‎NOEL (Marcel) Poèmes‎
‎Captivité‎

‎Arc-en-Ciel 1943 In-4. 1943. En feuilles sous chemise. 40 dessins en noir et en couleurs de José De Selva‎

Reference : 13207


‎Mauvais état. Chemise salie avec des coupures importantes au dos avec un manque de papier. Papier jauni avec des rousseurs éparses. Manquent la page de titre et le justificatif du tirage‎

€45.00 (€45.00 )
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Reference : 41816

(1871)

‎[Guerre de 1870. Prusse. Camp de prisonniers de Ratibor. Manuscrit]. Souvenir de ma Captivité. 1870-1871. Fait à Ratibor le 1er février par Mr. Bruckert. ‎

‎Ratibor, , 1871. Manuscrit in-8 (16 x 20 cm) de (4)-100-(20) pp. à 24 lignes par page, toile grise illustrée d'une "Mitrailleuse" sur le second plat, titre manuscrit sur le premier plat : Souvenir de captivité. Appartenant à Bruckert Th. Fait à Ratibor le 1er Février 1871 (Prusse) (reliure de l'époque). ‎


‎Souvenirs manuscrits inédits du soldat Bruckert, prisonnier de guerre à Ratibor en Prusse (aujourd'hui Racibórz en Pologne) après la capitulation de Metz le 27 octobre 1870, illlustré par ses soins d'un "Plan du Bâtiment de notre détention à Ratibor" légendé et replié. « J'écris ces quelques lignes pour passer les heures de ma captivité et plus tard un jour, rentré chez moi, je relirai quelques mots et ce sera avec un sentiment de tristesse, de douleur et de crainte que je me rappellerai de mon séjour en Prusse. » Son récit commence le 29 octobre 1870, quand 150 000 prisonniers français sont livrés à l'ennemi prussien après la reddition de Bazaine le 28 octobre, transférés vers les camps de prisonniers. « De chaque côté de la route des soldats prussiens qui nous escortaient l'arme chargée, et prêts à faire feu sur celui d'entre nous autres qui aurait cherché à s'enfuir (…) cette nuit il il y eut encore beaucoup de morts de froid (…) il y avait cinq jours que nous pataugions dans cette boue épaisse, nous étions comme les bêtes et le dégoût était dans nos âmes (…) il fallait subir notre sort (…) le jour viendra où l'on réglera le compte à son Excellence le Maréchal Bazaine et à tous ses acolytes. » Soldat de Napoléon III, Bruckert traduit ici la détestation de Bazaine et de l’empereur par les soldats dès l’automne 1870, quand amers et humiliés ils découvrent les misères de la guerre et la violence des combats sur les chemins de Moselle : Remilly, Herny, Faulquemont, St Avold, Hombourg, Cocheren, Forbach « dans cette dernière qui est la dernière ville française, les enfants qui se trouvaient sur le bord de la voie en nous voyant passer crièrent Vive la France ! ». Puis l'auteur égrène toutes les villes étapes prussiennes de Saarbrück à Glogau où « le 30 novembre, à l'appel du soir, on nous fit sortir des rangs en demandant les Lorrains et les Alsaciens (…) pour aller travailler à Ratibor (…) Ce fut vers les quatre heures et demi que nous sommes rentrés à la gare de Ratibor, une grand foule de monde nous attendait pour nous voir, on n'avait jamais vu de soldats français dans cette ville». L'arrivée au camp est suivi d’un texte sur la captivité à Ratibor (visite du duc de Ratibor, construction d'un petit théâtre etc.) et se termine « le 29 janvier au soir (quand) le Hauptmann nous a annoncé la triste nouvelle que Paris avait capitulé… Le 19 février on nous annonça aussi la capitulation de Belfort mais sans aucun détail ».Plusieurs pièces officielles sont recopiées (extraits) en tête et fin de cahier : Proclamation de Victor Hugo, Paris le 17 septembre 1870 ; Le code de la capitulation ; Protocole de la capitulation de Metz ; Ordre général de l'Armée du Rhin. Bazaine Metz le 12 octobre 1870 ; Armée de Metz. Communication officielle faite aux officiers par leurs chefs le 19 octobre 1870 ; Proclamation. Habitants de Metz. Coffinières, le 27 octobre 1870 ; Capitulation de Metz (Extrait du Journal l'Indépendant belge inséré par le général Bisson) ; Lettre de Garibaldi. Caprera le 16 septembre 1870 ; Élections à l'Assemblée Nationale le 10 février 1871 ; Le Drame de Metz de Gustave Marchal ; Aperçu de quelques faits d'armes passés sous les murs de Metz. Cachet "T. Bruckert" sur le titre.Témoignage très rare d'un soldat français en captivité au camp de Ratibor, une des 259 villes de l'Empire allemand où furent internés les prisonniers français en 1870-1871 apès la capitulation (André de Damas, Souvenirs de guerre et de captivité, France et Prusse, 1874). ‎

