 pp. et (1) f. d'errata, demi-veau moucheté, dos lisse orné de filets et fleurons dorés, tranches pailles (reliure à l'imitation dans le goût de l'époque).
"Deuxième édition, en partie originale. Le célèbre Voyage à Montbar , ou ""Visite à Buffon"", publié anonymement en 1785, passe pour l'un des premiers exemples d'interview d'un grand personnage. Son intérêt documentaire, sa franchise de tons en font un modèle du genre. Le style est l'homme même. Au-delà de quelques piques, la fascination de Hérault pour son modèle transparaît dans les pages qu'il consacre à Buffon l'écrivain, particulièrement sensible au style, ""personne n'est plus sévère que lui sur le style, sur la précision des idées, […]"", et aux conseils qu'il délivre au narrateur, ou dans leur discussion au sujet de Rousseau. Et le plus vaniteux des deux n'est plus celui qu'on croit, lorsque le visiteur est invité à soumettre au vieux maître une page de sa main. Le Voyage à Montbar s'inscrit dans un genre littéraire à part entière qui fait encore florès aujourd'hui : la visite au grand écrivain ou - et pour Buffon - au grand homme ; rite de passage obligé pour tout jeune aspirant à la gloire des lettres qui se respecte. Bel exemplaire, joliment établi dans une élégante reliure pastiche. Monglond, La France révolutionnaire et impériale, III, 272. - Talvar et Place, VIII, p. 153."
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Paris, Solvet, An IX In-8 de XII, 136 pp. et (1) f. d'errata, broché sous couverture d'attente de papier gris.
"Deuxième édition, en partie originale. Au retour de sa rencontre avec le célèbre naturaliste, le jeune Hérault de Séchelles (1759-1794) publie sous le voile de l'anonyme sa Visite à Buffon, septembre 1785. Repris, un an après l'exécution de l'auteur, dans le Magasin Encyclopédique, son texte connaît enfin une nouvelle édition, augmentée de pages inédites, donnée en 1801 par Aubin-Louis Millin. Dans son Voyage à Montbar, Hérault de Séchelles, jeune homme brillant et ambitieux - il a peu auparavant été nommé le plus jeune avocat général au Châtelet avec la faveur de Marie-Antoinette - vient rendre hommage à une gloire nationale, trésor vivant des Lumières (Voltaire est mort 7 ans plus tôt), l'auteur de l'Histoire naturelle. Dans cet récit piquant, l'orateur à la mode dresse un portrait domestique et familier du vieil académicien, d'une plume irrévérencieuse mais aussi chaleureuse où perce, au-delà d'un persiflage affectueux, une sincère admiration. L'homme derrière le grand Homme. Hérault pointe ainsi la vanité de l'illustre Bourguignon, ""un des premiers traits de son caractère"", son contentement à se faire nommer ""M. le comte"", ou sa manie de se faire friser ses ""beaux cheveux blancs"". Il souligne encore ""son grand plaisir de dire des polissonneries"", ou le fait que ""ce grand homme est quelquefois un peu commère"". Le spirituel égratigneur révèle également le goût que son hôte ""a toujours eu pour les petites filles"", et moque son attachement aux convenances religieuses provinciales quand ""il est clair que ses ouvrages démontrent le matérialisme, et cependant c'est à l'Imprimerie Royale qu'ils se publient"". Le style est l'homme même. Au-delà de ses quelques piques, la fascination de Hérault pour son modèle transparaît dans les pages qu'il consacre à Buffon l'écrivain, particulièrement sensible au style, ""personne n'est plus sévère que lui sur le style, sur la précision des idées, […]"", et aux conseils qu'il délivre au narrateur, ou dans leur discussion au sujet de Rousseau. Et le plus vaniteux des deux n'est plus celui qu'on croit, lorsque le visiteur est invité à soumettre au vieux maître une page de sa main. Le Voyage à Montbar s'inscrit dans un genre littéraire à part entière qui fait encore florès aujourd'hui : la visite au grand écrivain ou - et pour Buffon - au grand homme ; rite de passage obligé pour tout jeune aspirant à la gloire des lettres qui se respecte. Parmi maints exemples, rappelons les imaginaires Huit jours chez M. Renan (1888) de Maurice Barrès, plus tard à son tour ""victime"" de deux visites de Cocteau racontées dans la Noce massacrée (1921). Monglond, La France révolutionnaire et impériale, III, 272. - Talvar et Place, VIII, p. 153."