‎[LITTERATURE] - COUPRIE (Alain)‎
‎Zola. ‎

‎Paris, Armand Colin, 1992 ; in-8, 182 pp., broché. Très bon état.‎

Reference : D3154


‎‎

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‎ZOLA‎

Reference : LCS-3437

‎Photographies. Portraits de Denise. Photographies originales prises par Zola représentant sa fille‎

‎Superbe ensemble de 3 photographies originales prises par Zola à la fin de sa vie, représentant sa fille Denise alors âgée de 11 à 13 ans. Entre 1897 et 1902. 3 photographies originales, tirages argentiques d’époque. 230 x 167 mm.‎


‎Superbe ensemble de 3 photographies originales prises par Emile Zola entre 1897 et 1902, présentant des portraits de sa fille Denise alors âgée de 11 à 13 ans. Les 3 portraits regroupés ici sont les suivants : -Denise de trois quarts profil, tête appuyée sur ses mains jointes, en robe fleurie. (1900-1902). -Denise de trois quarts profil, assise dans un fauteuil, col de dentelle blanche. (1900-1902). -Denise de face, le visage tourné vers la gauche, en bonnet de dentelle (1897-1902). Emile Zola (1840-1902) est un photographe méconnu. Ce n’est qu’à partir de 1895 qu’il s’est mis à la photographie : il a achevé le cycle des Rougon-Macquart et est l’écrivain le plus célèbre de l’époque. C’est avec passion qu’il devient photographe, après avoir acheté dix appareils et installé chez lui un laboratoire. Il pratique la photo en toutes circonstances : en famille et dans les rues de Paris, mais aussi lors de l’exil à Londres consécutif à l’affaire Dreyfus, ou encore, peu avant sa mort, à l’occasion de l’exposition universelle de 1900. Jusqu’à sa mort, il prendra environ 6000 clichés pour la plupart disparus ou inédits, c’est dire l’intensité du travail photographique de l’écrivain et de l’énergie qu’il y déploya. L'œuvre photographique d'Emile Zola, révélée en 1979 par l'étude que lui consacra François-Emile Zola, puis par diverses expositions, montre l'acuité du regard que l'écrivain porta sur la ville et le monde contemporain. La photographie de famille tient une place importante dans la production photographique de Zola. Les photos d’Emile Zola sont très rares sur le marché. La majorité d’entre elles sont conservées au Musée d’Orsay et au Musée de Médan. Le Musée d'Orsay a fait l'acquisition de vingt-six portraits de Denise, la fille que l'écrivain eut de Jeanne Rozerot ; ceux-ci ont été réalisés entre 1898 et 1902, date de la mort de l'écrivain. Ces portraits témoignent de l'attachement sensible qu'il portait à sa fille. Zola opère ici en artiste, faisant adopter à Denise de nombreuses attitudes méditatives et gracieuses, avec la conscience d'un photographe professionnel. Ces pièces illustrent l’immense passion que Zola eut pour la photographie. « Zola est photographe comme il est écrivain : à la recherche de la vérité, il écarte les accessoires, refuse les poses théâtrales alors à la mode, ne pratique aucune retouche. Sa recherche concerne avant tout le cadrage ou la perspective, et il explore tous les formats, utilise tantôt les plaques, tantôt la pellicule qui vient de faire son apparition. » Denise Le Blond-Zola (1889-1942), la fille de Zola et de Jeanne Rozerot, lingère et maitresse de l’écrivain, garda de son père un impérissable souvenir. Après la mort du romancier, Alexandrine Zola, l’épouse légitime du romancier, s'occupa de son éducation et lui fit connaître tous les habitués des jeudis de la rue de Bruxelles. Elle épousa à l'âge de 19 ans, un des plus fervents admirateurs de Zola, Maurice Le Blond, et eut trois enfants, Aline (1909), Françoise (1911) et Jean-Claude (1914). Dotée d'un réel talent littéraire, elle publia dans la célèbre collection de la Bibliothèque rose, sous le pseudonyme de Denise Aubert, plusieurs romans pour enfants, dont La Villa dans les dunes (1921) et La Maison forestière (1925). Après avoir collaboré, avec son mari, à la documentation de l'édition Bernouard des Oeuvres complètes de Zola, elle fit paraître, en tête du premier volume, une étude biographique de son père; ce travail, développé, devint en 1931 Emile Zola raconté par sa fille. Elle fit partie, avec Judith Cladel et Lucie Delarue-Mardrus, d'une académie féminine des lettres, et participa à la préparation d'une anthologie des femmes françaises, qui demeura inédite. La même dévotion pour Émile Zola unissait la maîtresse et la femme légitime. Ainsi cette dernière fit reconnaître les enfants, après la mort de Zola qui, dès 1906, purent porter le nom de leur célèbre père. Précieux ensemble de trois tirages originaux faits par Zola lui-même, dans un état de conservation exceptionnel. Provenance : Famille Zola, avec authentification des tirages.‎