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EUR2,000.00 (€2,000.00 )

‎Sieur d'Aranda‎

Reference : CZC-11001

‎1665. Relation de la captivité & liberté du Sieur d'Aranda, esclave à Alger‎

‎Relation de la captivité & liberté du Sieur d'Aranda, esclave à Alger ou se trouve plusieurs particularitez de l'Affrique digne de remarques. Extraits de la table : sommaire de l'antiquité de la ville d'Alger & comme elle est possédée des Turcs - de cinq Turcs esclaves qui se sauvèrent par une merveilleuse adresse et rencontre d'un navire Dunkerquois - usage du poison en Affrique - la femme et le vin trompent le plus fin - le moyen de guérir la vérole à Alger sans chirurgien - de la fidélité du mary & l'infidélité de la femme - l'or peut plus que l'amour entre les Turcs - naufrage.. "Relation de la captivité et liberté du Sieur d'Aranda, esclave à Alger" est un récit historique qui relate les expériences de captivité et de libération du Sieur d'Aranda, un homme réduit en esclavage à Alger. Contient ;Préface, Relation de la captivité et liberté du Sieur Emanuel d'Aranda, Sommaire de l'antiquité de la ville d'Alger, cinquante Relations particulières du Sieur d'Aranda durant son esclavage. Il publia sa relation en 1656 ,cet ouvrage, presque tombé aujourd’hui hui dans l oubli, eut un succès extraordinaire à cette époque où les corsaires algériens croisaient encore impunément dans la Méditerranée.On y trouve sur la domination arabe, sur le fameux Barberousse et sur le gouvernement de cette partie de l' Afrique des renseignements qui ne sont pas dépourvus de mérite. L' ouvrage est terminé par un recueil d histoires ou d anecdotes au nombre de cinquante, qu il intitule Relations particulières et qui décrivent des aventures vécues ou entendues . Emmanuel d Aranda, voyageur, poëte et historien, né à Bruges en 1612 ou 1614, mort vers 1686, descendait d une famille espagnole, établie à Bruges gravure du portrait de d'Aranda & Ville d'Alger ( 1 page du plan dépliant) volume relié in16, 130x90, relié veau glacé, très bon état intérieur, 400pp. Édité vers 1665‎


Livres & Autographes - La Madeleine

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EUR350.00 (€350.00 )

‎PRIEUR (Félix).‎

Reference : 119569

(1978)

‎Matricule 68.881 VII A. Mémorial de guerre et de captivité.‎

‎ Montréal (Québec), Fides, 1978, in-8°, 418 pp, 8 pl. de photos hors texte, une carte repliée, qqs illustrations de Gabriel Ouellet dans le texte, broché, bon état, envoi a.s.‎


