Arles, Éditions Actes Sud, 1987 ; in-8 étroit, 144 pp., broché. Traduction de l'anglais par Jean-Paul Scheidecker. Très bonne étude, l'auteur retourne sans arrêt au texte, mais il rend accessible à tous, la pensée de Galilée. Très bon état.
Reference : G2059
Librairie Alphabets
M. Philippe Henry
06 87 32 55 92
Conforme à la vente par correspondance.
, Brepols, 2019 Paperback, xi + 373 pages, Size:210 x 297 mm, Illustrations:98 b/w, 20 tables b/w., Language: English. ISBN 9782503555324.
Summary The period of 100-200 CE was a lively one in the history of Galilee, northern Israel?one leaving a considerable mark upon Jewish history in general. The destruction of the Jerusalem temple in 70 CE, as well as the failures of the two revolts, lead to Galilee becoming the heartland of Jewish settlement in Palestine. Our reconstruction of Galilee's Jewish community during this period has been primarily informed, however, by a single retrospective voice?the later rabbinic writings. This obviously brings with it certain limitations, not least of which is its reliability. A new source from which to understand the period in question is therefore desirable. Being Jewish in Galilee, 100-200 CE provides an in-depth archaeological study of Galilee's Jewish community in the period concerned. It explores evidence of infrastructure, art and architecture, as well as ritual practices from this period in Galilee by drawing comparisons with the period before and by contextualizing this material within the broader cultural environment of the Roman East. Set within debates of cultural interaction in the Roman East in general, the book offers an archaeological understanding of what "being Jewish" meant to the Jewish communities in Galilee during this period; and in what way these communities differed from their Phoenician, Syrian and Arab neighbors. TABLE OF CONTENTS 1 Introduction 2 Infrastructure Accessing the Region 3 Building New Urban Communities Magdala, Sepphoris, and Tiberias 4 Public Building and Urban Identity 5 The Development of the Synagogue after 70 CE 6 Changing Countryside? Houses and Settlement Patterns 7 Housing and Urban Society 8 Jewish Purification Practices 9 Conclusions
[Galilée] Collectif - Stéphane Garcia, Jan Lacki, Roberto Vergara Caffarelli, Mauro Bernardini, Giovanna Bosco:
Reference : 6359
(2004)
Genève, Musée d'histoire des sciences, 2004. In-8 broché, couverture imprimée. 2 traits de crayon au second plat, pour le reste à l'état de neuf. Illustrations en noir.
Publié à l'occasion de l'exposition "Galilée, l'Essayeur" au Musée d'histoire des sciences de Genève. Au sommaire: Galilée et Pise - Galilée pour et contre, personnages et textes des batailles galiléennes - Michel Varro, un genevois précurseur de Galilée - Une véritabel & scientifique relation. La communication savante à l'époque de Galilée - Bibliographie sommaire.
HERMANN - Editeur des sciences et des arts - Collection Histoire de la Pensée - , 1997 - Fort Volume broché in octavo de 430 pages ainsi que ht une annonce d'étitions, exemplaire dense et pondéreux en belle condition sous tous rapports.
Choix , Traduction préface de Paul henri MICHEL . Bel Exemplaire Franco de port France jusqu'à 29 euros iclus. MONDIAL RELAY pour : FRANCE, Portugal, Pologne, Espagne, Allemagne, Autriche, Pays Bas, Luxembourg, Italie, Belgique. Toutes les étapes sont accompagnées. Achat, estimations et listages France / Suisse (sur rdv).
Coll. "Bibliothèque des histoires", Paris, éd. Gallimard, 1985, EDITION ORIGINALE en français, fort in-8, cartonnage souple éd., 452 pp., quelques ill. en noir, notes, bibliographie, index, table des matières, Quand est-il du procès de Galilée par le pape Urbain VIII et l'inquisition des jésuites ? Sa théorie sur la gravitation du soleil et de la terre ne serait-il qu'un prétexte ? Très bon état, quelques petites rousseurs éparses sur les tranches
Fayard, 1990-1991, 2 vol. gr. in-8°, 484 et 526 pp, 7 figures dans le texte, chronologie, notes index, brochés, couv. illustrées, bon état
Tome 1 : "Le pape hait et craint les savants qui ne lui sont pas soumis par leur voeu." Cette pensée de Pascal, écrite peu après la condamnation de Galilée, exprime le déchirement d'un intellectuel chrétien désemparé par la rupture entre l'Eglise de son époque et la science moderne. Comment en est-on arrivé là ? Après une longue période de méfiance due à l'origine païenne de la science, à partir de saint Augustin l'Eglise finit par adopter la science comme auxiliaire de la théologie. En fait, la science recouvre alors un système du monde imposé par les théologiens. Les quelques tentatives de science indépendante – Jean Scot Erigène, l'école de Chartres – ne survivent pas aux censures. De même, les grands visionnaires des XVe et XVIe siècles, un moment tolérés, sont victimes de la réaction post-tridentine. Seules les mathématiques, contenant en elles-mêmes leurs principes, continuent leur chemin en dehors de tout soupçon. C'est pourtant par elles que va venir le scandale. Puisque c'est sur elles que s'appuient Copernic et la science mécaniste pour dire que la terre tourne. L'attitude de l'Eglise à l'égard de la science est aujourd'hui encore l'objet de nombreuses controverses. Depuis saint Paul, entre les deux voies d'accès à la vérité, la révélation et la science, l'entente fut maintes fois affirmée, jamais réalisée. Ce premier volume, qui nous conduit jusqu'au XVIIe siècle, retrace cet aspect essentiel de l'histoire des idées : comment l'Eglise a-t-elle accueilli la science ? — Tome 2 : La science moderne est née dans le premier tiers du XVIIe siècle. Galilée, qui en fut le principal initiateur, revendiquait l'autonomie de la science pour déchiffrer le livre de la nature. Sa condamnation, en 1633, par le tribunal du Saint-Office, est donc le point de départ du grand malentendu entre l'Eglise et la science. Le fantôme de Galilée va hanter la conscience catholique pendant trois siècles et demi : ce n'est qu'en 1982 que Jean-Paul II exprime les regrets de l'Eglise à propos de l' "affaire". Trois siècles et demi pendant lesquels l'Eglise perd peu à peu tout contrôle sur l'évolution des sciences car elle refuse de s'adapter aux nouvelles théories. Après avoir censuré les mouvements de la Terre, elle condamne la physique mécaniste de Descartes, l'atomisme, le darwinisme, les premiers résultats de la géologie et de la préhistoire qui contredisent la chronologie biblique et le déluge universel. La condamnation du modernisme, en 1907, marque l'apogée de l'immobilisme de l'Eglise. Au début du XXe siècle, le dialogue reprend timidement. Pie XII affirme sa sympathie pour les savants. Mais des obstacles subsistent, surtout à propos de l'origine de l'homme. Les vieilles méthodes n'ont pas disparu, comme l'illustre l'affaire Teilhard de Chardin. Aujourd'hui les progrès de la génétique et de la procréation artificielle renouvellent le débat. La mécanique quantique et le modèle inflatoire du big bang rapprochent les points de vue religieux et scientifiques. La visite de Jean-Paul II au CERN montre que les conditions d'une reprise du dialogue semblent réunies. Sommes-nous à la veille d'une deuxième grande synthèse ? L'histoire nous enseigne ici la prudence.