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EUR12,000.00 (€12,000.00 )

‎[ZOLA. Emile]. ‎

Reference : 10138

‎Bel ensemble de 15 lettres et billets autographes des années 1873 à 1900 adressés à Emile Zola essentiellement par des personnalités du monde des lettres et de la presse ou apparentés.‎


‎L’ensemble comprend les correspondants suivants :-Joseph Barthélémy, juriste et académicien, 18 mars 1886 (1 p. et demie) sur L’Assommoir porté au théâtre : il lui demande l’envoi de billets pour lui « procurer… cette petite fête ». Adhésif en renforcement.-Georges Brisson (2 lettres), admirateur nantais : 19 avril (2 pp.) et 7 septembre 1876 (3 pp.). Il entretient notamment Zola de La Faute de l’abbé Mouret qu’il admire. Dans la seconde lettre, son admiration éperdue éclate et il lui demande de lui faire signe quand son train passe à Nantes : « J’aurais ainsi le bonheur immense de voir au moins une fois dans ma vie celui que j’étudie et j’admire depuis que j’ai l’âge de raison (…) ».-Camille Doucet (2 lettres), poète et auteur dramatique, académicien, directeur de l’administration des théâtres : 20 février 1892 (2 pp.) et 1 er avril 1894, sur des affaires de l’Académie. Dans la première lettre, Doucet le remercie « tant au nom de Jules Simon, qu’en mon nom de l’accueil si bienveillant que vous avez fait, et fait faire, à la candidature de notre vieux filleul Nadaud (…) ».-André Fourchy, notaire : 3 avril 1900 (1 p.). Formalités pour la succession de Jules de Goncourt. Il demande à Zola de bien vouloir « signer comme témoin un acte de notoriété constatant que M. Jules de Goncourt n’avait qu’un frère et un seul héritier, M. Jules de Goncourt (…) ».-Gustave Geoffroy, journaliste et critique d’art, un des dix membres fondateurs de l’Académie Goncourt (1874), (1) p. Demande des places pour Le Ventre de Paris donné au théâtre.-André Gill (Louis-Alexandre Gosset de Guines, dit), caricaturiste, peintre et chansonnier : 12 août 1873 (1 p. et demi). Fait part de son admiration sur la version théâtrale de Thérèse Raquin et l’entretien d’un de ses travaux littéraires. « La galerie des physionomies modernes que j’essaie à L’Eclipse serait bien incomplète si je n’y plaçais le plus moderne, le plus hardi, le plus vivant de nos écrivains… ». Fasciné par le romancier populaire en Zola, il veut faire un ouvrage intitulé Le Travail qui sera « le « Parthénon des humbles ». Petites déchirures restaurées par un adhésif.-Georges de Labruyère (2 lettres), rédacteur du Cri du peuple : 4 février 1887 (1 p.) et 14 février 1887 (1 p). Il est question du Ventre de Paris porté au théâtre sur lequel La Bruyère demande des informations pour « faire (s)on article à l’avance afin de le bien soigner ».-Erik Lie, écrivain norvégien : 14 novembre 1889 (2 pp.). Il veut traduire La Bête humaine en norvégien. Il veut faire découvrir Zola à ses compatriotes en profitant de sa connaissance du français : « j’ai l’occasion de suivre la littérature française contemporaine en même temps que j’étudie la littérature ancienne ».-Pierre Loti, s.d. (1 p. et 3 l.). Remerciements pour le « beau livre » qu’il vient de recevoir et dont il le remerciera de vive voix très bientôt.-Suzanne Manet, veuve du peintre : 11 octobre 1886 (2 pp.). Elle l’invite à recevoir Jean Thorel « jeune littérateur et un de vos admirateurs les plus ardents auquel je m’intéresse ».-Catulle Mendès (2 lettres) : 29 mai 1888 (1 p.) et 20 juin 1888 (2 pp). Ecrit en tant que directeur de la Vie populaire qui publie en feuilletons plusieurs romans de Zola. La première lettre porte sur la publication à venir du Rêve et plus généralement propose de publier systématiquement ses romans nouveaux : « La Vie populaire, si vous le voulez bien reproduira tous vos romans nouveaux ». L’autre lettre demande que sur le roman qui vient après Le Rêve, à savoir La Bête humaine, soit également donné à La Vie populaire.Bel ensemble témoignant de l’importance de Zola comme figure littéraire de premier plan dans le dernier tiers du XIXe siècle, occupant en particulier les secteurs de la presse et du théâtre. ‎