‎Réimpression de l'édition Fides de 1948. — "Le 15 juin 1940, l’auteur, Félix Prieur, est capturé par les Allemands à la tête d’une section du 115e régiment d’infanterie. Envoyé tout d’abord au Stalag VII A de Moosburg, en Bavière, il devient pour les cinq années à venir le matricule 68.881. Le récit de sa captivité ressemble à tous ceux écrits par des militaires français ayant subi le même sort pendant cette guerre. On y retrouve en effet les descriptions caractéristiques de leur détention dans les camps : le désoeuvrement, la faim, la saleté, le froid... Mais l’auteur a ceci de particulier qu’il est aspirant. Or, les autorités allemandes n’ont pas tranché quant au statut de ce grade hybride dans la hiérarchie militaire. Cela lui vaut d’être interné en mars 1941 au Stalag I A de Stablack, en Prusse Orientale. Situé non loin de Königsberg, ce lieu est réservé aux élèves-officiers comme lui. A ces yeux, il ne s’agit ni plus ni moins que d’un camp de représailles, les aspirants ayant démontré leur esprit "potache et résistant" (110) au sein des Oflags. Il projette de s’en évader quand "les Allemands acceptent le départ des prêtres-aspirants comme aumôniers des kommandos" (184). En tant qu’ancien séminariste, l'auteur trouve là le moyen de se consacrer pleinement à son sacerdoce. Cette décision paraît logique lorsque l’on considère l’ardente religiosité qu'il exprime tout du long de son ouvrage. Le 30 juillet 1941, il est envoyé à Gumbinnen où il va se trouver immergé dans un univers très différent de ce qu’il a connu auparavant. Bénéficiant d’une semi-liberté, il apprend à connaître les civils allemands de cette région, mais aussi les travailleurs forcés polonais et les prisonniers de guerre russes. Jusqu’à l’invasion de la région par l’Armée rouge, il s’emploie à évangéliser ses congénères de toutes nationalités, allant de ce fait bien au-delà de ses attributions originelles. Bien qu’antinazi et passablement antiallemand, il n’y a aucune place pour la politique dans son coeur. Ainsi, il participe à la rédaction d’un journal destiné aux prisonniers français qui se révèle à la fois pour Pétain et pour de Gaulle, "les deux hommes qui servaient la France, l’un à l’intérieur de la patrie blessée et l’autre à l’extérieur" (206) ajoute-t-il. Le 26 janvier 1945, Félix Prieur et ses camarades quittent leur camp en direction de la mer Baltique. L’étau des armées soviétiques s’étant refermé sur la Prusse Orientale, il n’existe dès lors plus d’autre échappatoire. Commence alors un long exode dans le chaos d’une Allemagne moribonde. Le 2 mai 1945, il est enfin libéré par les troupes britanniques, ce qui lui permet de rentrer en camion en France avant la fin du mois." (Stéphane Lamache, « Ecrits de Guerre et d’Occupation » EGO 39-45) — "La dernière guerre a suscité un grand nombre de récits dramatiques ; bien peu cependant sauront atteindre l’intensité grandiose et éloquente de ce « mémorial », qui nous raconte les années de captivité de l’auteur. Né d’une mère canadienne et d'un père français, M. l’abbé Félix Prieur ne peut manquer d’être sympathique aux lecteurs. Capturé par les Allemands le 15 juin 1940, il eut à subir pendant cinq ans les horreurs de la prison, du camp de concentration et de la marche forcée ; comme tous les forçats des camps totalitaires, il connut les souffrances de la faim et de la soif, du froid et de la vermine. Conscient de sa dignité sacerdotale, il parvint à exercer son ministère dans des circonstances bien tragiques ; il se rappela en même temps qu’il était un homme comme ses compagnons de misère et il sut accepter les plus humbles besognes. C’est dire qu’il eut un apostolat fructueux, capable de ressusciter la foi endormie chez les malheureux qu’il put approcher. Ce volume se lit comme un roman ; mais c’est un roman vécu et dont l’action ne languit pas un seul instant. La langue de l’auteur est des plus vivantes : en quelques lignes, il nous transporte sur la scène d’un événement, nous fait apprécier l’humour de ses compatriotes, nous empoigne par l’exposé de situations terribles. C’est tantôt la lutte contre des « ennemis intimes » comme les poux, les puces et les punaises ; tantôt « l’histoire d’une musette » qui contient tous les objets nécessaires à la célébration de la messe. On assiste aussi à des conversations familières avec des copains ou avec d’autres prêtres ; ailleurs on nous raconte toutes les difficultés que suscita aux prisonniers le contact avec les Russes. Les documents sur cette triste époque sont si nombreux que bien des lecteurs sont tentés de rejeter à priori toute cette « littérature de guerre » ; ils auraient pourtant tort dans le cas présent de suivre une impulsion bien compréhensible, car il s’agit d’un ouvrage de première valeur, à la fois sérieux et pittoresque, bien pensé et bien écrit." (Roland Germain, Lectures (Montréal), nov. 1948) — "M. l’abbé Félix Prieur est de l’héroïque phalange des prêtres qui ont enduré une dure captivité au cours de la dernière guerre. Comme il le dit dans son introduction, il a vécu en Prusse Orientale, il a été enfermé au-dedans des barbelés de Stablack, il a supporté les épreuves des camps de travail de Koenigsberg ou des frontières de Russie. Toutes ces aventures nous sont d’ailleurs exposées dans son ouvrage 68.881 VIIA." (Roland Germain) — "M. l’abbé Félix Prieur, de Chartres, France, ex-officier de l’armée française, et pendant cinq années prisonnier des allemands, est arrivé hier à Montréal pour un séjour indéterminé au Canada, afin de refaire sa santé. Il a fait la traversée Cherbourg-New-York à bord du paquebot America. M. l’abbé Prieur a été fait prisonnier de guerre par les Allemands en juin 1940 et a souffert pendant cinq ans dans l’infâme stalag situé au sud de Koenigsberg, en Prusse-Orientale. Ce stalag fut la dernière prison à être libérée par les troupes alliées en 1945. Le prêtre français fut libéré à Lübeck, par la 51e division écossaise, après une extraordinaire marche forcée de 720 milles, effectuée en des conditions effroyables à travers toute l’Allemagne du Nord, pendant la suprême offensive russe d’hiver. Son arrivée à la maison paternelle, à Chartres, coïncida avec l’avis officiel de son décès, l’avis étant occasionné par le complet pillage par les Russes de ses effets particuliers, lesquels furent retrouvés en cours de route par ses camarades de stalag." (Le Devoir (Montréal), 4 février 1947) ‎

