Paris Flammarion 1917 in 12 (18,5x12,5) 1 volume reliure demi chagrin bleu de l'époque, dos lisse très orné, tête dorée, couverture conservée, 319 pages [3], tout petit accroc de papier sur l'extrémité inférieure de la marge externe des 3 premiers feuillets. Prix Goncourt 1916. Bel exemplaire, bien relié ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Reference : 29180
Très bon Reliure
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1916 Paris, Flammarion (Select-Collection), 1939 et 1920, 2 ouvrages réunis en un volume grand in 8° relié demi-basane marron, dos à nerfs, 79-70 et 74-63 pages ; texte sur deux colonnes.
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1949 Angoulême, Emery (Collection "L'Heptameron"), 1949, 2 volumes grand in 8° brochés, 231 et 241 pages ; couvertures rempliées illustrées.
Tirage limité et numéroté ; un des exemplaires sur vélin Alfa bouffant d'Alamigeon. ...................... Photos sur demande ..........................
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1916 Paris, Flammarion, 1916, in 12 broché, 379 pages ; mention de 5e mille.
Prix Goncourt 1916. ...................... Photos sur demande ..........................
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P., Flammarion, 1917, in 12 broché, 379 pages.
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Editions Douin, 2016, in-4°, 380 pp, illustré de 86 dessins de Renefer dont 10 eaux-fortes originales réalisées sur métal dans les tranchées et 76 bois gravés par Eugène Dété, broché, bon état (Prix Goncourt 1916)
Le feu, journal d’une escouade d’Henri Barbusse raconte au jour le jour, la dure vie des soldats et leur mort obscure. Toutes les horreurs vues du fond des tranchées sont évoquées avec une puissance remarquable. Que de sombres tableaux d’hommes perdant leur forme humaine sous une épaisse couche de boue, de pourriture et de sang. Dans ces souffrances et cette noirceur permanente, il subsiste malgré tout de singuliers épisodes de vies, de fraternité et de tendresse. Alors que la grande bataille de Verdun était à peine commencée, Henri Barbusse nous livre un témoignage empreint de vérité qui ne peut laisser indifférent, même cent ans après. Quelques jours seulement avant l’armistice du 11 novembre 1918, paraissait chez Gaston Boutitie une première version illustrée du Feu. L’artiste, Renefer, mobilisé en 1914 à l’âge de 35 ans était chargé d’établir la topographie des champs de bataille. Durant tout le conflit, crayons et carnets de croquis à la main, il décrit la vie et la mort des soldats. Il s’attache tout particulièrement à croquer les paysages et les situations sous un trait agile et sobre en détails. C’est donc en pleine guerre que l’éditeur lui commande 86 dessins qui doivent illustrer le tout nouveau prix Goncourt de cette fin d’année 1916. Renefer réussira non seulement à sortir vivant des tranchées mais, en plus, il livrera à son éditeur 10 plaques de cuivre vernies gravées à la pointe métallique qui seront mordues par l’acide (procédé dit des « eaux-fortes »). On ne pouvait choisir meilleure association ! Les deux hommes ont vécu dans leur chair les supplices de la guerre et ont côtoyés les mêmes frères en première ligne. Jamais une telle force n’avait soudé texte et illustrations. Introduction de Gabrielle Thierry, présidente de l'association Renefer fondée en 2004 avec le soutien de la famille et des amis de Renefer et de Cécile Coutin, docteur en histoire de l'art et conservateur en chef honoraire du patrimoine.