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EUR1,500.00 (€1,500.00 )

‎ZOLA (Emile).‎

Reference : 13331

‎"Jaccuse..." Lettre ouverte au Président de la République, 13 janvier 1898. Reproduite en fac-similé avec un portrait d'Emile Zola à l'époque de "J'accuse..."‎

‎ P., Fasquelle, Édition du Cinquantenaire, s.d. [1948] ; plaquette in-8, brochée. Portrait en frontispice-12 pp.-39 pp.-1 f. Légères salissures sur la couverture, papier jauni. ‎


‎Eugène Fasquelle reproduit ici le manuscrit de la lettre que Zola lui avait remise pour qu'il en publie une brochure à diffuser largement. Mais cette lettre paraîtra dans l'Aurore du 13 janvier 1898, sous le titre "J'accuse" trouvé par Clémenceau; Le journal fut tiré à 100 000 exemplaires, mieux que n'aurait pu faire Fasquelle. ‎

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EUR20.00 (€20.00 )

‎ZOLA, Emile‎

Reference : LCS-17363

‎Les Trois Villes. Exemplaire unique des "Trois villes" d’Emile Zola.‎

‎Paris : exemplaire imprimé sur papier rouge, inconnu des bibliographes.Rome : exemplaire sur papier de Chine couleur jonquille, inconnu des bibliographes.Lourdes : exemplaire sur papier bleu, d’un tirage de cinq.Paris, 1894-1898. Paris, Bibliothèque-Charpentier, 1894-1898.-Lourdes.Paris, Bibliothèque-Charpentier, 1894.In-12 de (2) ff., 598 pp., (1) f.-Rome.Paris, Bibliothèque-Charpentier, 1896.In-12 de (2) ff., 751 pp., (1) p.-Paris.Paris, Bibliothèque-Charpentier, 1898.In-12 de (2) ff., 608 pp. Pt. papier collé en marge des pp. 147 à 157. Ensemble trois volumes in-8, maroquin lavallière, jeu de filets dorés et listel rouge, citron ou bleu en encadrement, dos ornés de même, doublure de maroquin rouge, citron ou bleu, sertie d’un filet doré, gardes de faille, tranches dorées sur témoins, couvertures jaunes imprimées et dos conservés. Piqûres à la couverture de Rome. Etuis. Semet & Plumelle.191 x 122 mm.‎


