Paris 2021 Citadelles & Mazenod Hardcover Very Good 1st Edition
Reference : 028152
Reliure rigide, jaquette: Très bon, Étui, 33 x 28 cm, 382 pp., français, 1ère édition, illustrations, état du livre: Très bon.
Antiquariaat Tanchelmus b.v
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Conforme
Manuscrit autographe complet. Avec une lettre et l'édition originale à Pierre Salviac, à l'initiative de l'ouvrage S.l., [1976-1977] et Paris, Mazarine, (26 avril) 1979. 114 f. sur papier quadrillé et 1 vol. (140 x 225 mm) de 112 p. et [3] f. Broché, sous couverture illustrée. L'ensemble est conservé dans un emboîtage signé de Julie Nadot. Manuscrit autographe signé. Il est complété par l’exemplaire du texte en édition originale, dédicacé par Blondin. Envoi signé : « Pour toi, Pierre [Salviac], sans qui ce livre n’existerait pas, en amitié, Antoine Blondin », enrichi d’une lettre autographe signée au même - 1 p. en 1 f. (130 x 210 mm) encre noire.
Merveilleux manuscrit, complet, du premier texte d'importance que Blondin consacre à sa passion cycliste, lui qui oeuvre alors depuis de longues années au journal L'Équipe comme chroniqueur. C'est à la demande et sous la direction de Pierre Salviac qu'un ouvrage intitulé Joies de la bicyclette doit voir le jour en 1977. Ce dernier est, depuis son arrivée à l'ORTF en 1964 puis à France Inter, grand reporter, jusqu'en 1976 où il est recruté par Antenne 2 comme journaliste sportif, comme adjoint de Robert Chapatte, chef du service des sports. Il couvre alors divers sports pour la jeune émission « Stade 2 » - créée en décembre 1975 - en particulier le cyclisme et le Tour de France. C'est dans ce contexte que les éditions Hachette, qui souhaitent enrichir leur collection des « Joies de... », font appel à lui. Salviac demande alors plusieurs textes aux spécialistes du genre de l'époque (Jean-Paul Ollivier, Dominique Grimault, l'historien Raymond Huttier), ainsi qu'une préface à Robert Chapatte pour agrémenter le texte principal : une contribution d'Antoine Blondin. Le texte paraîtra en édition séparée deux ans plus tard, constituant la première oeuvre « sportive » de Blondin éditée : l'exemplaire de l'édition originale est joint, dédicacé à Pierre Salviac, « sans qui ce livre n'existerait pas, en amitié », par Antoine Blondin. Dans sa lettre, Blondin donne son accord et demande quelques précisions quant au texte attendu de lui : « j'aimerais avoir quelques précisions sur le contenu que tu souhaites y trouver, en tant que maître d'oeuvre : faut-il traiter de l'histoire du Tour : sa naissance, ses vicissitudes, ses transformations ? Toutes choses très emmerdantes dans le cadre d'un ouvrage placé sous le signe des ‘joies de...'. Ou bien, puis-je me cantonner dans le récit, à la signification athlétique et sociologique de cette haute fresque ? Éclaire-moi ». L'auteur d'Un singe en hiver avait suivi vingt-huit Grandes Boucles ; en dehors d'être lassé par la pintade servie chaque soir au dîner (« si ce volatile doit faire le Tour avec nous, qu'on lui mette un dossard ! »), le chroniqueur glorifie une « épreuve de surface qui plonge des racines dans les grandes profondeurs » et, telle « l'Iliade et l'Odyssée » de la Grande Boucle, divinise ses héros, de Coppi à Gimondi, d'Anquetil à Merckx, célébrant leurs victoires sur le champ de bataille et applaudissant aux « fêtes champêtres » que la caravane inspire dans chaque bourgade. Il en appelle à Saint-Exupéry et Victor Hugo, et jusqu'à la comtesse de Noailles : « L'important n'est pas d'être sage, c'est d'aller au-devant des dieux ». Comme le rappelait Jérôme Garcin à l'occasion de la réédition en 2016 du volume, « Blondin, qui pratiquait en orfèvre le calembour buissonnier et la digression vagabonde, aimait à dire qu'il avait plus d'un Tour dans son sac. Videz-le, c'est bonheur. In velo veritas. » (Le Nouvel observateur, 30 juin 2016). Blondin donnera ensuite Le Tour de France en quatre et vingt jours en 1984, avant la reprise de toutes ses chroniques publiées dans L'Équipe, rassemblées dans L'Ironie du sport en 1988.
Rene Vermeiren. Voorwoord door Christian Prudhomme, directeur Tour de France
Reference : 47050
, [BE] Pandora , 2015 Hardback, 265x235mm, 152p, Dutch (NL) (English/ French) edition . ISBN 9789053253915.