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Phone number : 01 43 54 43 61

EUR25.00 (€25.00 )

‎[Editions Larose, Revue Algérienne] - ‎ ‎Maria Ter Meetelen ; Thomas Hees ; Chr. Snouck-Hurgronje ; G. Metzon ; A. J. Wensinck‎

Reference : 52508

(1954)

‎L'annotation ponctuelle de la description de voyage étonnante et de la captivité remarquable et triste durant douze ans de moi Maria Ter Meetelen et de l'heureuse délivrance d'icelle, et mon joyeux retour dans ma chère Patrie, le tout décrit selon la Vérité et mon expérience personnelle (Hoorn 1748) [ Avec : ] Thomas Hees. Journal d'un voyage à Alger (1675-1676) [Avec : ] G. Metzon, Journal de Captivité à Alger (1814-1816) [ Avec : ] Chr. Snouck-Hurgronje, Quelques remarques de politique coloniale musulmane [Avec :] A. J. Wensinck, L'Influence Juive sur les origines du Culte Musulman [ Avec : ] Chr. Snouck-Hurgronje,, La légende Qoranique d'Abraham et la politique religieuse du prophète Moh'ammed‎

‎1 vol. in-8 reliure pleine toile verte, L'annotation ponctuelle de la description de voyage étonnante et de la captivité remarquable et triste durant douze ans de moi Maria Ter Meetelen et de l'heureuse délivrance d'icelle, et mon joyeux retour dans ma chère Patrie, le tout décrit selon la Vérité et mon expérience personnelle (Hoorn 1748) Traduite du néerlandais par G.-H. Bousquet et G. W. Bousquet-Mirandolle, Institut des Hautes-Etudes Marocaines, Notes et Documents, Tome XVII, Editions Larose, Paris, 1956, 77 pp. [ Avec : ] Thomas Hees. Journal d'un voyage à Alger (1675-1676) Traduit par G.-H. Bousquet et G. W. Bousquet-Mirandolle, Extrait de la Revue Africaine, 1957, Société historique Algérienne, pp. 87-128 [Avec : ] G. Metzon, Journal de Captivité à Alger (1814-1816) traduit par G.-H. Bousquet et G. W. Bousquet-Mirandolle, Extrait des Annales de l'Institut d'Etudes Orientales, Editions "La Typo-Litho et Jules Carboneri", Alger, 1954, pp. 44-83 [ Avec : ] Chr. Snouck-Hurgronje, Quelques remarques de politique coloniale musulmane, Librairie Ferraris, Alger, 7 pp. [Avec :] A. J. Wensinck, L'Influence Juive sur les origines du Culte Musulman, traduction par G.-H. Bousquet et G. W. Bousquet-Mirandolle,Extrait de la Revue africaine, 1954 Société Historique Algérienne, 1954, pp. 87-112 [ Avec : ] Chr. Snouck-Hurgronje,, La légende Qoranique d'Abraham et la politique religieuse du prophète Moh'ammed, traduit par G.-H. Bousquet et G. W. Bousquet-Mirandolle, Extrait de la Revue Africaine 1951, Société Historique Algérienne 1959, pp. 273-288‎