‎Exceptionnelle réunion de ces trois titres en éditions originales et en tirage de tête sur papiers de couleurs, tirage non répertorié par les bibliographes.Carteret, II, 492-493 ; Rahir, La Bibliothèque de l’amateur, 686 ; Dictionnaire des Œuvres, VI, 550.Lourdes est l’un des 5 exemplaires imprimés sur papier bleu.Le tirage fut limité à 393 exemplaires : 348 sur papier de Hollande, 40 sur japon et 5 sur papier bleu.Rome : exemplaire imprimé sur papier de chine couleur jonquille, inconnu des bibliographes.Le tirage répertorié par les bibliographes fut limité à 330 exemplaires, dont 300 sur papier de Hollande et 30 sur japon. Aucun bibliographe ne mentionne cet exemplaire sur papier de chine couleur jonquille.Paris : exemplaire imprimé sur papier rouge, inconnu des bibliographes.Le tirage répertorié par les bibliographes fut limité à 330 exemplaires, dont 300 sur Hollande et 30 sur japon. Aucun bibliographe n’a connaissance de cet exemplaire sur papier rouge.« Les Trois Villes » sont la trilogie d’Emile Zola (1840-1902) comprenant « Lourdes » (1894), « Rome » (1896), « Paris » (1898). Les Rougon-Macquart ne sont pas achevés que le romancier, qui a effectué un bref séjour à Lourdes en septembre 1891, a l’idée de se battre sur le terrain de ses détracteurs : le renouveau de la foi. Il veut « établir le bilan religieux, philosophique et social du siècle ». La crise que traverse l’abbé Pierre Froment sert de fil conducteur aux trois œuvres.Pierre est devenu prêtre pour obéir à la volonté de sa mère à la suite de la mort de son père, chimiste célèbre, au cours d’une expérience de laboratoire. Mais il se met à douter. Il part donc à Lourdes avec le pèlerinage annuel, pour retrouver la foi. Il accompagne la jeune Marie de Guersaint, qu’il a aimée des années plus tôt, mais qui a été condamnée à l’immobilité par un mal mystérieux. Marie est miraculeusement guérie. Son mal, en fait, était dû à l’hystérie. Pierre ne retrouve pas la foi. Il ne peut pas non plus retrouver Marie, qui a fait vœu de virginité si elle était guérie. Il doit donc rester prêtre, mais il imagine une religion nouvelle, plus proche des hommes, « faisant à la terre une part plus large, s’accommodant des vérités conquises ». Œuvre de pitié et d’émotion, divisée en cinq journées, les cinq journées que le pèlerinage national consacre à son voyage annuel. « Lourdes » peint les pèlerins, leur foi, le « besoin de surnaturel persistant chez l’homme » malgré les conquêtes de la science, la figure de Bernadette, mais aussi les escroqueries à la guérison, les marchands du temps. C’est l’œuvre d’un homme sincère, s’interrogeant à travers son personnage sur la crise que traverse son époque.Pierre a écrit un livre, La Rome nouvelle, où il défend cette religion dont il avait eu l’idée dans le train qui le ramenait de Lourdes à Paris, une religion qui retrouverait les vertus du christianisme primitif. Mais son œuvre est frappée d’interdiction par la Congrégation de l’Index. Il vient donc à Rome plaider sa cause devant le Saint-Père, mais il n’est jamais reçu, il se heurte à une Eglise rétrograde et peureuse, il se perd dans les labyrinthes de l’administration et de la hiérarchie.Revenu à Paris, il retrouve son frère aîné, Guillaume, qu’il avait perdu de vue. Grâce à son aide morale et matérielle, il abandonne l’habit sacerdotal, se marie, a des enfants, retrouve confiance en la vie et en l’avenir, croit en la possibilité d’une nouvelle société fondée sur les progrès de la science. En attendant cet avènement, « Paris » fait un bilan très noir, montre l’homme écrasé par les rouages d’une société énorme, impersonnelle, injuste, prête à exploser. Œuvre touffue, angoissée, c’est une protestation hardie « contre toutes les puissances de mensonge et de servitude » (Jaurès).Exceptionnel exemplaire réunissant ces trois romans en tirages de tête sur papiers de couleurs, conservés dans de luxueuses reliures uniformes de Semet et Plumelle chacune ornée d’un listel de maroquin assorti à la couleur du papier de l’exemplaire qu’elle renferme.‎

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Phone number : 01 42 84 16 68

EUR23,000.00 (€23,000.00 )

‎ZOLA Emile‎

Reference : 9782845238769

(1983)

‎Zola -Lot de 20 vol.‎

‎1982-1983, Jean de Bonnot, in-8 plein cuir , plats estampés à froid, titrage et ornements dorés sur dos, tête dorée, signet, frontispice, illustrations de l'époque de l'auteur, Les Rougon-Macquart, histoire naturelle et sociale d'une famille sous le Second Empire. | Etat : Très bon état général (Ref.: REF99788)‎


‎Jean de Bonnot‎

Les Kiosques - Toulon

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