In dit boek gaat Rene Vermeiren gedetailleerd, in woord en beeld, terug tot de eerste kennismaking in 1954 en alle verdere passages van de Tour in de provincie Antwerpen. Tour d'Anvers wordt aangevuld door een beschrijving van alle Antwerpse renners, de 'Antwerpse reuzen van de Tour'. Want Antwerpen en zijn provincie, dat is voor mij ook Tom Boonen, Rik Van Looy, Rik Van Steenbergen, Stan Ockers, Herman Vanspringel... en zoveel anderen die mee de legende van de Tour hebben geschreven. Wie Tour d'Anvers leest, begrijpt de Antwerpse passie voor de Tour, weet waarom de Tour graag naar Antwerpen komt en vooral waarom Antwerpen zot is van de Tour! (Christian Prudhomme, Directeur van de Tour de France) Dans ce livre, Rene Vermeiren propose bien plus qu'une simple description. En mots et en images, il nous presente de facon tres detaillee tous les passages du Tour dans la province d'Anvers, a commencer par la toute premiere fois, en 1954. Une description de tous les coureurs anversois, ? les geants anversois du Tour ? , complete Tour d'Anvers. Car lorsque l'on parle d'Anvers et de sa province, resonnent egalement a mes oreilles les noms de Tom Boonen, Rik Van Looy, Rik Van Steenbergen, Stan Ockers, Herman Vanspringel et bien d'autres encore qui ont eux aussi collabore a forger la legende du Tour. A la lecture de Tour d'Anvers, vous comprendrez ce que signifie la passion anversoise pour le Tour, pourquoi le Tour est toujours heureux d'y revenir et surtout pourquoi Anvers aime a ce point la Grande Boucle ! (Christian Prudhomme, Directeur du Tour de France) In this book, Rene Vermeiren proposes much more than a simple description. In pictures and in words, he presents in great detail all the passages of the Tour in the province of Antwerp, starting with the very first time in 1954. A description of all Antwerp riders, ? Antwerp Giants in the Tour ? completes Tour d'Anvers. Because, when it is question of Antwerp and its province, names like Tom Boonen, Rik Van Looy, Rik Van Steenbergen, Stan Ockers, Herman Vanspringel and many others who have written the legend of the Tour, ring in my ears. After reading Tour d'Anvers, you will understand what Antwerp's passion for the Tour really means
Plon, 1964, in-8°, 252 pp, 23 gravures et photos sur 16 pl. hors texte, 7 illustrations dans le texte, notes, cart. éditeur, jaquette illustrée par Bernard Buffet, bon état
Les expositions internationales du XIXe siècle ; Gustave Eiffel ; Genèse de la tour ; Combats pour la tour ; Combats autour d'elle ; Description de la tour ; Le 31 mars 1889 ; Du 6 mai au 6 novembre 1889 ; Vie quotidienne de la tour en 1889 ; La tour dans la littérature et dans l'art ; La tour, la science et la guerre. — "La tour Eiffel est en quelque sorte un cadeau d'anniversaire à la Révolution française. Dans l'esprit de ses organisateurs, l'Exposition de 1889 était destinée à consoler nos compatriotes du désastre de 1870, en célébrant dignement les événements de 1789. Lockroy, ministre du commerce et de l'industrie de l'époque, avait décidé que le clou de la manifestation serait une tour de 300 mètres. Ce vœu pouvait paraître une chimère : à deux reprises, en 1833 et en 1874, les Anglais, puis les Américains, avaient songé, mais sans y donner suite, à bâtir "une tour de 1 000 pieds". Un concours fut organisé : parmi sept cents projets, un fut retenu, celui de Gustave Eiffel. Cet ingénieur n'était pas un inconnu, tant s'en faut. Né en 1832, dans la capitale de la moutarde, le jeune Gustave, recalé à l'oral de Polytechnique, entra à Centrale. Son premier ouvrage, il l'accomplit à vingt-six ans, pour la Compagnie des chemins de fer du Midi : ce fut le pont de Bordeaux. Peu avant la guerre de 1870, il s'établit à son compte en fondant à Levallois, les " Ateliers de constructions mécaniques "... Dès sa naissance, la tour Eiffel suscita des passions. "La Ville de Paris va-t-elle donc s'associer plus longtemps aux baroques et mercantiles imaginations d'un constructeur de machines pour s'enlaidir irréparablement et se déshonorer ? Car la tour Eiffel dont la commerciale Amérique elle-même ne voudrait pas, c'est le déshonneur de Paris", déclarait abruptement la pétition des artistes contre "l'inutile et monstrueuse tour Eiffel". Parmi les signataires : Meissonnier, Gounod, Charles Garnier, Victorien Sardou, Alexandre Dumas, François Coppée, Leconte de Lisle, Sully-Prudhomme, Maupassant et Clemenceau... Inutile ? A sa naissance, certes, tour de fer et tour de force, elle n'avait aucun but pratique. Par la suite elle devait être un précieux instrument pour trois découvertes inouïes : la télégraphie sans fil, l'aviation et la télévision. D'autre part, la tour Eiffel est aujourd'hui le monument le plus visité de France..." (Elvire de Brissac, Le Monde, 1964)
N° 16 - Année 2018 : une revue de 28 pages, format 210 x 295, bien illustrée (photos en couleurs), brochée couverture couleurs, publié en 2018 par l'association d'histoire locale de La Tour du Pin "La Tour Prend Garde", bon état
Au sommaire : Le Château médiéval de La Tour du Pin
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N° 4 - Année 2003 : une revue de 32 pages, format 295 x 210, bien illustrée (photos en couleurs et noir/blanc), brochée couverture couleurs, publié en 2003 par l'association d'histoire locale de La Tour du Pin "La Tour Prend Garde", bon état
Au sommaire : "Sur les traces des Bonaparte, avec Joséphine à La Tour du Pin"
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