‎Beau recueil de textes remarquables traduit par le professeur Georges-H. Bousquet (1900-1978), qui était parfaitement bilingue français-néerlandais. Le professeur Bousquet, était juriste de formation (Docteur en droit en 1923 avec une thèse sur "L'évolution sociale en Hollande 1914-1922"), mais est surtout connu comme économiste ami de Pareto et Schumpeter, ainsi que comme islamisant de l'école de Goldziher et Snouck-Hugronje. Professeur à la faculté d'Alger pendant plusieurs année, il avait notamment appris l'arabe. Georges-H. Bousquet résumait ainsi ses travaux en Islamologie (dans les mélanges qui lui furent consacrés dans les Cahiers Pareto en 1965) : "Très en gros, on pourrait dire à ce sujet que je suis parti intellectuellement de la Loi rituelle, morale et juridique de l'Islâm (fiqh) et ai essayé de voir dans quelle mesure cette étrange casuistique (dont j'ai traduit de nombreux textes et dont j'ai exposé les règles dans divers ouvrages) est appliquée, ou non, dans les sociétés musulmanes d'Afrique du Nord surtout (mais également en Indonésie). En particulier, mon attention s'est portée sur le rituel ('ibâdates) presque toujours systématiquement négligé par mes prédécesseurs".‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR225.00 (€225.00 )

‎CHRISTOPHE (Robert).‎

Reference : 42650

(2008)

ISBN : 9782914818278

‎Les années perdues. Journal de guerre et de captivité 1939-1945.‎

‎ Parçay-sur-Vienne, Editions Anovi, 2008, gr. in-8°, 320 pp, qqs fac-similés dans le texte, 28 pl. hors texte (reproduction de la plaquette très illustrée “Comment fut réalisé Sous le Manteau” (1949), broché, couv. illustrée, bon état. Edition originale‎


‎Un témoignage hors du commun sur la captivité en 1940-45. Homme de lettres et historien, Robert Christophe est mobilisé en août 1939, comme lieutenant. Après avoir vécu la "Drôle de Guerre" au camp de Mourmelon (Marne), il est affecté à l'intendance d'Amiens, lorsque la Wehrmacht attaque à l'Ouest, le 10 mai 1940. Une retraite épique le conduit avec ses camarades près de Nantes, où il est capturé le 21 juin. Commencent alors cinq longues années de privations et d'incertitudes, derrière les barbelés. D'abord interné dans le séminaire de Laval, le lieutenant Christophe est transféré au Stalag XIII D de Nuremberg, puis à l'Oflag XVII A d'Edelbach (Autriche). Sa captivité se termine au camp disciplinaire X C de Lübeck, d'où il part à la recherche de sa femme et de sa fille, déportées à Bergen-Belsen. Membre du réseau de résistance de l'Oflag XVII A, le lieutenant Christophe participe également à l'une des aventures les plus rocambolesques de la seconde guerre mondiale : la réalisation du film "Sous le Manteau", un véritable reportage sur l'existence dans les camps, réalisé avec des moyens de fortune, au nez et à la barbe des gardiens. Témoin sans concessions, Robert Christophe livre dans son journal une vision des années noires souvent étonnante, mais toujours pertinente. ‎

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