Paris, Librairie de la Revue Indépendante, 1888. Broché, 120 pages. 420 exemplaires numérotés. 13x19 cm. Couverture, 4ème couverture et dos avec des taches, bon état intérieur Georges Vanor (1865-1906) est l'auteur d'une des premières études systématiques sur L'Art symboliste, éditée l'année suivante par Léon Vanier.
Reference : S138
Librairie Topaze
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France
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Paris, Librairie Moderne, [ca 1900], 38 X 27 cm., broché, 22 feuillets non chiffrés. Album oblong présentant les principaux défauts du genre humain. A gauche, un texte, à droite un hors texte en couleurs. Couvertures avec petites fentes et insolation, dos fendu, exemplaire partiellement débroché. De fraiches illustrations pour cet ouvrage rare.
Tourcoing, Artima, sans date, 22 X 27 cm., agrafé, 24 pp. Collection Les Albums du P'tit Quinquin. Conte joliment illustré en noir et couleurs par Jean Alfred DUPUICH. En bon état.
Jean-Pierre est malade, et sa maman n'a plus les moyens de lui offrir des étrennes. Alors son plus beau cadeau, il le trouve dans ses rêves, et le partage avec sa mère.
Nouvelles Clés. 2004. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 80 pages - nombreuses illustrations en couleurs et en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Ici enfer ne pas déranger - le paradis se trouve sous l'enfer - le paradis c'est là où je suis - j'ai vécu l'enfer au paradis - parlez nous de l'enfer enfants du paradis - de la prison à l'émerveillement - adieu le lac de feu et jardin clos - un philosophe peut il consulter un médium ? - les clés de la santé indigène - oser se dire chrétien etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Paris, Cailleau, Brunet, Bordelet et Henry, 1729-1731. 1350 g 5 volumes in-12, plein veau porphyre, dos à nerfs finement ornés, filet sur les plats, chaînette sur les coupes, roulette intérieure, gardes coquilles, tranches mouchetées, 24-cliv-[2]-235 pp.; [1] f., 2-324 pp.; 306 pp., [3] ff.; xix-[3]-253-[1] pp.; [2] ff., 269-[3] pp.. Le Paradis perdu, qui occupe les trois premiers volumes, est traduit par Dupré de Saint-Maur et les remarques sont d'Addisson; il s'agit de la seconde édition, à la même année que la première, de la première traduction française du Paradis perdu. Certains auteurs ont pensé que le véritable traducteur était l'abbé de Boismorand. Brunet, III, 1731. Le volume suivant contient le Paradis reconquis, il s'agit de l'édition originale de la première traduction française, elle est due au jésuite Pierre de Mareuil. De Backer et Sommervogel, V, 539-9. Le volume suivant et dernier est formé des Lettres critiques ... du jésuite Bernard Routh, également en édition originale. De Backer et Sommervogel, VII, 237-4. Rare réunion en reliure uniforme. Les dos sont finement dorés, frappés d'une tulipe au pointillé entre les nerfs et d'une palette avec de petits soleils. Quelques usures aux coiffes, taches anciennes sur les plats, petites fentes à deux mors. . (Catégories : Poésie, Littérature, Littérature anglaise, )
Le paradis réunit ce qui est «irraprochable», dans la quête d’un bonheur sans fin. Oser le convier dans le discours architectural, c’est inventer l’architecture en questionnant son absence initiale. Alain Guiheux affronte ainsi un paradoxe: si le paradis se caractérise par le manque d’architecture, s’il n’y a pas d’architecture en Éden, comment emprunter ce concept pour faire l’histoire (sinon la contre-histoire) de l’architecture? Car le mythe du paradis, qui engendre attitudes et désirs,a transformé en continu l’architecture.<br data-mce-fragment="1"><br data-mce-fragment="1"><i data-mce-fragment="1">Architectures Paradis</i> confronte le lecteur au retour du système édénique et propose un voyage envoûtant dans cette autre scène de l’architecture. Le paradis y est la figure de l’impensable, de l’invisible et de l’indéterminé, contre la tyrannie de l’ordre et de l’«espace». Avec un réseau icono-sémantique particulièrement riche, juxtaposant l’enluminure médiévale, les projets radicaux des avant-gardes des années 1960, les réalisations architecturales contemporaines ainsi que le roman et le cinéma, cet ouvrage dresse ici un récit qui repense en profondeur l’architecture et ses conséquences – aussi bien en présence qu’en absence – sur l’humain. Genève, 2022 MétissPresses 218 p., illustrations n&b, broché avec rabats. 17 x 24
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