Paris Librairie Stock 1936 in 8 (23x14,5) 1 volume broché, XXIV et 312 pages [1]. Traduit du suédois par E. Söderlindh. Préface de Paul Valéry. Emanuel Swedenborg, Stockholm 1688 - Londres 1772, scientifique, théologien et philosophe suédois. Publications du Fonds Descartes. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Reference : 36319
Très bon Broché
Librairie Rouchaléou
M. Jean Rouchaléou
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Conformes aux usagex de la librairie ancienne et moderne
Swedenborg society Broché D'occasion bon état 01/01/1962 448 pages
Saint-Chamand (Cher), à la Librairie de la Nouvelle Jérusalem, chez Porte, / à Paris, M. Minot, E. Jung-Treuttel, / Londres, Swedenborg Society, / New York, New Church Book-Room, 1860-1861, 4 textes reliés en 1 volume in-12 de 190x120x15 mm environ, demi maroquin à coins brun,dos à nerfs portant titres dorés, gardes marbrées, couvertures conservées pour les 4 textes. Quelques annotations et passages soulignés au crayon à papier, petites rousseurs éparses, traces blanches et frottements sur le cuir, sinon bon état. Mention de Seconde Edition sur chaque couverture.
Emanuel Swedenborg, né le 29 janvier 1688 à Stockholm et mort le 29 mars 1772 à Londres, est un scientifique, théologien et philosophe suédois du XVIIIe siècle. Son nom originel Emanuel Svedberg (ou Swedberg) est devenu officiellement Swedenborg après son anoblissement. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Emanuel Swedenborg, né le 29 janvier 1688 à Stockholm et mort le 29 mars 1772 à Londres, est un scientifique, théologien et philosophe suédois du XVIIIᵉ siècle. Son nom originel Emanuel Svedberg est devenu officiellement Swedenborg après son anoblissement Traduction de Le Boys des Guays revue et corrigée. Prolégomènes et notes sur la terminologie par L. Jean Français. Bel exemplaire de ce livre épais du philosophe occultiste qui décrit les deux mondes de l’au-delà et des rencontres avec anges et démons et qui n’avait pas été réédité en France depuis 1899. Bon état général pour ce fort volume. Intérieur très propre. 476pp, non coupées. Tampon du « cercle Swedenborg » au bas de la première garde. Paris, R. S. F., 1960 ref/111
Londres et Paris, Barrois, Guillot, 1785. In-12 de 12-84 pp., basane havane marbrée, dos lisse orné, filet et frise dorés d'encadrement sur les plats, tranches rouges (relié vers 1820).
Édition originale de la traduction française de J. P. Parraud. Emanuel Swedenborg (1688-1772) se fit d’abord un nom comme un des plus grands ingénieurs et naturalistes suédois de son temps. Pris de vertiges et de visions à partir de 1736, affirmant être en communication avec les esprits et les anges, il nit par abandonner sa carrière scientique en 1747 pour se consacrer exclusivement à la mission qu’il s’assigna de révéler le sens spirituel de la Création où seul compte l’Amour divin, de faire connaître le monde céleste, et de proposer une évolution rationnelle de l’humanité vers l’état de pur esprit. Habile à diffuser ses idées à travers ses publications, il acquit bientôt une célébrité européenne. Sa condamnation comme hérétique en 1769 n’empêcha pas la création d’une véritable « église » autour de ses idées, ni même, plus largement, une inuence sur les premiers mouvements romantiques.Précédé du Catalogue des ouvrages imprimés d'Emmanuel Swedenborg, selon l'ordre chronologique. A la fin : Du cheval blanc dont il est parlé dans l'Apocalypse.Mention manuscrite : Bibliothèque de la Nouvelle Église avec au verso du titre le cachet et la signature manuscrite Lemazurier Versailles le 28 avril 59. Coiffe supérieure et coins usés.Caillet, 10460 (pour une nouvelle édition publiée la même année) ; Dorbon, 4717.
A Stockholm et se vend à Strasbourg, chez J. G. Treuttel, 1788. In-8 de LXXI-(1)-396 pp., basane havane marbrée, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin rouge, tranches rouges (reliure de l'époque).
Édition originale établie par Dailland de la Touche. Emanuel Swedenborg (1688-1772) se fit d’abord un nom comme un des plus grands ingénieurs et naturalistes suédois de son temps. Pris de vertiges et de visions à partir de 1736, afrmant être en communication avec les esprits et les anges, il nit par abandonner sa carrière scientique en 1747 pour se consacrer exclusivement à la mission qu’il s’assigna de révéler le sens spirituel de la Création où seul compte l’Amour divin, de faire connaître le monde céleste, et de proposer une évolution rationnelle de l’humanité vers l’état de pur esprit. Habile à diffuser ses idées à travers ses publications, il acquit bientôt une célébrité européenne. Sa condamnation comme hérétique en 1769 n’empêcha pas la création d’une véritable « église » autour de ses idées, ni même, plus largement, une inuence sur les premiers mouvements romantiques. Caillet, 10490 : « Sinon le plus complet, du moins le plus facile des exposés de la doctrine de Swedenborg. Cet ouvrage, publié à Stockholm d'après le titre qu'il porte, me semble réellement paru à Strasbourg, si j'en juge par tout l'aspect typographique (Matter, p. 173) ».Bel exemplaire.Provenance : Stanislas-Xavier comte de Girardin ; né à Lunéville en 1762 et mort à Paris en 1827, il eut comme parrain le roi Stanislas et comme précepteur Jean-Jacques Rousseau. Élu député à l’Assemblée législative de l’Oise le 1er septembre 1791, il dut se cacher après le 10 août 1792. Découvert, il fut emprisonné jusqu’au 9 Thermidor. Après sa libération, il se lia avec Joseph Bonaparte qui venait d’acheter le château de Mortefontaine et il entra dans le cercle des Bonaparte. Nommé membre du Tribunat, il fut réintégré dans l’armée et partit, avec le grade de colonel, avec Joseph Bonaparte pour Naples et ensuite pour l’Espagne. Il fut premier écuyer du roi Joseph, et son épouse, dame d’honneur de la reine Julie. Rentré en France, il devint membre du Corps législatif en 1809, comte de l’Empire en 1810, préfet de la Seine-Inférieure en 1812, préfet de la Seine-et-Oise en 1815. Représentant aux Cent-Jours, inspecteur des haras, préfet de la Côte-d’Or, député en 1819 et 1824, il siégea jusqu'à sa mort dans l’opposition libérale. Louis-Stanislas avait épousé Jeanne-Victoire-Henriette de Navailles (morte en 1818). Il en eut une fille, Télésie, en premières noces Madame de Belle-Isle, en secondes noces comtesse de Ludre.